Un total de 114 rencontres ont été organisées avec des partenaires politiques et sociaux et une trentaine de contributions écrites reçues dans le cadre des consultations autour du projet de révision constitutionnelle et feront l'objet d'une exploitation fidèle, a indiqué mercredi, un communiqué de la présidence de la République. Un total de 114 rencontres ont été organisées avec des partenaires politiques et sociaux et une trentaine de contributions écrites reçues dans le cadre des consultations autour du projet de révision constitutionnelle et feront l'objet d'une exploitation fidèle, a indiqué mercredi, un communiqué de la présidence de la République. Les 114 rencontres menées par le ministre d'Etat, directeur de cabinet à la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, avec des personnalités nationales, des partis politiques, des associations et organisations, ainsi que des compétences universitaires représentent "un large spectre de la société et reflètent la volonté du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, d'aboutir à un consensus le plus large possible sur le projet de révision constitutionnelle", a souligné la même source. Les contributions ainsi reçues par le cabinet de la présidence de la République, "feront l'objet d'une synthèse et d'une exploitation fidèle qui s'étalera jusqu'à la fin du mois d'août", est-il précisé. M. Ouyahia, chargé par le président Bouteflika de mener les consultations autour de la révision consensuelle de la Constitution, a reçu, entre le 1er juin et le 8 juillet, "50 partis politiques et deux groupes parlementaires indépendants, représentant d'une part 80 % des membres du Parlement, et d'autre part, 90 % des élus aux assemblées populaires communales et de wilayas", note le communiqué de la Présidence. Au titre des personnalités nationales, le ministre d'Etat, directeur de cabinet à la Présidence s'est entretenu, entre autres, avec 8 responsables et personnalités de la Révolution du 1er Novembre 1954, 4 anciens chefs du gouvernement et membres du Haut comité de l'Etat ainsi que15 juristes ayant exercé des responsabilités dans les domaines de la magistrature, du barreau ou du Conseil constitutionnel. Il a également rencontré dans le cadre des consultations 4 anciens ministres, 2 responsables d'institutions consultatives, 2 anciens présidents du Conseil constitutionnel et un ancien président de l'Assemblée populaire nationale. Outre les 16 professeurs d'universités dont 11 spécialistes en droit constitutionnel et en droit public, plusieurs associations et organisations ont été reçues aussi par Ouyahia. Il s'agit de 4 organisations de la famille révolutionnaire, 12 associations de jeunes et d'étudiants, 11 associations patronales, 2 associations syndicales de la presse, 2 organisations des travailleurs et paysans, 3 associations de femmes et 4 associations de magistrats, des avocats et des droits de l'homme. Le 15 mai dernier, la présidence de la République avait adressé des invitations à 150 partenaires constitués notamment des partis politiques, organisations et associations nationales représentants de diverses corporations, en vertu de la décision du président Bouteflika, prise le 7 mai dernier, en Conseil des ministres. Selon la lettre adressée aux partenaires politiques et sociaux, il est indiqué que cette action décidée à l'initiative du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, s'inscrit dans le cadre de "la poursuite du processus des réformes politiques". Elle vise à adapter la loi fondamentale, précise- t-on, "aux exigences constitutionnelles suscitées par l'évolution rapide de notre société et les mutations profondes actuellement en cours, à travers le monde". Les 114 rencontres menées par le ministre d'Etat, directeur de cabinet à la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, avec des personnalités nationales, des partis politiques, des associations et organisations, ainsi que des compétences universitaires représentent "un large spectre de la société et reflètent la volonté du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, d'aboutir à un consensus le plus large possible sur le projet de révision constitutionnelle", a souligné la même source. Les contributions ainsi reçues par le cabinet de la présidence de la République, "feront l'objet d'une synthèse et d'une exploitation fidèle qui s'étalera jusqu'à la fin du mois d'août", est-il précisé. M. Ouyahia, chargé par le président Bouteflika de mener les consultations autour de la révision consensuelle de la Constitution, a reçu, entre le 1er juin et le 8 juillet, "50 partis politiques et deux groupes parlementaires indépendants, représentant d'une part 80 % des membres du Parlement, et d'autre part, 90 % des élus aux assemblées populaires communales et de wilayas", note le communiqué de la Présidence. Au titre des personnalités nationales, le ministre d'Etat, directeur de cabinet à la Présidence s'est entretenu, entre autres, avec 8 responsables et personnalités de la Révolution du 1er Novembre 1954, 4 anciens chefs du gouvernement et membres du Haut comité de l'Etat ainsi que15 juristes ayant exercé des responsabilités dans les domaines de la magistrature, du barreau ou du Conseil constitutionnel. Il a également rencontré dans le cadre des consultations 4 anciens ministres, 2 responsables d'institutions consultatives, 2 anciens présidents du Conseil constitutionnel et un ancien président de l'Assemblée populaire nationale. Outre les 16 professeurs d'universités dont 11 spécialistes en droit constitutionnel et en droit public, plusieurs associations et organisations ont été reçues aussi par Ouyahia. Il s'agit de 4 organisations de la famille révolutionnaire, 12 associations de jeunes et d'étudiants, 11 associations patronales, 2 associations syndicales de la presse, 2 organisations des travailleurs et paysans, 3 associations de femmes et 4 associations de magistrats, des avocats et des droits de l'homme. Le 15 mai dernier, la présidence de la République avait adressé des invitations à 150 partenaires constitués notamment des partis politiques, organisations et associations nationales représentants de diverses corporations, en vertu de la décision du président Bouteflika, prise le 7 mai dernier, en Conseil des ministres. Selon la lettre adressée aux partenaires politiques et sociaux, il est indiqué que cette action décidée à l'initiative du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, s'inscrit dans le cadre de "la poursuite du processus des réformes politiques". Elle vise à adapter la loi fondamentale, précise- t-on, "aux exigences constitutionnelles suscitées par l'évolution rapide de notre société et les mutations profondes actuellement en cours, à travers le monde".