La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a célébré jeudi le 41 ème anniversaire de sortie de la 1ère promotion de femmes policières (1973-2014), lors d'une cérémonie qui a coïncidé avec la célébration de la Journée mondiale de la femme. La cérémonie organisée à l'Ecole supérieure de police Ali-Tounsi à Alger, a été présidée par le directeur général de la DGSN, le général-major Abdelghani Hamel. La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a célébré jeudi le 41 ème anniversaire de sortie de la 1ère promotion de femmes policières (1973-2014), lors d'une cérémonie qui a coïncidé avec la célébration de la Journée mondiale de la femme. La cérémonie organisée à l'Ecole supérieure de police Ali-Tounsi à Alger, a été présidée par le directeur général de la DGSN, le général-major Abdelghani Hamel. A cette occasion, des moudjahidate des policières, des femmes du mouvement associatif, des journalistes, des artistes, ainsi que des personnalités nationales et sportives ont été honorées en reconnaissance de leurs réalisations dans divers domaines qui ont démontré de quoi la femme algérienne est capable. Dans une allocution lue en son nom par la directrice de l'enseignement et des écoles, Medouri Nacera, le Directeur général de la Sûreté nationale a appelé la femme policière à s'imposer et à s'affirmer davantage au sein du corps de la Sûreté nationale. «Le nombre global des femmes dans le corps de la Sûreté nationale s'élève à 16.565, entre cadres, gradées, agents de police et fonctionnaires", soit 8,68% de l'effectif global, a indiqué la même responsable. Pour sa part, le directeur de la communication et des relations publiques à la DGSN, le commissaire divisionnaire Djilali Boudalia, a souligné que "la femme policière a fait ses preuves, à travers son dévouement dans l'accomplissement de sa mission depuis son adhésion aux rangs de la Sûreté nationale et après avoir investi plusieurs spécialités qui lui ont permis d'acquérir une grande expérience sur le terrain » Avant la cérémonie, le directeur de la communication et des relations publiques à la DGSN, le commissaire divisionnaire Djilali Boudalia nous a indiqué que le recrutement de femmes dans le corps de police a connu «une évolution qualitative» depuis 1973, d'ailleurs «leur nombre étant passé aujourd'hui à plus de 16000 entre cadres, gradées, agents de police et fonctionnaires». Pour M. Boudalia, la DGSN a «réussi grâce à la politique des portes ouvertes à recruter des femmes et à leur assurer les meilleures conditions pour s'acquitter pleinement de leurs missions », soulignant «la conviction de la Direction générale de la Sûreté nationale de l'importance du rôle de la femme en matière d'investigation et de lutte contre le crime». Le corps de police «compte désormais parmi les domaines professionnels les plus attractifs pour la femme», d'autant que la DGSN «accorde un grand intérêt au travail des policières», et de par «les mesures incitatives prises pour assurer la stabilité à cette catégorie» nous a –t-il précisé.Ainsi depuis que la femme algérienne a intégré les services de police avec le recrutement de la 1ère promotion d'inspectrices de police en 1973, l'Algérie compte chaque année un nombre important de femmes qui exerce dans les corps de police. Le recrutement des femmes au sein de la police algérienne et à l'instar de leurs collègues hommes, se fait sur la base de critères règlementés, à savoir : « le diplôme, les aptitudes physiques, les dispositions psychologiques, la moralité, etc » Par ailleurs, d'après notre interlocuteur « leurs compétences liées aux contacts et à l'accueil s'est avéré, de même que dans le cadre de l'investigation et la recherche. De ce fait, ayant investi tous les domaines d'activités policières, la femme perçoit la même rémunération et les mêmes gratifications que l'homme et ceci pour un travail égal. » Enfin, il est à noter que durant cette journée de double commémoration, une visite guidée a été organisée pour les invités au Musée central de l'Ecole supérieure de police de Châteauneuf. Cela a permis pour les visiteurs de revenir sur les différentes étapes qui ont jalonné l'histoire de la police algérienne depuis le 2ème siècle de l'Hégire (8ème siècle après J.C.) jusqu'à nos jours. Par la même occasion, les invités ont pu s'imprégner des différentes missions assurées par le policier algérien. Le musée central de la police créé récemment est d'une superficie de près de 600 m2 (avec les services administratifs et techniques). Il offre aux visiteurs une variété d'objets et d'œuvres, de près de 1.000 ouvrages ainsi qu'un nombre important de documents relatant l'histoire de la police algérienne. Une large place a été également réservée à la contribution de la Sûreté nationale dans des actions de volontariat et d'assistance au citoyen. A cette occasion, des moudjahidate des policières, des femmes du mouvement associatif, des journalistes, des artistes, ainsi que des personnalités nationales et sportives ont été honorées en reconnaissance de leurs réalisations dans divers domaines qui ont démontré de quoi la femme algérienne est capable. Dans une allocution lue en son nom par la directrice de l'enseignement et des écoles, Medouri Nacera, le Directeur général de la Sûreté nationale a appelé la femme policière à s'imposer et à s'affirmer davantage au sein du corps de la Sûreté nationale. «Le nombre global des femmes dans le corps de la Sûreté nationale s'élève à 16.565, entre cadres, gradées, agents de police et fonctionnaires", soit 8,68% de l'effectif global, a indiqué la même responsable. Pour sa part, le directeur de la communication et des relations publiques à la DGSN, le commissaire divisionnaire Djilali Boudalia, a souligné que "la femme policière a fait ses preuves, à travers son dévouement dans l'accomplissement de sa mission depuis son adhésion aux rangs de la Sûreté nationale et après avoir investi plusieurs spécialités qui lui ont permis d'acquérir une grande expérience sur le terrain » Avant la cérémonie, le directeur de la communication et des relations publiques à la DGSN, le commissaire divisionnaire Djilali Boudalia nous a indiqué que le recrutement de femmes dans le corps de police a connu «une évolution qualitative» depuis 1973, d'ailleurs «leur nombre étant passé aujourd'hui à plus de 16000 entre cadres, gradées, agents de police et fonctionnaires». Pour M. Boudalia, la DGSN a «réussi grâce à la politique des portes ouvertes à recruter des femmes et à leur assurer les meilleures conditions pour s'acquitter pleinement de leurs missions », soulignant «la conviction de la Direction générale de la Sûreté nationale de l'importance du rôle de la femme en matière d'investigation et de lutte contre le crime». Le corps de police «compte désormais parmi les domaines professionnels les plus attractifs pour la femme», d'autant que la DGSN «accorde un grand intérêt au travail des policières», et de par «les mesures incitatives prises pour assurer la stabilité à cette catégorie» nous a –t-il précisé.Ainsi depuis que la femme algérienne a intégré les services de police avec le recrutement de la 1ère promotion d'inspectrices de police en 1973, l'Algérie compte chaque année un nombre important de femmes qui exerce dans les corps de police. Le recrutement des femmes au sein de la police algérienne et à l'instar de leurs collègues hommes, se fait sur la base de critères règlementés, à savoir : « le diplôme, les aptitudes physiques, les dispositions psychologiques, la moralité, etc » Par ailleurs, d'après notre interlocuteur « leurs compétences liées aux contacts et à l'accueil s'est avéré, de même que dans le cadre de l'investigation et la recherche. De ce fait, ayant investi tous les domaines d'activités policières, la femme perçoit la même rémunération et les mêmes gratifications que l'homme et ceci pour un travail égal. » Enfin, il est à noter que durant cette journée de double commémoration, une visite guidée a été organisée pour les invités au Musée central de l'Ecole supérieure de police de Châteauneuf. Cela a permis pour les visiteurs de revenir sur les différentes étapes qui ont jalonné l'histoire de la police algérienne depuis le 2ème siècle de l'Hégire (8ème siècle après J.C.) jusqu'à nos jours. Par la même occasion, les invités ont pu s'imprégner des différentes missions assurées par le policier algérien. Le musée central de la police créé récemment est d'une superficie de près de 600 m2 (avec les services administratifs et techniques). Il offre aux visiteurs une variété d'objets et d'œuvres, de près de 1.000 ouvrages ainsi qu'un nombre important de documents relatant l'histoire de la police algérienne. Une large place a été également réservée à la contribution de la Sûreté nationale dans des actions de volontariat et d'assistance au citoyen.