Expliquant son programme électoral, il a affirmé croire à la démocratie, avant d'ajouter que ''l'opposition est un partenaire qui a droit d'accès à la télévision et le droit d'accéder au pouvoir''. 'L'opposition existe, et j'ai du respect pour les opposants qui se sont organisé à la salle Harcha. Expliquant son programme électoral, il a affirmé croire à la démocratie, avant d'ajouter que ''l'opposition est un partenaire qui a droit d'accès à la télévision et le droit d'accéder au pouvoir''. 'L'opposition existe, et j'ai du respect pour les opposants qui se sont organisé à la salle Harcha. Ils ont le droit de boycotter comme ils ont le droit de revendiquer un Etat démocratique'', a-t-il relevé, précisant qu'il ne partage pas la même vision dans la méthodologie. ''Ils ont choisit de boycotter, j'ai choisi de participer'' à l'élection du 17 avril. Sur le volet social, Benflis a promis de revoir le régime des pensions des retraités s'il est élu ''pour leur permettre une vie décente''. ''La catégorie des retraités est parmi les plus lésées dans tous les secteurs. Je promet de les réhabiliter et de réviser leurs pensions afin de leur permettre d'avoir une vie digne'', a-t-il affirmé, notant à l'adresse des jeunes qu'il croit fermement dans ''l'interconnexion des générations''. ''Cette révision des pensions touchera tous les secteurs : administratif, éducatif, des collectivités et bien d'autres, a-t-il précisé. Le candidat indépendant Benflis, au deuxième jour de la campagne, a par ailleurs estimé que la situation du secteur de la santé ''va mal. Nous sommes les derniers de la classe sur le plan mondial'', a martelé Benflis, ajoutant que cela est ''dû à l'absence d'un plan national pour le secteur qui puisse prendre en charge les préoccupations socio-professionnelles des corps médical et paramédical''. Le même constat est fait concernant le secteur de l'éducation. Benflis qualifie la ''situation de précaire, le problème n'est pas dans le corps enseignant mais dans ceux qui n'ont pas su gérer le secteur''. Il réfute par ailleurs certains qualificatifs de la situation actuelle de l'école algérienne, comme celui de ''l'école est sinistrée'', ou ''l'école a enfanté des terroristes'', considérant cela comme un ''manque de respect et de considération aux enseignants, alors qu'ils vivent de réels problèmes sociaux et professionnels''. Par ailleurs, Benflis a indiqué que ''l'histoire de l'Algérie ne peut s'écrire sans qu'il y ait une réconciliation avec l'histoire par la réhabilitation de tous ceux qui ont participé à la guerre de libération et ceux qui ont contribué à la libération du pays''. Enfin, il a réitéré sa volonté d'être ''un rassembleur et porteur d'un projet qui réunit les Algériens, car un Etat ne peut être géré par les humeurs, les injures et la division du peuple''. Ils ont le droit de boycotter comme ils ont le droit de revendiquer un Etat démocratique'', a-t-il relevé, précisant qu'il ne partage pas la même vision dans la méthodologie. ''Ils ont choisit de boycotter, j'ai choisi de participer'' à l'élection du 17 avril. Sur le volet social, Benflis a promis de revoir le régime des pensions des retraités s'il est élu ''pour leur permettre une vie décente''. ''La catégorie des retraités est parmi les plus lésées dans tous les secteurs. Je promet de les réhabiliter et de réviser leurs pensions afin de leur permettre d'avoir une vie digne'', a-t-il affirmé, notant à l'adresse des jeunes qu'il croit fermement dans ''l'interconnexion des générations''. ''Cette révision des pensions touchera tous les secteurs : administratif, éducatif, des collectivités et bien d'autres, a-t-il précisé. Le candidat indépendant Benflis, au deuxième jour de la campagne, a par ailleurs estimé que la situation du secteur de la santé ''va mal. Nous sommes les derniers de la classe sur le plan mondial'', a martelé Benflis, ajoutant que cela est ''dû à l'absence d'un plan national pour le secteur qui puisse prendre en charge les préoccupations socio-professionnelles des corps médical et paramédical''. Le même constat est fait concernant le secteur de l'éducation. Benflis qualifie la ''situation de précaire, le problème n'est pas dans le corps enseignant mais dans ceux qui n'ont pas su gérer le secteur''. Il réfute par ailleurs certains qualificatifs de la situation actuelle de l'école algérienne, comme celui de ''l'école est sinistrée'', ou ''l'école a enfanté des terroristes'', considérant cela comme un ''manque de respect et de considération aux enseignants, alors qu'ils vivent de réels problèmes sociaux et professionnels''. Par ailleurs, Benflis a indiqué que ''l'histoire de l'Algérie ne peut s'écrire sans qu'il y ait une réconciliation avec l'histoire par la réhabilitation de tous ceux qui ont participé à la guerre de libération et ceux qui ont contribué à la libération du pays''. Enfin, il a réitéré sa volonté d'être ''un rassembleur et porteur d'un projet qui réunit les Algériens, car un Etat ne peut être géré par les humeurs, les injures et la division du peuple''.