Llus de 5.800 oiseaux migrateurs, dont plus de 3.700 flamants roses, ont été répertoriés par les ornithologues dans les zones humides de la wilaya de Ouargla, a-t-on appris samedi auprès de la conservation des forêts. Llus de 5.800 oiseaux migrateurs, dont plus de 3.700 flamants roses, ont été répertoriés par les ornithologues dans les zones humides de la wilaya de Ouargla, a-t-on appris samedi auprès de la conservation des forêts. Ce recensement, opéré durant le mois de janvier en cours, a ciblé notamment les zones humides de Chott Oum Raneb (Sidi-Khouiled), Ain El-Beïda, Lebhour (Témacine), Sidi Slimane, Lalla Fatma (Mégarine), Hassi Benabdallah, Titaouine, Medjadja (Nezla) et celle de Sebkhet Sefioune, devenu le plus important plan d'eau (2.500 hectares) dans la wilaya de Ouargla, a indiqué la même source. Menée annuellement entre les 17 et 20 janvier, cette opération de recensement, qui vise le contrôle du mouvement des oiseaux migrateurs, a permis de répertorier 16 espèces d'avifaune, à l'instar de la sarcelle marbrée dont un effectif de près de 130 oiseaux a élu domicile, pour la première fois, au Chott de Aïn El-Beïda (périphérie d'Ouargla), autrefois nichant au niveau du Chott de Sidi-Slimane (daïra de Mégarine). La conservation des forêts de Ouargla a relevé, outre la migration d'oiseaux fuyant le grand froid dans d'autres continents en quête de climat plus clément, une fréquentation de certaines espèces d'oiseaux des régions et zones internes tels le flamant rose et la sarcelle marbrée dont les lieux de prédilection sont localisés dans les régions de Sidi Slimane et Ouargla. La wilaya de Ouargla renferme neuf zones humides, dont trois classées depuis 2004 sur la liste de la convention internationale de Ramsar en tant que zones naturelles protégées, accueillant annuellement d'importants nombre d'oiseaux migrateurs. Ces zones humides classées sont les Chotts d'Oum Raneb, de Aïn El-Beïda et de Sidi Slimane, d'une surface globale de 2.204 hectares, selon la conservation des forêts de Ouargla. Ce recensement, opéré durant le mois de janvier en cours, a ciblé notamment les zones humides de Chott Oum Raneb (Sidi-Khouiled), Ain El-Beïda, Lebhour (Témacine), Sidi Slimane, Lalla Fatma (Mégarine), Hassi Benabdallah, Titaouine, Medjadja (Nezla) et celle de Sebkhet Sefioune, devenu le plus important plan d'eau (2.500 hectares) dans la wilaya de Ouargla, a indiqué la même source. Menée annuellement entre les 17 et 20 janvier, cette opération de recensement, qui vise le contrôle du mouvement des oiseaux migrateurs, a permis de répertorier 16 espèces d'avifaune, à l'instar de la sarcelle marbrée dont un effectif de près de 130 oiseaux a élu domicile, pour la première fois, au Chott de Aïn El-Beïda (périphérie d'Ouargla), autrefois nichant au niveau du Chott de Sidi-Slimane (daïra de Mégarine). La conservation des forêts de Ouargla a relevé, outre la migration d'oiseaux fuyant le grand froid dans d'autres continents en quête de climat plus clément, une fréquentation de certaines espèces d'oiseaux des régions et zones internes tels le flamant rose et la sarcelle marbrée dont les lieux de prédilection sont localisés dans les régions de Sidi Slimane et Ouargla. La wilaya de Ouargla renferme neuf zones humides, dont trois classées depuis 2004 sur la liste de la convention internationale de Ramsar en tant que zones naturelles protégées, accueillant annuellement d'importants nombre d'oiseaux migrateurs. Ces zones humides classées sont les Chotts d'Oum Raneb, de Aïn El-Beïda et de Sidi Slimane, d'une surface globale de 2.204 hectares, selon la conservation des forêts de Ouargla.