Depuis le début de l'année, les établissements scolaires ont été le théâtre de plusieurs mouvements de protestations organisés par plusieurs syndicats du secteur. Une situation qui ne peut plus durer d'autant que la tutelle joue au chat et la souris avec les différents syndicats en essayant, d'un côté, de les rassurer puis de l'autre de vouloir les maîtriser en usant de la force. Depuis le début de l'année, les établissements scolaires ont été le théâtre de plusieurs mouvements de protestations organisés par plusieurs syndicats du secteur. Une situation qui ne peut plus durer d'autant que la tutelle joue au chat et la souris avec les différents syndicats en essayant, d'un côté, de les rassurer puis de l'autre de vouloir les maîtriser en usant de la force. Ainsi ces grèves qui se généralisent à chaque déclaration de la tutelle, semblent prendre de jour en jour plus de fermeté. De surcroît, pour cette quatrième semaine de protestation les élèves des différents paliers (primaire secondaire et lycée) ont vu les portes de leurs établissements verrouillées et deviennent, comme il est de coutume maintenant, les victimes d'un dialogue de sourds entre syndicats et ministère de tutelle. Nos bambins appréhendent, d'ores et déjà, que leurs vacances de printemps ne soient compromises pour assurer les cours ratés durant la grève. D'autant plus que le ministère de tutelle a émis des instructions provocatrices et inédites qui ont contribué à accroître la tension et la colère des enseignants. Le syndicat rappelle que « la grève est un droit constitutionnel » et précise que « ça ne sert à rien de menacer les grévistes ». Les syndicats du secteur de l'Education ne désarment pas, loin s'en faut. Ils sont plus que jamais, en effet, décidés à poursuivre leur mouvement de grève jusqu'à la satisfaction de leurs revendications. Cette grève illimitée des deux syndicats, l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (l'UNPEF) et Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (CNAPEST) et celle de cinq jours du Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (SNAPEST) a opté pour une grève de cinq jours, semble atteindre pour le premier jour de débrayage un véritable succès. Ainsi pour Nour Larbi, membre du Cnapest «plusieurs autres wilayas ont rejoint ce mouvement de débrayage. Les déclarations menaçantes de la tutelle ont eu un effet inverse et ont donné un nouveau souffle de solidarité entre les grévistes d'une façon extraordinaire ». Le Cnapest a ainsi annoncé pour ce premier jour un taux de suivi très large atteignant les 85% sur tout le territoire national. Pour le Snapest, la grève sera reconduite les prochain jours d'autant plus que les protestataires ne désarment pas malgré les menaces qui ne cessent de planer sur eux, le taux de participation annoncé pour le premier jour de grève dépassant les 75% à l'échelle nationale montre également la détermination des syndicalistes. L'UNPEF a décidé, lors de la réunion de son bureau national, des rencontres régionales pour décider de la suite à donner à son mouvement, d'autant que le ministère a menacé de « licenciement les grévistes qui refuseraient de rejoindre leurs postes ». Ces menaces commencent déjà à être appliquées dans la wilaya de Blida où des mises en demeure ont été envoyées aux enseignants grévistes. De son côté, Sadek Dziri, président de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (l'UNPEF), a précisé que l'arrêt de ce débrayage dépendra de la disponibilité de la tutelle à satisfaire les revendications des enseignants. Ainsi ces grèves qui se généralisent à chaque déclaration de la tutelle, semblent prendre de jour en jour plus de fermeté. De surcroît, pour cette quatrième semaine de protestation les élèves des différents paliers (primaire secondaire et lycée) ont vu les portes de leurs établissements verrouillées et deviennent, comme il est de coutume maintenant, les victimes d'un dialogue de sourds entre syndicats et ministère de tutelle. Nos bambins appréhendent, d'ores et déjà, que leurs vacances de printemps ne soient compromises pour assurer les cours ratés durant la grève. D'autant plus que le ministère de tutelle a émis des instructions provocatrices et inédites qui ont contribué à accroître la tension et la colère des enseignants. Le syndicat rappelle que « la grève est un droit constitutionnel » et précise que « ça ne sert à rien de menacer les grévistes ». Les syndicats du secteur de l'Education ne désarment pas, loin s'en faut. Ils sont plus que jamais, en effet, décidés à poursuivre leur mouvement de grève jusqu'à la satisfaction de leurs revendications. Cette grève illimitée des deux syndicats, l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (l'UNPEF) et Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (CNAPEST) et celle de cinq jours du Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (SNAPEST) a opté pour une grève de cinq jours, semble atteindre pour le premier jour de débrayage un véritable succès. Ainsi pour Nour Larbi, membre du Cnapest «plusieurs autres wilayas ont rejoint ce mouvement de débrayage. Les déclarations menaçantes de la tutelle ont eu un effet inverse et ont donné un nouveau souffle de solidarité entre les grévistes d'une façon extraordinaire ». Le Cnapest a ainsi annoncé pour ce premier jour un taux de suivi très large atteignant les 85% sur tout le territoire national. Pour le Snapest, la grève sera reconduite les prochain jours d'autant plus que les protestataires ne désarment pas malgré les menaces qui ne cessent de planer sur eux, le taux de participation annoncé pour le premier jour de grève dépassant les 75% à l'échelle nationale montre également la détermination des syndicalistes. L'UNPEF a décidé, lors de la réunion de son bureau national, des rencontres régionales pour décider de la suite à donner à son mouvement, d'autant que le ministère a menacé de « licenciement les grévistes qui refuseraient de rejoindre leurs postes ». Ces menaces commencent déjà à être appliquées dans la wilaya de Blida où des mises en demeure ont été envoyées aux enseignants grévistes. De son côté, Sadek Dziri, président de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (l'UNPEF), a précisé que l'arrêt de ce débrayage dépendra de la disponibilité de la tutelle à satisfaire les revendications des enseignants.