Lancée en février, l'opération de réhabilitation des immeubles vétustes à usage d'habitation du centreville de la wilaya d'Alger se poursuit toujours notamment au niveau de la rue Larbi-Ben-M'hidi, a-t-on constaté mardi. Lancée en février, l'opération de réhabilitation des immeubles vétustes à usage d'habitation du centreville de la wilaya d'Alger se poursuit toujours notamment au niveau de la rue Larbi-Ben-M'hidi, a-t-on constaté mardi. Le projet de réhabilitation du vieux bâti du centre historique de la capitale doit à terme concerner des centaines d'immeubles de plusieurs rues et avenues, mais l'opération se concentre pour le moment sur ceux de la rue Larbi-Ben-M'hidi, selon les explications des élus de la commune. Les échafaudages métalliques, qui gênent quelque peu la circulation piétonne, sont présents en permanence sur les chantiers, notamment sur les façades des immeubles situés entre la Grande poste et la place Emir-Abdelkader. Le chantier consiste, en fonction de l'état de chaque immeuble, à ravaler les façades, à réfectionner l'étanchéité et la toiture, à consolider les cages d'escaliers et les balcons et à restaurer le plancher. Toutefois, l'opération avance petitement sachant que plusieurs immeubles n'offrent pas les mêmes conditions de travail aux entreprises de réalisation à cause de la présence de familles habitant dans des caves et dans les extensions sur les terrasses, a-ton constaté. Leur relogement permettra d'accélérer la cadence de réalisation sachant que ces entreprises s'étaient engagées sur des délais contractuels de 30 mois lors du lancement en février du chantier à la rue Larbi-Ben- M'hidi, le wali d'Alger ayant demandé de raccourcir ce délai au maximum. Dans le cadre de la distribution progressive de 25.000 logements sociaux locatifs aux familles issues des sites précaires d'Alger, la wilaya compte après le mois de ramadhan en faire bénéficier justement celles qui occupent des caves et des terrasses des immeubles faisant l'objet de réfection. Les quelques immeubles en cours de travaux à la rue Larbi-Ben-M'hidi font partie d'un programme global relatif à la remise en état d'immeubles de 55.302 logements, qui ont été identifiés par une étude technique et socio-économique réalisée en 2006 sur un parc de 13.690 immeubles (78.445 logements) répartis sur les 14 communes du centre-ville d'Alger. Dans une première phase, il est retenu la rénovation d'immeubles de 7.200 logements se trouvant sur les grands boulevards à Alger-Centre, sur le budget du ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville qui a dégagé, à la demande de la wilaya, une première enveloppe de cinq milliards DA. Comme ce programme bénéficie uniquement aux habitants de quelques immeubles vétustes des grandes artères comme celle de Larbi-Ben-Mhidi, Didouche-Mourad ou l'avenue Colonel-Amirouche, l'APC d'Alger-Centre a proposé de faire réhabiliter les bâtisses des quartiers sur son propre budget. Cette APC a ainsi dressé une liste de 557 immeubles, propriété de l'OPGI ou de privés, qui nécessitent des travaux d'entretien et de rénovation dans les principaux quartiers de la commune à l'instar de Debbih-Cherif (Soustara), Ahmed Chaïb (ex-rue Tanger), Abane- Ramdane, Krim-Belkacem, les Frères-Bellili ou Docteur- Saâdane. Ce programme de participation de l'APC à la réhabilitation du vieux - bâti sera financé sur le budget communal à hauteur de 3,617 milliards DA, dont 1 milliard DA a été déjà dégagé au profit de la wilaya, à travers la Direction de l'aménagement et de la restructuration des quartiers (DARQ), chargée de sa mise en oeuvre. A la demande des élus locaux, le wali avait instruit la DARQ d'associer les communes qui le souhaitent à l'opération de réhabilitation du vieux bâti se trouvant sur leur territoire. Plusieurs communes ont répondu favorablement à l'appel de la DARQ, comme Alger-Centre, Oued Smar, Bir Mourad Raïs, Hydra, Dar El-Beïda, Bab Ezzouar, Rouiba, Hussein-Dey, Kouba et Chéraga. "La nature des travaux de réhabilitation et les sites sont au choix des communes qui les financent. L'exécution des travaux est à la charge de la DARQ", avait expliqué le wali d'Alger. Le projet de réhabilitation du vieux bâti du centre historique de la capitale doit à terme concerner des centaines d'immeubles de plusieurs rues et avenues, mais l'opération se concentre pour le moment sur ceux de la rue Larbi-Ben-M'hidi, selon les explications des élus de la commune. Les échafaudages métalliques, qui gênent quelque peu la circulation piétonne, sont présents en permanence sur les chantiers, notamment sur les façades des immeubles situés entre la Grande poste et la place Emir-Abdelkader. Le chantier consiste, en fonction de l'état de chaque immeuble, à ravaler les façades, à réfectionner l'étanchéité et la toiture, à consolider les cages d'escaliers et les balcons et à restaurer le plancher. Toutefois, l'opération avance petitement sachant que plusieurs immeubles n'offrent pas les mêmes conditions de travail aux entreprises de réalisation à cause de la présence de familles habitant dans des caves et dans les extensions sur les terrasses, a-ton constaté. Leur relogement permettra d'accélérer la cadence de réalisation sachant que ces entreprises s'étaient engagées sur des délais contractuels de 30 mois lors du lancement en février du chantier à la rue Larbi-Ben- M'hidi, le wali d'Alger ayant demandé de raccourcir ce délai au maximum. Dans le cadre de la distribution progressive de 25.000 logements sociaux locatifs aux familles issues des sites précaires d'Alger, la wilaya compte après le mois de ramadhan en faire bénéficier justement celles qui occupent des caves et des terrasses des immeubles faisant l'objet de réfection. Les quelques immeubles en cours de travaux à la rue Larbi-Ben-M'hidi font partie d'un programme global relatif à la remise en état d'immeubles de 55.302 logements, qui ont été identifiés par une étude technique et socio-économique réalisée en 2006 sur un parc de 13.690 immeubles (78.445 logements) répartis sur les 14 communes du centre-ville d'Alger. Dans une première phase, il est retenu la rénovation d'immeubles de 7.200 logements se trouvant sur les grands boulevards à Alger-Centre, sur le budget du ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville qui a dégagé, à la demande de la wilaya, une première enveloppe de cinq milliards DA. Comme ce programme bénéficie uniquement aux habitants de quelques immeubles vétustes des grandes artères comme celle de Larbi-Ben-Mhidi, Didouche-Mourad ou l'avenue Colonel-Amirouche, l'APC d'Alger-Centre a proposé de faire réhabiliter les bâtisses des quartiers sur son propre budget. Cette APC a ainsi dressé une liste de 557 immeubles, propriété de l'OPGI ou de privés, qui nécessitent des travaux d'entretien et de rénovation dans les principaux quartiers de la commune à l'instar de Debbih-Cherif (Soustara), Ahmed Chaïb (ex-rue Tanger), Abane- Ramdane, Krim-Belkacem, les Frères-Bellili ou Docteur- Saâdane. Ce programme de participation de l'APC à la réhabilitation du vieux - bâti sera financé sur le budget communal à hauteur de 3,617 milliards DA, dont 1 milliard DA a été déjà dégagé au profit de la wilaya, à travers la Direction de l'aménagement et de la restructuration des quartiers (DARQ), chargée de sa mise en oeuvre. A la demande des élus locaux, le wali avait instruit la DARQ d'associer les communes qui le souhaitent à l'opération de réhabilitation du vieux bâti se trouvant sur leur territoire. Plusieurs communes ont répondu favorablement à l'appel de la DARQ, comme Alger-Centre, Oued Smar, Bir Mourad Raïs, Hydra, Dar El-Beïda, Bab Ezzouar, Rouiba, Hussein-Dey, Kouba et Chéraga. "La nature des travaux de réhabilitation et les sites sont au choix des communes qui les financent. L'exécution des travaux est à la charge de la DARQ", avait expliqué le wali d'Alger.