Le Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes) a relevé des "avancées" dans son partenariat avec le ministère de tutelle, sur les questions socioprofessionnelles. Le Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes) a relevé des "avancées" dans son partenariat avec le ministère de tutelle, sur les questions socioprofessionnelles. Le Conseil national, réuni le 21 février dernier, a pris acte de "l'engagement du ministère de réajuster les doctorats es-sciences et d'Etat, justifié par le parcours pédagogique des enseignants-chercheurs et leur contribution dans les activités de recherche", perçue comme "une réponse à une revendication importante des universitaires" rapporte l'APS. Il a été en outre estimé que la dernière initiative de la tutelle permettant de résorber le problème de logement dû aux retards de réalisation, par l'affectation provisoire de logements finis aux profits des enseignants, "contribuera à solutionner partiellement le lourd dossier du logement". Dans ce cadre, le syndicat a jugé cette approche "insuffisante", indiquant qu'elle devait être complétée par "des mesures complémentaires et concrètes" par le recours à d'autres formules tels le LSP, le LLP et l'AADL, afin de pallier le déficit croissant en logements. Le Cnes, qui a déploré "la dévalorisation du revenu de l'enseignant et la gestion chaotique" de l'université, a enregistré la "relance du partenariat" avec la tutelle, et a appelé les universitaires, à se mobiliser pour "défendre leurs droits", lit-on dans le texte Le Conseil national, réuni le 21 février dernier, a pris acte de "l'engagement du ministère de réajuster les doctorats es-sciences et d'Etat, justifié par le parcours pédagogique des enseignants-chercheurs et leur contribution dans les activités de recherche", perçue comme "une réponse à une revendication importante des universitaires" rapporte l'APS. Il a été en outre estimé que la dernière initiative de la tutelle permettant de résorber le problème de logement dû aux retards de réalisation, par l'affectation provisoire de logements finis aux profits des enseignants, "contribuera à solutionner partiellement le lourd dossier du logement". Dans ce cadre, le syndicat a jugé cette approche "insuffisante", indiquant qu'elle devait être complétée par "des mesures complémentaires et concrètes" par le recours à d'autres formules tels le LSP, le LLP et l'AADL, afin de pallier le déficit croissant en logements. Le Cnes, qui a déploré "la dévalorisation du revenu de l'enseignant et la gestion chaotique" de l'université, a enregistré la "relance du partenariat" avec la tutelle, et a appelé les universitaires, à se mobiliser pour "défendre leurs droits", lit-on dans le texte