Chaque année, près de 13,5 millions de déchets, tous types confondus, sont collectés en Algérie. Des enveloppes considérables sont allouées pour le ramassage, le tri et le recyclage de certains déchets. Chaque année, près de 13,5 millions de déchets, tous types confondus, sont collectés en Algérie. Des enveloppes considérables sont allouées pour le ramassage, le tri et le recyclage de certains déchets. Le gouvernement aurait décidé de mener une campagne de nettoyage et de salubrité publique dans les grandes villes en déboursant 10 milliards DA supplémentaires pour collecter les ordures ménagères et procéder, de la sorte, à l'embellissement des villes qui ont accusé un sacré coup de cités ternies et sales. Selon une source bien indiquée « 2.000 micro-entreprises sont désormais opérationnelles dans plusieurs domaines liés à la protection de l'environnement tels l'entretien des espaces verts et le recyclage des déchets » en précisant avec des chiffres que « le volume des déchets, tous types confondus, est estimé à 13,5 millions de tonnes par an dont 60 % recyclables alors que seulement 5 ou 6 % de ces déchets sont exploités par voie de recyclage ». Un constat désolant qui fait que le reste des déchets est déversé dans des décharges auxquelles il faut lier les inconvénients de la pollution et des effets insidieux sur la santé publique. Le seul moyen est de mobiliser d'autres ressources pour continuer l'opération d'assainissement entamée sous peu. Mais dans cette histoire, c'est l'Algérie qui perd de l'argent « près de 300 millions d'euros annuellement à cause du non-recyclage de ces déchets », déplore la Secrétaire d'Etat qui plaide « pour un investissement bénéfique et générateur d'emplois dans le domaine de l'industrie de l'environnement ». Le côté sombre des cités qui pataugent dans l'amoncellement des déchets et des détritus a de quoi inquiéter les autorités et les citoyens. C'est dans l'optique de préserver l'environnement de la dégradation que les autorités ont lancé des opérations de sensibilisation pour le tri des déchets domestiques en priant les citoyens de respecter les horaires fixés pour le dépôt des ordures dans des endroits précis. Une démarche qui a déjà commencé dans les quartiers et les artères les plus influentes d'Alger, d'Oran et de Constantine et de Tizi-Ouzou. Cela ne devrait pas s'arrêter à ce niveau puisque des entreprises, spécialisées dans la collecte et le tri de certains déchets, tels le papier, le plastique et les restes de certains équipements électriques seront pris en charge. L'industrie de récupération, qui commence timidement, sera encouragée si l'on en croit le département de l'Environnement de Dalila Boudjema. Selon elle « l'Etat table sur le développement de l'industrie de récupération et de recyclage d'autant plus qu'il s'agit d'un axe au coeur du programme national de gestion des déchets domestiques qui constitue le cadre référentiel fondamental dans le recyclage des déchets ». De manière concrète, le lancement de l‘opération de récupération des déchets solides va « bénéficier d'un contrat de performance avec les communes ». Ces dernières doivent appliquer au maximum une politique de salubrité publique en se renforçant de moyens humains et matériels. Le gouvernement aurait décidé de mener une campagne de nettoyage et de salubrité publique dans les grandes villes en déboursant 10 milliards DA supplémentaires pour collecter les ordures ménagères et procéder, de la sorte, à l'embellissement des villes qui ont accusé un sacré coup de cités ternies et sales. Selon une source bien indiquée « 2.000 micro-entreprises sont désormais opérationnelles dans plusieurs domaines liés à la protection de l'environnement tels l'entretien des espaces verts et le recyclage des déchets » en précisant avec des chiffres que « le volume des déchets, tous types confondus, est estimé à 13,5 millions de tonnes par an dont 60 % recyclables alors que seulement 5 ou 6 % de ces déchets sont exploités par voie de recyclage ». Un constat désolant qui fait que le reste des déchets est déversé dans des décharges auxquelles il faut lier les inconvénients de la pollution et des effets insidieux sur la santé publique. Le seul moyen est de mobiliser d'autres ressources pour continuer l'opération d'assainissement entamée sous peu. Mais dans cette histoire, c'est l'Algérie qui perd de l'argent « près de 300 millions d'euros annuellement à cause du non-recyclage de ces déchets », déplore la Secrétaire d'Etat qui plaide « pour un investissement bénéfique et générateur d'emplois dans le domaine de l'industrie de l'environnement ». Le côté sombre des cités qui pataugent dans l'amoncellement des déchets et des détritus a de quoi inquiéter les autorités et les citoyens. C'est dans l'optique de préserver l'environnement de la dégradation que les autorités ont lancé des opérations de sensibilisation pour le tri des déchets domestiques en priant les citoyens de respecter les horaires fixés pour le dépôt des ordures dans des endroits précis. Une démarche qui a déjà commencé dans les quartiers et les artères les plus influentes d'Alger, d'Oran et de Constantine et de Tizi-Ouzou. Cela ne devrait pas s'arrêter à ce niveau puisque des entreprises, spécialisées dans la collecte et le tri de certains déchets, tels le papier, le plastique et les restes de certains équipements électriques seront pris en charge. L'industrie de récupération, qui commence timidement, sera encouragée si l'on en croit le département de l'Environnement de Dalila Boudjema. Selon elle « l'Etat table sur le développement de l'industrie de récupération et de recyclage d'autant plus qu'il s'agit d'un axe au coeur du programme national de gestion des déchets domestiques qui constitue le cadre référentiel fondamental dans le recyclage des déchets ». De manière concrète, le lancement de l‘opération de récupération des déchets solides va « bénéficier d'un contrat de performance avec les communes ». Ces dernières doivent appliquer au maximum une politique de salubrité publique en se renforçant de moyens humains et matériels.