Une soixantaine de toiles, œuvres d'autant de plasticiens constantinois, est exposée au musée national Cirta, dégageant une profonde sensibilité exhalée du tréfonds de l'imagination féconde des artistes qui dépeignent avec passion leur cité plurielle. Une soixantaine de toiles, œuvres d'autant de plasticiens constantinois, est exposée au musée national Cirta, dégageant une profonde sensibilité exhalée du tréfonds de l'imagination féconde des artistes qui dépeignent avec passion leur cité plurielle. Une "richesse de formes, de couleurs et de nuances semble libérer les "émanations d'une ville dont la beauté et le caractère pittoresque ne peuvent être que source d'inspiration pour des artistes", estime Fouad, un jeune étudiant rencontré par l'APS dans le hall de l'exposition. Les images proposées aux visiteurs à travers les tableaux exposés, quelque peu "fuyantes", parfois ambiguës, se distinguent par des contours perceptibles: la vieille médina et la souika, toujours en effervescence, sont bien là et attirent en premier, comme un véritable aimant, la curiosité des amateurs du beau. "La médina a une âme et possède un cœur qui bat, que seule la sensibilité de l'esprit et le sentiment noble d'un nostalgique peuvent discerner", murmure une artiste à l'oreille d'un visiteur figé devant un tableau signé de la plume de Bachir Boucheriha qui consacre ses œuvres picturales à la ville de Constantine, à ses monuments, à ses curiosités et à ses particularités. Chafika Bendali-Hacine, artiste et secrétaire générale de l'Association des plasticiens algériens (APA), organisatrice de cette exposition de 20 jours, estime que "la muse de l'artiste, l'égérie du poète et les yeux intérieurs de l'homme de lettres ou de l'amateur d'art peuvent également sentir les pulsations de la cité, pleine de vie, mais malheureusement invisible pour ceux qui ne savent pas regarder". De ces tableaux, se dégagent, dans une harmonie douce, le figuratif, l'abstrait, le réalisme et d'une manière plus distincte, l'impressionnisme où le jaune, le bleu et l'ocre dominent. L'amour, la vie, l'espoir, le bonheur, l'idéal et des scènes évoquant le cri silencieux du désespoir, de la pauvreté et de la souffrance humaine sont rassemblés côte à côte dans cette méga exposition que le public constantinois semble particulièrement apprécier. Une "richesse de formes, de couleurs et de nuances semble libérer les "émanations d'une ville dont la beauté et le caractère pittoresque ne peuvent être que source d'inspiration pour des artistes", estime Fouad, un jeune étudiant rencontré par l'APS dans le hall de l'exposition. Les images proposées aux visiteurs à travers les tableaux exposés, quelque peu "fuyantes", parfois ambiguës, se distinguent par des contours perceptibles: la vieille médina et la souika, toujours en effervescence, sont bien là et attirent en premier, comme un véritable aimant, la curiosité des amateurs du beau. "La médina a une âme et possède un cœur qui bat, que seule la sensibilité de l'esprit et le sentiment noble d'un nostalgique peuvent discerner", murmure une artiste à l'oreille d'un visiteur figé devant un tableau signé de la plume de Bachir Boucheriha qui consacre ses œuvres picturales à la ville de Constantine, à ses monuments, à ses curiosités et à ses particularités. Chafika Bendali-Hacine, artiste et secrétaire générale de l'Association des plasticiens algériens (APA), organisatrice de cette exposition de 20 jours, estime que "la muse de l'artiste, l'égérie du poète et les yeux intérieurs de l'homme de lettres ou de l'amateur d'art peuvent également sentir les pulsations de la cité, pleine de vie, mais malheureusement invisible pour ceux qui ne savent pas regarder". De ces tableaux, se dégagent, dans une harmonie douce, le figuratif, l'abstrait, le réalisme et d'une manière plus distincte, l'impressionnisme où le jaune, le bleu et l'ocre dominent. L'amour, la vie, l'espoir, le bonheur, l'idéal et des scènes évoquant le cri silencieux du désespoir, de la pauvreté et de la souffrance humaine sont rassemblés côte à côte dans cette méga exposition que le public constantinois semble particulièrement apprécier.