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Le fils et les frères du terroriste Abdelhamid Abou Zeid devant la justice le 25 juin prochain Impliqués dans des attentats terroristes dans le grand Sud
Douze (12) présumés terroristes dont le fils et les deux frères d'Abdelhamid Abou Zeid, poursuivis en 2010 pour leur implication dans des attentats terroristes dans le grand Sud algérien, seront traduits le 25 juin prochain devant le tribunal criminel d'Alger, a-t-on appris jeudi de sources judiciaires. Douze (12) présumés terroristes dont le fils et les deux frères d'Abdelhamid Abou Zeid, poursuivis en 2010 pour leur implication dans des attentats terroristes dans le grand Sud algérien, seront traduits le 25 juin prochain devant le tribunal criminel d'Alger, a-t-on appris jeudi de sources judiciaires. Parmi les 12 présumés terroristes, figurent également trois autres membres de la famille d'Abou Zeid, la famille Ghedir, qui approvisionnaient en vivres et en carburants les groupes terroristes dirigés par Abou Zeid, "El-Para" et Mokhtar Belmokhtar "activant dans la région est du grand Sud algérien pour faciliter les attaques visant les touristes étrangers et les biens de l'Etat", indique l'arrêt de renvoi de ce dossier rapporte l'APS. Selon cet arrêt de renvoi, l'affaire remonte à 2010 quand les forces de sécurité avaient annoncé avoir arrêté des membres ''d'une grande famille dans le sud-est du pays, recrutés par l'un de ses membres, qui n'est autre que le terroriste Mohamed Ghedir, alias Abdelhamid Abou Zeid''. La même source précise que le terroriste Abou Zeid avait pris pour base la ville de Khalil au nord du Mali, ainsi qu'une ville libyenne (près de la frontière algérienne), alors que les éléments de soutien logistique (les accusés) étaient basés dans les régions de Mahnoussa (El-Oued), Dabdab, Adrar, Touggourt, Hassi Messaoud, Illizi, Ouargla, In Amenas et El Ménéa. Après l'arrestation des éléments du groupe issu de la région de Mahnoussa, Abou Zeid avait constitué un autre groupe dirigé par le dénommé Ghadir Omar Abderrahmane. Le groupe est également impliqué dans le trafic de drogue à travers les frontières Est et Ouest au sein d'un groupe terroriste transfrontalier ayant pour mission de financer le terrorisme dans le sud algérien, indique t-on de mêmes sources. Selon la même source, le frère d'Abou Zeid, le dénommé Ghedir Sassi, principal accusé dans cette affaire, a été arrêté avec son groupe en 2010, en possession d'explosifs et de munitions de guerre. Concernant le deuxième frère d'Abou Zeid, le dénommé Ghedir Omar Abdelkader (arrêté), il a reconnu durant l'enquête avoir approvisionné en 2001 les groupes d'Abou Zeid, d'Abderrezak El- Para et de Mokhtar Belmokhtar, en carburant et en vivres contre d'importantes sommes d'argent. Il a également reconnu avoir rencontré son frère Abou Zeid en 2003 en compagnie d'Abderrezak El-Para et d'une trentaine de terroristes dans la région de Lafaa, dans la wilaya de Ouargla pour lui remettre des quantités importantes de carburant et de vivres. Le fils d'Abdelhamid Abou Zeid, Ghedir Lakhdar a quant à lui reconnu, selon les procès-verbaux, être impliqué dans le trafic de drogue et en avoir remis à plusieurs reprises d'importantes quantités à un individu de nationalité libyenne contre d'importantes sommes d'argent utilisé pour financer les opérations terroristes. Il a reconnu également avoir utilisé cet argent pour l'achat de véhicules tout terrain, de carburant et des vivres au profit de groupes terroristes dans le Sud algérien, alors dirigés par Abou Zeid, El-Para et Mokhtar Belmokhtar. Cette affaire a été déjà reportée une première fois. Dix des douze accusés sont en détention, alors que deux autres bénéficient de la liberté provisoire. Abdelhamid Abou Zeid avait été abattu par des éléments des forces tchadiennes le 25 février 2013 lors de l'opération militaire française combinée avec le Tchad et le Mali dans l'Adrar des Ifoghas, au nord du Mali. Parmi les 12 présumés terroristes, figurent également trois autres membres de la famille d'Abou Zeid, la famille Ghedir, qui approvisionnaient en vivres et en carburants les groupes terroristes dirigés par Abou Zeid, "El-Para" et Mokhtar Belmokhtar "activant dans la région est du grand Sud algérien pour faciliter les attaques visant les touristes étrangers et les biens de l'Etat", indique l'arrêt de renvoi de ce dossier rapporte l'APS. Selon cet arrêt de renvoi, l'affaire remonte à 2010 quand les forces de sécurité avaient annoncé avoir arrêté des membres ''d'une grande famille dans le sud-est du pays, recrutés par l'un de ses membres, qui n'est autre que le terroriste Mohamed Ghedir, alias Abdelhamid Abou Zeid''. La même source précise que le terroriste Abou Zeid avait pris pour base la ville de Khalil au nord du Mali, ainsi qu'une ville libyenne (près de la frontière algérienne), alors que les éléments de soutien logistique (les accusés) étaient basés dans les régions de Mahnoussa (El-Oued), Dabdab, Adrar, Touggourt, Hassi Messaoud, Illizi, Ouargla, In Amenas et El Ménéa. Après l'arrestation des éléments du groupe issu de la région de Mahnoussa, Abou Zeid avait constitué un autre groupe dirigé par le dénommé Ghadir Omar Abderrahmane. Le groupe est également impliqué dans le trafic de drogue à travers les frontières Est et Ouest au sein d'un groupe terroriste transfrontalier ayant pour mission de financer le terrorisme dans le sud algérien, indique t-on de mêmes sources. Selon la même source, le frère d'Abou Zeid, le dénommé Ghedir Sassi, principal accusé dans cette affaire, a été arrêté avec son groupe en 2010, en possession d'explosifs et de munitions de guerre. Concernant le deuxième frère d'Abou Zeid, le dénommé Ghedir Omar Abdelkader (arrêté), il a reconnu durant l'enquête avoir approvisionné en 2001 les groupes d'Abou Zeid, d'Abderrezak El- Para et de Mokhtar Belmokhtar, en carburant et en vivres contre d'importantes sommes d'argent. Il a également reconnu avoir rencontré son frère Abou Zeid en 2003 en compagnie d'Abderrezak El-Para et d'une trentaine de terroristes dans la région de Lafaa, dans la wilaya de Ouargla pour lui remettre des quantités importantes de carburant et de vivres. Le fils d'Abdelhamid Abou Zeid, Ghedir Lakhdar a quant à lui reconnu, selon les procès-verbaux, être impliqué dans le trafic de drogue et en avoir remis à plusieurs reprises d'importantes quantités à un individu de nationalité libyenne contre d'importantes sommes d'argent utilisé pour financer les opérations terroristes. Il a reconnu également avoir utilisé cet argent pour l'achat de véhicules tout terrain, de carburant et des vivres au profit de groupes terroristes dans le Sud algérien, alors dirigés par Abou Zeid, El-Para et Mokhtar Belmokhtar. Cette affaire a été déjà reportée une première fois. Dix des douze accusés sont en détention, alors que deux autres bénéficient de la liberté provisoire. Abdelhamid Abou Zeid avait été abattu par des éléments des forces tchadiennes le 25 février 2013 lors de l'opération militaire française combinée avec le Tchad et le Mali dans l'Adrar des Ifoghas, au nord du Mali.