Le pillage de l'économie se poursuit à ciel ouvert à travers les activités des contrebandiers. Drogue, carburant, cheptel, corail ou produits alimentaires, la contrebande prospère à grande vitesse en dépit des coups de boutoir donnés par les services de sécurité, à leur tête les gardes- frontières de la Gendarmerie nationale qui procèdent quotidiennement à des saisies importantes. Le pillage de l'économie se poursuit à ciel ouvert à travers les activités des contrebandiers. Drogue, carburant, cheptel, corail ou produits alimentaires, la contrebande prospère à grande vitesse en dépit des coups de boutoir donnés par les services de sécurité, à leur tête les gardes- frontières de la Gendarmerie nationale qui procèdent quotidiennement à des saisies importantes. Rien que pour avant-hier, des quantités importantes de cannabis et de carburant ont été récupérées lors des nombreuses opérations menées sur les tracés frontaliers. A commencer par l'ouest du pays où on compte la saisie de plus de 120 kg de kif traité. Les gardes-frontières de Remblais, wilaya de Tlemcen, ont saisi lors d'une patrouille à proximité de la bande frontalière, 95 kg de kif traité abandonnés par des narcotrafiquants à proximité de la bande frontalière algéro-marocaine. Un peu plus tard, 23 kg de la même substance, abandonnés également, ont été récupérés dans la commune de Bab-El-Assa. Néanmoins, le carburant reste le produit le plus prisé par les contrebandiers devant les gains importants générés. Son prix est en effet multiplié par cinq ou six lors de la revente dans les pays voisins. Ces derniers jours, le bilan des saisies porte sur 30.000 litres et la récupération de 8 véhicules. Comme toujours, le plus grand lot est observé à l'ouest, aux frontières marocaines. A ce sujet, les gardes-frontières de Bab-El-Assa ont récupéré, lors d'une patrouille à proximité de la bande frontalière, plus de 11.000 litres, abandonnés par des contrebandiers, et cinq véhicules dépourvus de plaques d'immatriculation et de numéros de châssis. De leur côté, les gardes-frontières de Hadj Miloud, Sidi-Djilali dans la wilaya de Tlemcen ont récupéré, lors de patrouilles à proximité de la bande frontalière, trois véhicules également sans plaques d'imatriculation, et 9.450 litres de carburant, abandonnés par des contrebandiers à l'intérieur de 256 jerricans. Soit au total 20.000 litres de carburant. A l'est, la situation n'est pas moins alarmante puisqu'on compte 10.000 litres récupérés par les gardes-frontières, comme celles de Souk Ahras et d'El Ouenza, wilaya de Tébessa, qui, assistés par les gendarmes de la section de sécurité et d'in-tervention, ont récupéré à proximité de la bande frontalière, plus de 9.000 litres de carburant abandonnés par des contrebandiers ainsi qu'un camion et un véhicule. En revanche, à El Tarf, le produit le plus convoité reste le corail dont une quantité de 5,7 kg a été retrouvée, abandonnée par des contrebandiers. Au sud du pays, qui reste un terrain difficilement contrôlable, les gardes-frontières d'El Oued et de Tamanrasset ont récupéré 1.420 litres de carburant, abandonnés par des contrebandiers. Rien que pour avant-hier, des quantités importantes de cannabis et de carburant ont été récupérées lors des nombreuses opérations menées sur les tracés frontaliers. A commencer par l'ouest du pays où on compte la saisie de plus de 120 kg de kif traité. Les gardes-frontières de Remblais, wilaya de Tlemcen, ont saisi lors d'une patrouille à proximité de la bande frontalière, 95 kg de kif traité abandonnés par des narcotrafiquants à proximité de la bande frontalière algéro-marocaine. Un peu plus tard, 23 kg de la même substance, abandonnés également, ont été récupérés dans la commune de Bab-El-Assa. Néanmoins, le carburant reste le produit le plus prisé par les contrebandiers devant les gains importants générés. Son prix est en effet multiplié par cinq ou six lors de la revente dans les pays voisins. Ces derniers jours, le bilan des saisies porte sur 30.000 litres et la récupération de 8 véhicules. Comme toujours, le plus grand lot est observé à l'ouest, aux frontières marocaines. A ce sujet, les gardes-frontières de Bab-El-Assa ont récupéré, lors d'une patrouille à proximité de la bande frontalière, plus de 11.000 litres, abandonnés par des contrebandiers, et cinq véhicules dépourvus de plaques d'immatriculation et de numéros de châssis. De leur côté, les gardes-frontières de Hadj Miloud, Sidi-Djilali dans la wilaya de Tlemcen ont récupéré, lors de patrouilles à proximité de la bande frontalière, trois véhicules également sans plaques d'imatriculation, et 9.450 litres de carburant, abandonnés par des contrebandiers à l'intérieur de 256 jerricans. Soit au total 20.000 litres de carburant. A l'est, la situation n'est pas moins alarmante puisqu'on compte 10.000 litres récupérés par les gardes-frontières, comme celles de Souk Ahras et d'El Ouenza, wilaya de Tébessa, qui, assistés par les gendarmes de la section de sécurité et d'in-tervention, ont récupéré à proximité de la bande frontalière, plus de 9.000 litres de carburant abandonnés par des contrebandiers ainsi qu'un camion et un véhicule. En revanche, à El Tarf, le produit le plus convoité reste le corail dont une quantité de 5,7 kg a été retrouvée, abandonnée par des contrebandiers. Au sud du pays, qui reste un terrain difficilement contrôlable, les gardes-frontières d'El Oued et de Tamanrasset ont récupéré 1.420 litres de carburant, abandonnés par des contrebandiers.