Le ministre de l'Habitat, Abdelmadjid Tebboune, qui était hier l'invité de la Chaîne III de la Radio nationale a révélé que le montant des investissments consacrés au secteur de l'habitat dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014, s'est élevé à 63 milliards de dollars. Le ministre de l'Habitat, Abdelmadjid Tebboune, qui était hier l'invité de la Chaîne III de la Radio nationale a révélé que le montant des investissments consacrés au secteur de l'habitat dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014, s'est élevé à 63 milliards de dollars. "Avec les moyens financiers mobilisés et l'accélération de la cadence de réalisation, nous parviendrons sans aucun doute à résorber le déficit en logement au cours des prochaines années", a-t-il précisé. Il a précisé que si en 2013 quelque 580.000 logements, toutes formules confondues, avaient été lancés et 248.000 logements réceptionnés, l'année 2014 verra le lancement de 650.000 unités et la réception de 300.000 autres. Pour ce qui est du logement rural, qui connait un grand engouement, Tebboune a fait savoir que 390.000 logements ont été réceptionnés et près de 724.000 sont en cours de réalisation sur un total de 900.000 logements prévus dans le cadre du quinquennat 2010-2014. L'Etat a "en quelque sorte une dette morale vis-à-vis de cette catégorie de population qui a souffert lors de la guerre de Libération nationale et qui, plus récemment, a encore subi les affres du terrorisme", a-t-il tenu à affirmer en notant que les facilitations accordées aux citoyens pour l'accès à cette formule ont permis le retour partiel des populations déplacées lors de la décennie noire. Par ailleurs, "près de 1,2 million de logements sociaux sont programmés dans le cadre du plan quinquennal en cours (2010-2014)", selon les données avancées par le ministre. A propos de la cession des logements sociaux prévus par la loi, Tebboune a confirmé que cette dernière connait un réel engouement de la part des locataires en raison, a-t-il dit, "des conditions avantageuses offertes par les pouvoirs publics". Pour ce qui est des prix de cession des logements ceux-ci ont été, selon lui, particulièrement étudiés : "Cela peut varier de 30.000 DA pour un logement à Tindouf à 900.000 DA maximum pour un logement à Alger". Il aussi rappelé que "les capacités nationales de réalisation sont pour l'heure limitées à 80.000 logements/an alors que les besoins exprimés sont de l'ordre de 250.000 logements/an, une situation qui nécessite le recours momentané aux entreprises étrangères pour prendre en charge les diférents programmes inscrits à l'actif su secteur", a-t-il dit. "Pour faire face à ce déficit en termes de moyens de réalisations, les pouvoirs publics sont dans l'obligation de solliciter l'apport momentané des entreprises étrangères" a indiqué Tebboune sur ce point. Pour autant, les pouvoirs publics encouragent les entreprises privées à accroître leurs capacités de réalisation, dira le ministre, selon lequel l'objectif du secteur était de porter rapidement les capacités nationales de réalisation à près de 120.000 logements/an. Concernant le logement promotionel public), le ministre a précisé que l'Entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI) a accepté jusque-là environ 46.000 dossiers de souscripteurs dont près de 5.000 dossiers d'anciens souscripteurs AADL qui ont été transmis à l'ENPI. Evoquant le programme de logements de location-vente "AADL 2" portant sur la réalisation de 230.000 unités, le ministre a affirmé que le suivi des chantiers déjà lancés était "rigoureux" et que les premières livraisons de logements de ce programme sont attendues au cours du premier semestre 2015. Répondant à une question relative à une éventuelle formule de promotion immobilière ciblant la communauté nationale étabie à l'étranger, Tebboune a indiqué que "cette catégorie bénéficiera d'un programme spécifique adapté à ses besoin", sans donner plus de détails. M. Tebboune a, par ailleurs, confirmé que la loi sur "l'urbanisme était en cours de révision. Cette révision s'effectue avec le concours du Conseil national de l'ordre des architectes" a-t-il précisé en soulignant "la nécessité "absolue d'améliorer l'étude des plans d'occupation de sol (POS), pour rompre définitivement avec l'image des cités dortoirs". "Avec les moyens financiers mobilisés et l'accélération de la cadence de réalisation, nous parviendrons sans aucun doute à résorber le déficit en logement au cours des prochaines années", a-t-il précisé. Il a précisé que si en 2013 quelque 580.000 logements, toutes formules confondues, avaient été lancés et 248.000 logements réceptionnés, l'année 2014 verra le lancement de 650.000 unités et la réception de 300.000 autres. Pour ce qui est du logement rural, qui connait un grand engouement, Tebboune a fait savoir que 390.000 logements ont été réceptionnés et près de 724.000 sont en cours de réalisation sur un total de 900.000 logements prévus dans le cadre du quinquennat 2010-2014. L'Etat a "en quelque sorte une dette morale vis-à-vis de cette catégorie de population qui a souffert lors de la guerre de Libération nationale et qui, plus récemment, a encore subi les affres du terrorisme", a-t-il tenu à affirmer en notant que les facilitations accordées aux citoyens pour l'accès à cette formule ont permis le retour partiel des populations déplacées lors de la décennie noire. Par ailleurs, "près de 1,2 million de logements sociaux sont programmés dans le cadre du plan quinquennal en cours (2010-2014)", selon les données avancées par le ministre. A propos de la cession des logements sociaux prévus par la loi, Tebboune a confirmé que cette dernière connait un réel engouement de la part des locataires en raison, a-t-il dit, "des conditions avantageuses offertes par les pouvoirs publics". Pour ce qui est des prix de cession des logements ceux-ci ont été, selon lui, particulièrement étudiés : "Cela peut varier de 30.000 DA pour un logement à Tindouf à 900.000 DA maximum pour un logement à Alger". Il aussi rappelé que "les capacités nationales de réalisation sont pour l'heure limitées à 80.000 logements/an alors que les besoins exprimés sont de l'ordre de 250.000 logements/an, une situation qui nécessite le recours momentané aux entreprises étrangères pour prendre en charge les diférents programmes inscrits à l'actif su secteur", a-t-il dit. "Pour faire face à ce déficit en termes de moyens de réalisations, les pouvoirs publics sont dans l'obligation de solliciter l'apport momentané des entreprises étrangères" a indiqué Tebboune sur ce point. Pour autant, les pouvoirs publics encouragent les entreprises privées à accroître leurs capacités de réalisation, dira le ministre, selon lequel l'objectif du secteur était de porter rapidement les capacités nationales de réalisation à près de 120.000 logements/an. Concernant le logement promotionel public), le ministre a précisé que l'Entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI) a accepté jusque-là environ 46.000 dossiers de souscripteurs dont près de 5.000 dossiers d'anciens souscripteurs AADL qui ont été transmis à l'ENPI. Evoquant le programme de logements de location-vente "AADL 2" portant sur la réalisation de 230.000 unités, le ministre a affirmé que le suivi des chantiers déjà lancés était "rigoureux" et que les premières livraisons de logements de ce programme sont attendues au cours du premier semestre 2015. Répondant à une question relative à une éventuelle formule de promotion immobilière ciblant la communauté nationale étabie à l'étranger, Tebboune a indiqué que "cette catégorie bénéficiera d'un programme spécifique adapté à ses besoin", sans donner plus de détails. M. Tebboune a, par ailleurs, confirmé que la loi sur "l'urbanisme était en cours de révision. Cette révision s'effectue avec le concours du Conseil national de l'ordre des architectes" a-t-il précisé en soulignant "la nécessité "absolue d'améliorer l'étude des plans d'occupation de sol (POS), pour rompre définitivement avec l'image des cités dortoirs".