La manifestation "Music and peace", organisée conjointement par l'université de Tlemcen et le Centre d'études andalouses, a enregistré un succès retentissant auprès du public tlemcénien. La fusion entre musiciens tlemcéniens spécialisés dans la musique arabo-andalouse et l'orchestre "Archangelo" de Lille spécialisé dans la musique universelle, a donné lieu à une musique enrichie, vivante respirant la créativité et la nouveauté. La manifestation "Music and peace", organisée conjointement par l'université de Tlemcen et le Centre d'études andalouses, a enregistré un succès retentissant auprès du public tlemcénien. La fusion entre musiciens tlemcéniens spécialisés dans la musique arabo-andalouse et l'orchestre "Archangelo" de Lille spécialisé dans la musique universelle, a donné lieu à une musique enrichie, vivante respirant la créativité et la nouveauté. Ce mélange réussi qui a nécessité beaucoup d'efforts aux musiciens locaux et français, dirigés respectivement par Khalil Baba Ahmed et Anne Christine Leridon, a gratifié, vendredi soir, le public, que la salle des spectacles du centre d'études andalouses récemment inauguré n'a pu contenir, d'une variété de musique classique universelle dont celle de Vivaldi, de quelques classiques de la musique andalouse Koum tara, Tleta zahw wa mraha, avec lesquels les mélomanes se sont laissés emportés dans un long voyage musical. Près de deux heures de concert, les musiciens tlemcéniens et lillois ont interprété, dans une grande cohésion, divers morceaux chantés notamment par des jeunes chanteurs en herbe, à l'instar de Karim Boughazi, Nesrine Ghenim et encadré par le chanteur chevronné et universitaire, Tewfik Benghabrit. Le Centre d'études andalouses qui, pour sa première activité, a relevé la barre très haut par cette expérience spectaculaire initiée avec l'université, se doit de poursuivre sur le même élan d'autant plus que parmi les missions qui lui sont assignées "engager des recherches dans l'anthropologie musicale. Un terrain fertile, qui pourra énormément contribuer au développement et à la sauvegarde de ce patrimoine", selon son directeur, le professeur Hadjouis Djillali. Inscrite dans le cadre du jumelage entre les villes de Tlemcen et de Lille et aussi le cadre du mois du patrimoine, cette initiative sera suivie en début mai prochain par un hommage à cheikh Boukli Salah, un des chantres de la musique andalouse encore vivant dans la cité des Zianides. Ce mélange réussi qui a nécessité beaucoup d'efforts aux musiciens locaux et français, dirigés respectivement par Khalil Baba Ahmed et Anne Christine Leridon, a gratifié, vendredi soir, le public, que la salle des spectacles du centre d'études andalouses récemment inauguré n'a pu contenir, d'une variété de musique classique universelle dont celle de Vivaldi, de quelques classiques de la musique andalouse Koum tara, Tleta zahw wa mraha, avec lesquels les mélomanes se sont laissés emportés dans un long voyage musical. Près de deux heures de concert, les musiciens tlemcéniens et lillois ont interprété, dans une grande cohésion, divers morceaux chantés notamment par des jeunes chanteurs en herbe, à l'instar de Karim Boughazi, Nesrine Ghenim et encadré par le chanteur chevronné et universitaire, Tewfik Benghabrit. Le Centre d'études andalouses qui, pour sa première activité, a relevé la barre très haut par cette expérience spectaculaire initiée avec l'université, se doit de poursuivre sur le même élan d'autant plus que parmi les missions qui lui sont assignées "engager des recherches dans l'anthropologie musicale. Un terrain fertile, qui pourra énormément contribuer au développement et à la sauvegarde de ce patrimoine", selon son directeur, le professeur Hadjouis Djillali. Inscrite dans le cadre du jumelage entre les villes de Tlemcen et de Lille et aussi le cadre du mois du patrimoine, cette initiative sera suivie en début mai prochain par un hommage à cheikh Boukli Salah, un des chantres de la musique andalouse encore vivant dans la cité des Zianides.