Une grève des cheminots à l'appui de revendications salariales, entamée dans la matinée de lundi, continue de perturber à la mi-journée le trafic ferroviaire des trains de banlieues est et ouest d'Alger, à la gare de l'Agha. Les voyageurs étaient, jusqu'à midi de la journée de lundi, dans l'expectative, les trains de banlieues étant à l'arrêt. Une grève des cheminots à l'appui de revendications salariales, entamée dans la matinée de lundi, continue de perturber à la mi-journée le trafic ferroviaire des trains de banlieues est et ouest d'Alger, à la gare de l'Agha. Les voyageurs étaient, jusqu'à midi de la journée de lundi, dans l'expectative, les trains de banlieues étant à l'arrêt. Tôt lundi dans la matinée, à la gare de Aïn Naâdja, les habitués des trains Alger-Blida-El Affroun ont dû chercher d'autres moyens de transports pour rallier la capitale, selon un voyageur. Le débrayage des travailleurs de la SNTF, du moins de la région d'Alger, est dû à des revendications salariales, explique à l'APS le directeur général de la SNTF, Yacine Bendjaballah. ''Nous sommes en train de négocier avec les représentants des cheminots, qui demandent un rappel (des salaires) de 36 mois'', a-t-il ajouté. Selon M. Bendjaballah, ''la direction (de la SNTF) n'a pas les moyens (financiers) de satisfaire cette demande pour 12.000 agents'' que compte l'entreprise. ''Nous allons soumettre tout cela à la tutelle'', ajoute t-il. Lundi aux environs de 12h30, ''les négociations sont toujours en cours'' avec les représentants des travailleurs, a-t-il fait remarquer par ailleurs. Les travailleurs de la SNTF avaient observé en 2011 un débrayage de plusieurs jours pour revendiquer une hausse des salaires avec effet rétroactif, dont le versement du rappel à partir de 2009. A la gare de l'Agha, le trafic ferroviaire de banlieue était à l'arrêt à la mi-journée. Tôt lundi dans la matinée, à la gare de Aïn Naâdja, les habitués des trains Alger-Blida-El Affroun ont dû chercher d'autres moyens de transports pour rallier la capitale, selon un voyageur. Le débrayage des travailleurs de la SNTF, du moins de la région d'Alger, est dû à des revendications salariales, explique à l'APS le directeur général de la SNTF, Yacine Bendjaballah. ''Nous sommes en train de négocier avec les représentants des cheminots, qui demandent un rappel (des salaires) de 36 mois'', a-t-il ajouté. Selon M. Bendjaballah, ''la direction (de la SNTF) n'a pas les moyens (financiers) de satisfaire cette demande pour 12.000 agents'' que compte l'entreprise. ''Nous allons soumettre tout cela à la tutelle'', ajoute t-il. Lundi aux environs de 12h30, ''les négociations sont toujours en cours'' avec les représentants des travailleurs, a-t-il fait remarquer par ailleurs. Les travailleurs de la SNTF avaient observé en 2011 un débrayage de plusieurs jours pour revendiquer une hausse des salaires avec effet rétroactif, dont le versement du rappel à partir de 2009. A la gare de l'Agha, le trafic ferroviaire de banlieue était à l'arrêt à la mi-journée.