Les participants à la journée nationale de néphrologie organisée, au CHU Nedir Mohamed de Tizi-Ouzou, ont insisté sur la nécessité de prévenir et de bien traiter les maladies chroniques afin d'éviter aux malades de développer des insuffisances rénales. Les participants à la journée nationale de néphrologie organisée, au CHU Nedir Mohamed de Tizi-Ouzou, ont insisté sur la nécessité de prévenir et de bien traiter les maladies chroniques afin d'éviter aux malades de développer des insuffisances rénales. Le Pr Othmane Seba, chef de service néphrologie du CHU de Tizi-Ouzou, a indiqué, à l'ouverture des travaux de cette rencontre scientifique, que plus de la moitié des malades admis au niveau du service de dialyse de cet établissement hospitalier, sont des diabétiques ou des personnes souffrant d'hypertension artérielle. Pour sa part, le Dr Mohand Akli Boubchir, qui a présenté une communication sur la "protection de la fonction rénale chez le diabétique", a observé qu'un mauvais contrôle du diabète et un déséquilibre fréquent de la glycémie, peuvent entraîner l'apparition d'une néphropathie, chez ces patients. Il a souligné que 20 à 40% de diabétiques de type1 peuvent développer une insuffisance rénale, ce taux est de 10 à 30% pour les diabétiques de type 2. Il a toutefois tenu à rassurer qu'un bon contrôle de la glycémie réduit de 40% le risque de développer une néphropathie. Le Dr Boubchir a souligné, par ailleurs, que le tabagisme, les antécédents familiaux, la hausse du taux de cholestérol et l'hypertension, sont d'autres facteurs à risque de néphropathie, qu'il faudra prendre en charge. Le Pr Séba, a indiqué à l'APS que "la greffe rénale au CHU de Tizi-Ouzou va connaître un progrès remarquable en 2014, avec la pratique, durant cette année, de la première greffe rénale sur donneur en état de mort cérébrale". En prévision de cette démarche, des mesures sont déjà engagées par la direction générale du CHU pour améliorer l'accueil et la prise en charge des malades. En outre une journée de sensibilisation sur le don d'organes est prévue pour le mois de mai prochain afin de sensibiliser l'ensemble des intervenants (agent de sécurité, personnel paramédical, administration et personnel médical) sur ce sujet qui demeure très sensible, a-t-il ajouté. Le service néphrologie du CHU de Tizi- Ouzou prend, actuellement, en charge un total de 130 malades hémodialysés chroniques. Une quinzaine de greffes rénales sont pratiquées annuellement à partir de donneur vivants apparentés, a-t-on indiqué de même source. Le Pr Othmane Seba, chef de service néphrologie du CHU de Tizi-Ouzou, a indiqué, à l'ouverture des travaux de cette rencontre scientifique, que plus de la moitié des malades admis au niveau du service de dialyse de cet établissement hospitalier, sont des diabétiques ou des personnes souffrant d'hypertension artérielle. Pour sa part, le Dr Mohand Akli Boubchir, qui a présenté une communication sur la "protection de la fonction rénale chez le diabétique", a observé qu'un mauvais contrôle du diabète et un déséquilibre fréquent de la glycémie, peuvent entraîner l'apparition d'une néphropathie, chez ces patients. Il a souligné que 20 à 40% de diabétiques de type1 peuvent développer une insuffisance rénale, ce taux est de 10 à 30% pour les diabétiques de type 2. Il a toutefois tenu à rassurer qu'un bon contrôle de la glycémie réduit de 40% le risque de développer une néphropathie. Le Dr Boubchir a souligné, par ailleurs, que le tabagisme, les antécédents familiaux, la hausse du taux de cholestérol et l'hypertension, sont d'autres facteurs à risque de néphropathie, qu'il faudra prendre en charge. Le Pr Séba, a indiqué à l'APS que "la greffe rénale au CHU de Tizi-Ouzou va connaître un progrès remarquable en 2014, avec la pratique, durant cette année, de la première greffe rénale sur donneur en état de mort cérébrale". En prévision de cette démarche, des mesures sont déjà engagées par la direction générale du CHU pour améliorer l'accueil et la prise en charge des malades. En outre une journée de sensibilisation sur le don d'organes est prévue pour le mois de mai prochain afin de sensibiliser l'ensemble des intervenants (agent de sécurité, personnel paramédical, administration et personnel médical) sur ce sujet qui demeure très sensible, a-t-il ajouté. Le service néphrologie du CHU de Tizi- Ouzou prend, actuellement, en charge un total de 130 malades hémodialysés chroniques. Une quinzaine de greffes rénales sont pratiquées annuellement à partir de donneur vivants apparentés, a-t-on indiqué de même source.