A l'instar de Europole, l'Afrique se dote d'un organe de police. Ce sera Afripole dont la création sera vraisemblablement annoncée aujourd'hui. A l'instar de Europole, l'Afrique se dote d'un organe de police. Ce sera Afripole dont la création sera vraisemblablement annoncée aujourd'hui. Ses missions : faciliter l'échange de renseignements entre polices nationales en matière de stupéfiants, de terrorisme, de criminalité internationale et autre contrebande. Son siège sera aussi vraisemblablement à Alger. L'Afrique aura son organe de coordination entre les polices. Son nom : Afripole. L'annonce sera faite vraisemblablement aujourd'hui à l'issue des travaux de la Conférence africaine des directeurs et inspecteurs généraux de police dont les travaux ont débuté, hier, à Alger en présence du Premier ministre Abdelmalek Sellal, du ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, du Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, du commissaire de la sécurité et de la paix de l'Union africaine, Smain Chergui et de nombreux responsables des polices africaines. Dans son intervention, Abdelmalek Sellal, qui a souhaité que « l'Afripole» sera mis en place le plus tôt possible, souligne que cet instrument plus que nécessaire est indispensable face aux menaces qui pèsent sur le continent africain liées au développement du phénomène de la contrebande, du crime organisé transnational. Pour le Premier ministre il ne saurait y avoir de démocratie sans la paix et la sécurité, qualifiant la création de l'Afripole de « très important » dans la conjoncture actuelle où l'Afrique traverse certaines turbulences. Indiquant que cet instrument intervient dans le cadre de l'Union africaine qui selon lui, « devient une réalité forte », le Premier ministre souligne que « l'Afrique soutient avec force cet organe » pour solutionner les problèmes qui se posent au continent sans qu'il soit fait appel aux forces extra-africaines. Pour Abdelmalek Sellal, « il est grand temps que l'Afrique se réappropie le règlement des conflits dans le continent ». Une solution africaine aux problèmes africains, a-t-il souligné. L'Afripole sera un lointain cousin de l'Europole (Europolice) Il aura les mêmes missions à savoir faciliter les opérations de lutte contre la criminalité au sein de l'Union africaine et faciliter l'échange de renseignements entre polices nationales en matière de stupéfiants, de terrorisme, de criminalité internationale et autres contrebandes. Pour le général-major, Abdelghani Hamel, Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), cette rencontre « constitue une nouvelle pour le renforcement et la coordination entre les polices africaines » et indique que l'Afripole permet une synergie des efforts pour combattre les différentes formes de crimes organisés et transnationaux. Le haut responsable de la police algérienne précise que cet organe agira dans un esprit de partenariat avec autres organisations internationales. Il assure que l'Afripole qui inscrit son action dans la lutte contre les organisations criminelles développera une vision commune et une approche intégrée et cela dans le respect des droits de l'homme. Il s'agira aussi, explique Abdelghani Hamel de « promouvoir le partenariat entre les polices africaines pour combattre efficacement le phénomène de crimes organisés et de terrorisme et de relever les défis sécuritaire actuels et à venir ». Ses missions : faciliter l'échange de renseignements entre polices nationales en matière de stupéfiants, de terrorisme, de criminalité internationale et autre contrebande. Son siège sera aussi vraisemblablement à Alger. L'Afrique aura son organe de coordination entre les polices. Son nom : Afripole. L'annonce sera faite vraisemblablement aujourd'hui à l'issue des travaux de la Conférence africaine des directeurs et inspecteurs généraux de police dont les travaux ont débuté, hier, à Alger en présence du Premier ministre Abdelmalek Sellal, du ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, du Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, du commissaire de la sécurité et de la paix de l'Union africaine, Smain Chergui et de nombreux responsables des polices africaines. Dans son intervention, Abdelmalek Sellal, qui a souhaité que « l'Afripole» sera mis en place le plus tôt possible, souligne que cet instrument plus que nécessaire est indispensable face aux menaces qui pèsent sur le continent africain liées au développement du phénomène de la contrebande, du crime organisé transnational. Pour le Premier ministre il ne saurait y avoir de démocratie sans la paix et la sécurité, qualifiant la création de l'Afripole de « très important » dans la conjoncture actuelle où l'Afrique traverse certaines turbulences. Indiquant que cet instrument intervient dans le cadre de l'Union africaine qui selon lui, « devient une réalité forte », le Premier ministre souligne que « l'Afrique soutient avec force cet organe » pour solutionner les problèmes qui se posent au continent sans qu'il soit fait appel aux forces extra-africaines. Pour Abdelmalek Sellal, « il est grand temps que l'Afrique se réappropie le règlement des conflits dans le continent ». Une solution africaine aux problèmes africains, a-t-il souligné. L'Afripole sera un lointain cousin de l'Europole (Europolice) Il aura les mêmes missions à savoir faciliter les opérations de lutte contre la criminalité au sein de l'Union africaine et faciliter l'échange de renseignements entre polices nationales en matière de stupéfiants, de terrorisme, de criminalité internationale et autres contrebandes. Pour le général-major, Abdelghani Hamel, Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), cette rencontre « constitue une nouvelle pour le renforcement et la coordination entre les polices africaines » et indique que l'Afripole permet une synergie des efforts pour combattre les différentes formes de crimes organisés et transnationaux. Le haut responsable de la police algérienne précise que cet organe agira dans un esprit de partenariat avec autres organisations internationales. Il assure que l'Afripole qui inscrit son action dans la lutte contre les organisations criminelles développera une vision commune et une approche intégrée et cela dans le respect des droits de l'homme. Il s'agira aussi, explique Abdelghani Hamel de « promouvoir le partenariat entre les polices africaines pour combattre efficacement le phénomène de crimes organisés et de terrorisme et de relever les défis sécuritaire actuels et à venir ».