Toutes les mesures ont été prises pour maîtriser la situation épidémiologique due au coronavirus en Arabie saoudite. Ce qui est rassurant pour les Algériens inscrits pour la prochaine saison du hadj. Dans ce sens, et pour la réussite de cette saison, les autorités nationales ont pris d'autres mesures d'un commun accord avec les autorités saoudiennes. Toutes les mesures ont été prises pour maîtriser la situation épidémiologique due au coronavirus en Arabie saoudite. Ce qui est rassurant pour les Algériens inscrits pour la prochaine saison du hadj. Dans ce sens, et pour la réussite de cette saison, les autorités nationales ont pris d'autres mesures d'un commun accord avec les autorités saoudiennes. Le retrait du passeport biométrique et l'octroi du visa du hadj en un temps "record" en coordination avec l'ambassade d'Arabie saoudite à Alger, a affirmé à Alger, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa. Intervenant à l'occasion du départ du premier groupe de hadjis à partir de l'aéroport international Houari- Boumediene, le ministre a adressé aux hadjis algériens des recommandations à caractère religieux, spirituel et national. Il a appelé, dans ce contexte, les hadjis algériens à être un "exemple pour les autres hadjis par "la bonne conduite, la modération et le recours au mufti". M. Aïssa a rappelé que le "président de la République a subventionné le coût du hadj cette année en assurant un montant de 24.000 DA pour chaque hadji et en accordant des facilités pour l'obtention du passeport biométrique et du visa". Pour sa part, le ministre des Transports, Amar Ghoul a passé en revue les mesures prises pour transporter les hadjis de et vers les Lieux Saints rappelant qu'"Air Algérie prendra en charge 16.000 hadjis tandis que Saudi Airlines assurera le transport de 12.800 hadjis à partir de 5 aéroports". Il s'agit des aéroports d'Alger Houari-Boumediene, d'Oran, de Constantine, d'Annaba et d'Ouargla. 109 vols sont prévus pour le transport de 28.800 hadjis dont 66 par Air Algérie et 43 par la compagnie Saoudi Airlines tandis que les retours se feront en octobre prochain. S'agissant des tarifs, le ministre a précisé que pour les classes économiques le prix est de 100.000 DA ajoutant que la première classe a été introduite pour la première fois pour le hadj avec un tarif de 140.000 DA. Dans le souci de garantir leur confort, les hadjis auront la possibilité dans le futur de voyager en première classe, a fait savoir M. Ghoul. De "grandes facilités" ont été accordées en matière "d'encadrement et d'organisation", a indiqué le ministre qui a ajouté que l'opérateur de la téléphonie mobile, Mobilis, a offert aux hadjis une puce pour leurs communications. Ces mesures s'inscrivent dans le cadre des instructions du Premier ministre Abdelmalek Sellal lors de la dernière réunion du conseil interministériel consacrée à la saison du hadj 2014. Pour sa part, le directeur général de l'Office national du hadj et de la omra, Cheikh Berbara a souligné que "toutes les mesures matérielles et morales ont été prises pour garantir la réussite de cette saison", notamment en matière d'hébergement, de transport et de prestations, et ce en coordination avec les autorités saoudiennes. De son côté, l'ambassadeur d'Arabie saoudite à Alger, Mahmoud Ben Hussein Qattane, a mis en exergue la "bonne coordination" entre les autorités algériennes et saoudiennes, notamment en ce qui concerne les "mesures sanitaires". Le retrait du passeport biométrique et l'octroi du visa du hadj en un temps "record" en coordination avec l'ambassade d'Arabie saoudite à Alger, a affirmé à Alger, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa. Intervenant à l'occasion du départ du premier groupe de hadjis à partir de l'aéroport international Houari- Boumediene, le ministre a adressé aux hadjis algériens des recommandations à caractère religieux, spirituel et national. Il a appelé, dans ce contexte, les hadjis algériens à être un "exemple pour les autres hadjis par "la bonne conduite, la modération et le recours au mufti". M. Aïssa a rappelé que le "président de la République a subventionné le coût du hadj cette année en assurant un montant de 24.000 DA pour chaque hadji et en accordant des facilités pour l'obtention du passeport biométrique et du visa". Pour sa part, le ministre des Transports, Amar Ghoul a passé en revue les mesures prises pour transporter les hadjis de et vers les Lieux Saints rappelant qu'"Air Algérie prendra en charge 16.000 hadjis tandis que Saudi Airlines assurera le transport de 12.800 hadjis à partir de 5 aéroports". Il s'agit des aéroports d'Alger Houari-Boumediene, d'Oran, de Constantine, d'Annaba et d'Ouargla. 109 vols sont prévus pour le transport de 28.800 hadjis dont 66 par Air Algérie et 43 par la compagnie Saoudi Airlines tandis que les retours se feront en octobre prochain. S'agissant des tarifs, le ministre a précisé que pour les classes économiques le prix est de 100.000 DA ajoutant que la première classe a été introduite pour la première fois pour le hadj avec un tarif de 140.000 DA. Dans le souci de garantir leur confort, les hadjis auront la possibilité dans le futur de voyager en première classe, a fait savoir M. Ghoul. De "grandes facilités" ont été accordées en matière "d'encadrement et d'organisation", a indiqué le ministre qui a ajouté que l'opérateur de la téléphonie mobile, Mobilis, a offert aux hadjis une puce pour leurs communications. Ces mesures s'inscrivent dans le cadre des instructions du Premier ministre Abdelmalek Sellal lors de la dernière réunion du conseil interministériel consacrée à la saison du hadj 2014. Pour sa part, le directeur général de l'Office national du hadj et de la omra, Cheikh Berbara a souligné que "toutes les mesures matérielles et morales ont été prises pour garantir la réussite de cette saison", notamment en matière d'hébergement, de transport et de prestations, et ce en coordination avec les autorités saoudiennes. De son côté, l'ambassadeur d'Arabie saoudite à Alger, Mahmoud Ben Hussein Qattane, a mis en exergue la "bonne coordination" entre les autorités algériennes et saoudiennes, notamment en ce qui concerne les "mesures sanitaires".