Les travaux de la 141ème session du Conseil de la Ligue arabe ont débuté, hier au siège du secrétariat général de l'organisation, au niveau des ministres arabes des Affaires étrangères avec la participation du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra qui préside la délégation algérienne à ces travaux. Les travaux de la 141ème session du Conseil de la Ligue arabe ont débuté, hier au siège du secrétariat général de l'organisation, au niveau des ministres arabes des Affaires étrangères avec la participation du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra qui préside la délégation algérienne à ces travaux. Avant le début des travaux, M. Lamamra a eu des entretiens avec le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil Al Arabi. Il sera procédé lors de cette rencontre à la signature d'un mémorandum d'entente entre l'Algérie et le secrétariat général de la Ligue arabe sur la mission de la Ligue arabe pour le suivi de l'élection présidentielle prévue le 17 avril prochain en Algérie. Les travaux du Conseil des ministres arabes des AE qui s'étaleront sur deux jours s'articuleront autour de différentes questions relatives à l'action arabe commune sur les plans politique, économique, social, financier, administratif et sécuritaire. Il s'agira également de l'examen du rapport du secrétaire général de la Ligue arabe sur le développement de l'organisation, le projet de l'ordre du jour de la 25 ème session du sommet arabe, prévu les 25 et 26 janvier en cours à Koweït, la révision du projet du statut de la Cour arabe des droits de l'Homme et l'examen de la proposition du Sultanat d'Oman relative à la révision de l'action des commissions ministérielles relevant du conseil de la Ligue arabe. Les participants auront à débattre, entre autres, des relations arabes avec les ensembles régionaux et internationaux dont l'Union africaine (UA), l'Union européenne (UE) ainsi qu'avec les pays d'Asie et d'Amérique du sud. Il sera également question de l'examen de l'élaboration d'une stratégie arabe unifiée sur le dialogue des civilisations, la création d'une commission arabo-africaine pour prendre en charge les questions de l'émigration et les relations entre l'organisation arabe de la femme et la Ligue arabe outre la création d'un centre culturel arabe à Bruxelles. Le secrétaire général adjoint de la ligue arabe, Ahmed Ben Helli a mis en évidence, dans une déclaration à la presse, l'importance du sommet arabe de Koweït pour faire face aux défis actuels, assainir la situation et mettre un terme aux conflits interarabes précisant que la réunion des délégués permanents de la Ligue arabe tenue mercredi dernier avait examiné les préparatifs du conseil ministériel arabe prévu dimanche ainsi que les préparatifs du sommet de Koweït. Il a fait savoir que la Ligue arabe attendait les conclusions d'une rencontre prévue fin mars entre la délégation ministérielle arabe et le secrétaire d'Etat américain John Kerry pour prendre note des efforts des Etats-unis dans le cadre de ce qui sera proposé au sujet de la relance du processus politique actuellement dans l'impasse. La réunion des ministres arabes des AE, a-t-il poursuivi, devra mettre l'accent sur les constantes fondamentales de la position arabe vis-à-vis de la question palestinienne d'autant que la partie arabe a fait de son mieux à travers l'initiative de paix arabe. La crise syrienne et la conférence "Genève 2" seront à l'ordre du jour, selon M. Ben Helli qui a précisé que cette question sera soumise aux ministres arabes des AE. Avant le début des travaux, M. Lamamra a eu des entretiens avec le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil Al Arabi. Il sera procédé lors de cette rencontre à la signature d'un mémorandum d'entente entre l'Algérie et le secrétariat général de la Ligue arabe sur la mission de la Ligue arabe pour le suivi de l'élection présidentielle prévue le 17 avril prochain en Algérie. Les travaux du Conseil des ministres arabes des AE qui s'étaleront sur deux jours s'articuleront autour de différentes questions relatives à l'action arabe commune sur les plans politique, économique, social, financier, administratif et sécuritaire. Il s'agira également de l'examen du rapport du secrétaire général de la Ligue arabe sur le développement de l'organisation, le projet de l'ordre du jour de la 25 ème session du sommet arabe, prévu les 25 et 26 janvier en cours à Koweït, la révision du projet du statut de la Cour arabe des droits de l'Homme et l'examen de la proposition du Sultanat d'Oman relative à la révision de l'action des commissions ministérielles relevant du conseil de la Ligue arabe. Les participants auront à débattre, entre autres, des relations arabes avec les ensembles régionaux et internationaux dont l'Union africaine (UA), l'Union européenne (UE) ainsi qu'avec les pays d'Asie et d'Amérique du sud. Il sera également question de l'examen de l'élaboration d'une stratégie arabe unifiée sur le dialogue des civilisations, la création d'une commission arabo-africaine pour prendre en charge les questions de l'émigration et les relations entre l'organisation arabe de la femme et la Ligue arabe outre la création d'un centre culturel arabe à Bruxelles. Le secrétaire général adjoint de la ligue arabe, Ahmed Ben Helli a mis en évidence, dans une déclaration à la presse, l'importance du sommet arabe de Koweït pour faire face aux défis actuels, assainir la situation et mettre un terme aux conflits interarabes précisant que la réunion des délégués permanents de la Ligue arabe tenue mercredi dernier avait examiné les préparatifs du conseil ministériel arabe prévu dimanche ainsi que les préparatifs du sommet de Koweït. Il a fait savoir que la Ligue arabe attendait les conclusions d'une rencontre prévue fin mars entre la délégation ministérielle arabe et le secrétaire d'Etat américain John Kerry pour prendre note des efforts des Etats-unis dans le cadre de ce qui sera proposé au sujet de la relance du processus politique actuellement dans l'impasse. La réunion des ministres arabes des AE, a-t-il poursuivi, devra mettre l'accent sur les constantes fondamentales de la position arabe vis-à-vis de la question palestinienne d'autant que la partie arabe a fait de son mieux à travers l'initiative de paix arabe. La crise syrienne et la conférence "Genève 2" seront à l'ordre du jour, selon M. Ben Helli qui a précisé que cette question sera soumise aux ministres arabes des AE.