L'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) n'est décidément plus ce qu'elle était. Les dissensions internes minent ses structures et provoquent le départ en masse des troupes. L'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) n'est décidément plus ce qu'elle était. Les dissensions internes minent ses structures et provoquent le départ en masse des troupes. La Fédération de la santé de l'UGTA est secouée par une crise interne qui dure depuis de longs mois maintenant. Certaines des structures syndicales, affiliées à cette fédération, ont en effet déserté les rangs en s'en allant créer des syndicats autonomes. Autant dire qu'il s'agit d'une véritable hémorragie. Ainsi les structures qui regroupent les corps communs, les sages-femmes et les auxiliaires médicaux en anesthésie et réanimation sont secoués par de graves dissensions internes. Une situation que ne veulent pas admettre cependant les dirigeants de la fédération. Ces derniers l'ont en effet indiqué de vive voix hier lors d'une conférence de presse organisée au siège central de l'UGTA. Le secrétaire général de la Fédération de la santé, Aït Taleb Réda, a démenti en bloc les informations selon lesquelles les trois structures, citées plus haut, auraient quitté l'UGTA pour créer des syndicats autonomes. « Ces structures font toujours partie de l'UGTA et ce ne sont pas quelques agitateurs qui vont le démentir » dira Aït Taleb Réda qui était accompagné par les responsables des trois structure syndicales comme pour donner un peu plus d'épaisseur à ses propos. « On dément catégoriquement les propos de l'ancien coordinateur, qui a d'ailleurs été exclu des rangs de l'UGTA, et j'invite tous les travailleurs des corps communs et les agents à resserrer les rangs et faire preuve de vigilance afin de faire barrage à toux ceux qui veulent nuire à l'unité en prenant en otage les travailleurs pour assouvir des ambitions personnelles » dira Moussaoui Azzedine le coordinateur national de la Coordination nationale des corps communs (CNCC). Ce dernier répond ainsi à Betraoui Mounir, qui se présente comme le coordonnateur national de la Coordination nationale de la santé, qui a annoncé tout recemment que cette structure syndicale a quitté la centrale syndicale UGTA suivie en cela par la majorité des troupes. Il a, de même, indiqué que la coordination qu'il dirige est le vrai porte-parole des 113.000 travailleurs des corps communs n'hésitant pas aussi à épingler la direction de la centralesyndicale accusée d'être derrière ce « complot ». Abondant dans le même sens que Moussaoui Azzedine la secrétaire générale du Syndicat national des sagesfemmes algériennes (SNSFA), Chaati Rachida, a elle aussi démenti l'existence d'une scission au sein du syndicat comme cela a été rapporté par la presse citant les propos de la présidente de l'Association des sages-femmes algériennes. La conférencière, et après avoir salué les efforts déployés par le secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Said, en faveur des sages-femmes, a plaidé pour l'unité des rangs afin de faire face « aux tentatives de discréditer l'UGTA ». C'est le même son de cloche développé par le secrétaire général du Syndicat national des auxiliaires médicaux en anesthésie et réanimation (Snamar), Abdallah Sekil, qui a soutenu « que le syndicat est toujours affilié à l'UGTA et que ceux qui sont partis ne représentent que leurs propres personnes. » Cette nouvelle affaire vient s'ajouter aux soucis déjà nombreux du secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Said. En effet depuis des années, le malaise est grand au sein de la base militante et des scissions sont signalées ça et là. L'érosion au sen de l'UGTA ne date pas d'aujourd'hui. La centrale syndicale a, en effet, perdu beaucoup de son aura et de sa représentativité, notamment dans le secteur clé de la Fonction publique. La Fédération de la santé de l'UGTA est secouée par une crise interne qui dure depuis de longs mois maintenant. Certaines des structures syndicales, affiliées à cette fédération, ont en effet déserté les rangs en s'en allant créer des syndicats autonomes. Autant dire qu'il s'agit d'une véritable hémorragie. Ainsi les structures qui regroupent les corps communs, les sages-femmes et les auxiliaires médicaux en anesthésie et réanimation sont secoués par de graves dissensions internes. Une situation que ne veulent pas admettre cependant les dirigeants de la fédération. Ces derniers l'ont en effet indiqué de vive voix hier lors d'une conférence de presse organisée au siège central de l'UGTA. Le secrétaire général de la Fédération de la santé, Aït Taleb Réda, a démenti en bloc les informations selon lesquelles les trois structures, citées plus haut, auraient quitté l'UGTA pour créer des syndicats autonomes. « Ces structures font toujours partie de l'UGTA et ce ne sont pas quelques agitateurs qui vont le démentir » dira Aït Taleb Réda qui était accompagné par les responsables des trois structure syndicales comme pour donner un peu plus d'épaisseur à ses propos. « On dément catégoriquement les propos de l'ancien coordinateur, qui a d'ailleurs été exclu des rangs de l'UGTA, et j'invite tous les travailleurs des corps communs et les agents à resserrer les rangs et faire preuve de vigilance afin de faire barrage à toux ceux qui veulent nuire à l'unité en prenant en otage les travailleurs pour assouvir des ambitions personnelles » dira Moussaoui Azzedine le coordinateur national de la Coordination nationale des corps communs (CNCC). Ce dernier répond ainsi à Betraoui Mounir, qui se présente comme le coordonnateur national de la Coordination nationale de la santé, qui a annoncé tout recemment que cette structure syndicale a quitté la centrale syndicale UGTA suivie en cela par la majorité des troupes. Il a, de même, indiqué que la coordination qu'il dirige est le vrai porte-parole des 113.000 travailleurs des corps communs n'hésitant pas aussi à épingler la direction de la centralesyndicale accusée d'être derrière ce « complot ». Abondant dans le même sens que Moussaoui Azzedine la secrétaire générale du Syndicat national des sagesfemmes algériennes (SNSFA), Chaati Rachida, a elle aussi démenti l'existence d'une scission au sein du syndicat comme cela a été rapporté par la presse citant les propos de la présidente de l'Association des sages-femmes algériennes. La conférencière, et après avoir salué les efforts déployés par le secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Said, en faveur des sages-femmes, a plaidé pour l'unité des rangs afin de faire face « aux tentatives de discréditer l'UGTA ». C'est le même son de cloche développé par le secrétaire général du Syndicat national des auxiliaires médicaux en anesthésie et réanimation (Snamar), Abdallah Sekil, qui a soutenu « que le syndicat est toujours affilié à l'UGTA et que ceux qui sont partis ne représentent que leurs propres personnes. » Cette nouvelle affaire vient s'ajouter aux soucis déjà nombreux du secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Said. En effet depuis des années, le malaise est grand au sein de la base militante et des scissions sont signalées ça et là. L'érosion au sen de l'UGTA ne date pas d'aujourd'hui. La centrale syndicale a, en effet, perdu beaucoup de son aura et de sa représentativité, notamment dans le secteur clé de la Fonction publique.