Le ministère du Commerce rappelle à l'ensemble des commerçants et des consommateurs que, conformément aux dispositions législatives et réglementaires en vigueur, la mise à la consommation des denrées alimentaires est soumise aux principales règles d'hygiène et de salubrité draconiennes Le ministère du Commerce rappelle à l'ensemble des commerçants et des consommateurs que, conformément aux dispositions législatives et réglementaires en vigueur, la mise à la consommation des denrées alimentaires est soumise aux principales règles d'hygiène et de salubrité draconiennes Il s'agit, en fait, de préserver la santé publique et le bien-être des consommateurs durant la période estivale particulièrement exposée aux risques d'intoxication alimentaires, en ce sens que, des milliers de citoyens sont victimes de ce fléau de certains commerçants véreux, mais également de restaurateurs et de gargotiers ne souciant guère de la santé des consommateurs. Les règles d'hygiène concernent les denrées alimentaires qui ne doivent en aucun cas entrer en contact direct avec le sol, ni être dans des conditions qui risquent de les contaminer telles que la vente sur la voie publique des produits alimentaires sensibles (viandes, poissons, lait et produits laitiers, pain, pâtisserie et boissons...), souligne le département d'Amara Benyounès, ajoutant aussi, les denrées prêtes à la vente, doivent être stockées ou exposées à la vente dans des conditions appropriées pour éviter leur altération ou leur contamination, la nécessité d'une protection efficace des denrées alimentaires contre le soleil, les poussières, les intempéries et les insectes, doit être assurée lors de leur commercialisation (transport et exposition...). Il y a lieu également d'assurer le respect des bonnes pratiques de conservation les denrées alimentaires altérables lors de la commercialisation en plein air ou faisant l'objet d'une vente ambulante (respect de la chaîne de froid). Le ministère indique en outre que « les locaux destinés aux denrées alimentaires (production, stockage et vente) doivent être interdits aux animaux et répondre aux exigences réglementaires relatives à leur aménagement, équipement et installation ainsi que leur nettoyage et désinfection ». A titre d'illustration, les services du ministère du Commerce ont enregistré durant le 1er semestre 2014, 1680 cas d'intoxications alimentaires, tels que 951 cas ont une origine commerciale (56,60 %) parmi lesquelles 691 ont été causées par la pâtisserie et 629 cas ont eu lieu lors des fêtes familiales et restauration collectives (37,44 %). Il s'agit, en fait, de préserver la santé publique et le bien-être des consommateurs durant la période estivale particulièrement exposée aux risques d'intoxication alimentaires, en ce sens que, des milliers de citoyens sont victimes de ce fléau de certains commerçants véreux, mais également de restaurateurs et de gargotiers ne souciant guère de la santé des consommateurs. Les règles d'hygiène concernent les denrées alimentaires qui ne doivent en aucun cas entrer en contact direct avec le sol, ni être dans des conditions qui risquent de les contaminer telles que la vente sur la voie publique des produits alimentaires sensibles (viandes, poissons, lait et produits laitiers, pain, pâtisserie et boissons...), souligne le département d'Amara Benyounès, ajoutant aussi, les denrées prêtes à la vente, doivent être stockées ou exposées à la vente dans des conditions appropriées pour éviter leur altération ou leur contamination, la nécessité d'une protection efficace des denrées alimentaires contre le soleil, les poussières, les intempéries et les insectes, doit être assurée lors de leur commercialisation (transport et exposition...). Il y a lieu également d'assurer le respect des bonnes pratiques de conservation les denrées alimentaires altérables lors de la commercialisation en plein air ou faisant l'objet d'une vente ambulante (respect de la chaîne de froid). Le ministère indique en outre que « les locaux destinés aux denrées alimentaires (production, stockage et vente) doivent être interdits aux animaux et répondre aux exigences réglementaires relatives à leur aménagement, équipement et installation ainsi que leur nettoyage et désinfection ». A titre d'illustration, les services du ministère du Commerce ont enregistré durant le 1er semestre 2014, 1680 cas d'intoxications alimentaires, tels que 951 cas ont une origine commerciale (56,60 %) parmi lesquelles 691 ont été causées par la pâtisserie et 629 cas ont eu lieu lors des fêtes familiales et restauration collectives (37,44 %).