La saison estivale ne sera pas morose pour les Algériens. Les billets d'avion seront proposés avec des réductions pouvant aller jusqu'à - 50 %. Cette décision, prise par les autorités, sera effective durant toute l'année selon le ministère du Transport. La saison estivale ne sera pas morose pour les Algériens. Les billets d'avion seront proposés avec des réductions pouvant aller jusqu'à - 50 %. Cette décision, prise par les autorités, sera effective durant toute l'année selon le ministère du Transport. Pour encourager la destination Algérie, rien ne vaut la réduction sur les tarifs aériens. Au départ, cette mesure ne concernait que les déplacements vers le Sud dans le cadre des conventions signées entre Air Algérie et certaines entreprises publiques. Mais vu l'état actuel du tourisme qui pâtit de la cherté des tarifs, les autorités ont pris le taureau par les cornes. C'est le ministre des Transports, Amar Ghoul, qui a annoncé cette disposition en signifiant que « les lignes assurées par les deux compagnies aériennes publiques (Air Algérie et Tassili Airlines) durant la période s'étalant de juin à septembre appliqueront la mesure qui touche également la communauté nationale établie à l'étranger ». Dans le même sillage, le ministre indique que « des navires viendront en renfort au niveau des ports, et le coût du billet de transport maritime sera réduit, ajoutant que des mesures seront également prises en direction des personnes âgées, des jeunes et des familles durant la même période ». Pour rappel, les citoyens algériens résidant à l'étranger se sont plaint de tarifs dissuasifs depuis l'Europe où, à titre illustratif, un billet Paris-Alger coûte plus de 500 euros, sans compter qu'un billet sur pavillon national depuis Londres dépasse 600 euros. Face à cette situation, nombreux sont ceux qui choisissent la villégiature chez le voisin tunisien par voie terrestre pour un séjour touristique qui rapporte plus à l'économie tunisienne. De plus, les citoyens ont été longtemps pénalisés pour se rendre au Grand Sud en raison de coûts exorbitants par avion. Mais pour réduire cet écart, les autorités ne doivent pas occulter que le tourisme domestique est aussi rentable que l'est celui des étrangers. On apprend, à cet effet, que le ministère du Tourisme va probablement ressaisir le dossier sur les tarifs « low cost » que promeuvent les compagnies ariennes mondiales. Cela permettra de desserrer l'étau sur les déplacements de touristes étrangers et améliorera donc l'indice de fréquentation. Le ministère du Tourisme, qui compte jouer cette carte, promet d'appliquer les initiatives en concertation avec les agences de voyages sur le tourisme réceptif. Sur ce registre, la récente signature de dix accords entre agences et offices de tourisme algériens et étrangers vont replacer le tourisme d'accueil comme cheval de bataille dans l'offre touristique. Pour la destination "spécial été", les agences activent pour faire venir des centaines de touristes dans des endroits prisés et choisis à l'occasion comme Oran, les gorges du Rhummel à Constantine, le Touat d'Adrar bien que la saison des grosses chaleurs soit un frein pour ce genre de déplacement dans la région désertique. En tous cas, cela promet. Pour encourager la destination Algérie, rien ne vaut la réduction sur les tarifs aériens. Au départ, cette mesure ne concernait que les déplacements vers le Sud dans le cadre des conventions signées entre Air Algérie et certaines entreprises publiques. Mais vu l'état actuel du tourisme qui pâtit de la cherté des tarifs, les autorités ont pris le taureau par les cornes. C'est le ministre des Transports, Amar Ghoul, qui a annoncé cette disposition en signifiant que « les lignes assurées par les deux compagnies aériennes publiques (Air Algérie et Tassili Airlines) durant la période s'étalant de juin à septembre appliqueront la mesure qui touche également la communauté nationale établie à l'étranger ». Dans le même sillage, le ministre indique que « des navires viendront en renfort au niveau des ports, et le coût du billet de transport maritime sera réduit, ajoutant que des mesures seront également prises en direction des personnes âgées, des jeunes et des familles durant la même période ». Pour rappel, les citoyens algériens résidant à l'étranger se sont plaint de tarifs dissuasifs depuis l'Europe où, à titre illustratif, un billet Paris-Alger coûte plus de 500 euros, sans compter qu'un billet sur pavillon national depuis Londres dépasse 600 euros. Face à cette situation, nombreux sont ceux qui choisissent la villégiature chez le voisin tunisien par voie terrestre pour un séjour touristique qui rapporte plus à l'économie tunisienne. De plus, les citoyens ont été longtemps pénalisés pour se rendre au Grand Sud en raison de coûts exorbitants par avion. Mais pour réduire cet écart, les autorités ne doivent pas occulter que le tourisme domestique est aussi rentable que l'est celui des étrangers. On apprend, à cet effet, que le ministère du Tourisme va probablement ressaisir le dossier sur les tarifs « low cost » que promeuvent les compagnies ariennes mondiales. Cela permettra de desserrer l'étau sur les déplacements de touristes étrangers et améliorera donc l'indice de fréquentation. Le ministère du Tourisme, qui compte jouer cette carte, promet d'appliquer les initiatives en concertation avec les agences de voyages sur le tourisme réceptif. Sur ce registre, la récente signature de dix accords entre agences et offices de tourisme algériens et étrangers vont replacer le tourisme d'accueil comme cheval de bataille dans l'offre touristique. Pour la destination "spécial été", les agences activent pour faire venir des centaines de touristes dans des endroits prisés et choisis à l'occasion comme Oran, les gorges du Rhummel à Constantine, le Touat d'Adrar bien que la saison des grosses chaleurs soit un frein pour ce genre de déplacement dans la région désertique. En tous cas, cela promet.