Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, conscient de la souffrance des cancéreux, a annoncé que son département "améliorera la prise en charge des cancéreux au volet radiothérapie avant la fin de l'année 2014 en équipant les centres anti-cancers (CAC)". Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, conscient de la souffrance des cancéreux, a annoncé que son département "améliorera la prise en charge des cancéreux au volet radiothérapie avant la fin de l'année 2014 en équipant les centres anti-cancers (CAC)". Le ministre, qui présidait l'ouverture du 1er Salon international des expertises pour le domaine hospitalier "Al-Moustachfa" qui s'étendra jusqu'au 4 avril, a indiqué que son département "a jugulé la pénurie des médicaments destinés au traitement du cancer et s'atèle actuellement à équiper les centres anti-cancéreux pour mettre fin à la souffrance des malades". Le déficit enregistré en matière de traitement par radiothérapie a privé 20.000 cancéreux de ce type de thérapies qui ne profite qu'à près de 8.000 des 28.000 cancéreux nécessitant ce traitement. Pour M. Boudiaf, la radiothérapie constitue "une étape extrêmement sensible" dans le traitement du cancer précisant que l'Etat avait mis en place les moyens nécessaires pour la prise en charge de cette pathologie, le coût de la prise en charge ayant passé de 11 milliards DA en 2000 à 35 milliards DA en 2013. Concernant les CAC, le ministre a annoncé l'ouverture avant la fin de l'année de six nouveaux centres à travers tout le territoire national promettant de "réduire les rendez-vous à une semaine ou 10 jours au plus, alors que les malades devaient patienter pendant six mois, voir une année". S'agissant du Salon des expertises pour le domaine hospitalier, Boudiaf a indiqué qu'il s'agissait du premier salon du genre organisé depuis l'Indépendance mettant en avant l'importance des réalisations accomplies dans son secteur. Par ailleurs, les deux représentants spécialisés dans la fabrication des équipements de radiothérapie (l'américain Varian et le suédois Elektra), conventionnés avec le ministère de la santé, ont fait part de leur disponibilité de fournir des pièces de rechange et d'assurer la formation en Algérie, conformément au cahier des charges fixé par les deux parties. Le ministre, qui présidait l'ouverture du 1er Salon international des expertises pour le domaine hospitalier "Al-Moustachfa" qui s'étendra jusqu'au 4 avril, a indiqué que son département "a jugulé la pénurie des médicaments destinés au traitement du cancer et s'atèle actuellement à équiper les centres anti-cancéreux pour mettre fin à la souffrance des malades". Le déficit enregistré en matière de traitement par radiothérapie a privé 20.000 cancéreux de ce type de thérapies qui ne profite qu'à près de 8.000 des 28.000 cancéreux nécessitant ce traitement. Pour M. Boudiaf, la radiothérapie constitue "une étape extrêmement sensible" dans le traitement du cancer précisant que l'Etat avait mis en place les moyens nécessaires pour la prise en charge de cette pathologie, le coût de la prise en charge ayant passé de 11 milliards DA en 2000 à 35 milliards DA en 2013. Concernant les CAC, le ministre a annoncé l'ouverture avant la fin de l'année de six nouveaux centres à travers tout le territoire national promettant de "réduire les rendez-vous à une semaine ou 10 jours au plus, alors que les malades devaient patienter pendant six mois, voir une année". S'agissant du Salon des expertises pour le domaine hospitalier, Boudiaf a indiqué qu'il s'agissait du premier salon du genre organisé depuis l'Indépendance mettant en avant l'importance des réalisations accomplies dans son secteur. Par ailleurs, les deux représentants spécialisés dans la fabrication des équipements de radiothérapie (l'américain Varian et le suédois Elektra), conventionnés avec le ministère de la santé, ont fait part de leur disponibilité de fournir des pièces de rechange et d'assurer la formation en Algérie, conformément au cahier des charges fixé par les deux parties.