La gouvernance des entreprises figure parmi les axes de ce nouveau projet à travers des actions d'incitation, de régulation et d'organisation ainsi que d'une adaptation de la réglementation en cours, a indiqué le ministre. La gouvernance des entreprises figure parmi les axes de ce nouveau projet à travers des actions d'incitation, de régulation et d'organisation ainsi que d'une adaptation de la réglementation en cours, a indiqué le ministre. Le ministre de l'Industrie et des mines, Abdesselam Bouchouareb, a présenté à Istanbul les principaux axes et objectifs de la nouvelle stratégie de développement industriel de l'Algérie. Dans une allocution prononcée lors du Forum économique mondial qui se tient à Istanbul, M. Bouchouareb a affirmé que le projet de relance industrielle en Algérie était essentiellement destiné à "moderniser, harmoniser et intégrer le tissu industriel national et de le porter aux standards internationaux d'excellence et de compétitivité". La gouvernance des entreprises figure parmi les axes de ce nouveau projet à travers des actions d'incitation, de régulation et d'organisation ainsi que d'une adaptation de la réglementation en cours, a indiqué le ministre. La nouvelle approche des pouvoirs publics en matière de relance et de développement industriel porte également sur la promotion de l'économie numérique, la mise en place d'instruments et modes de financements flexibles et modernes et l'encouragement de l'excellence et de l'innovation. Il s'agit aussi de faciliter la création des entreprises, d'améliorer l'attractivité de l'Algérie pour les investisseurs étrangers et d'encourager la délocalisation d'entreprises internationales de référence vers l'Algérie, a précisé M. Bouchouareb. A cet effet, une dizaine de secteurs "à fortes synergies" sont identifiés pour la mise en œuvre de cette nouvelle politique à savoir l'industrie automobile et mécanique, la pharmacie et l'industrie chimique et pétrochimique, le traitement de l'eau et l'environnement, l'industrie agroalimentaire, le transport ferroviaire, l'industrie textile et le BTPH, a expliqué M. Bouchouareb devant les participants au Forum. "L'Algérie présente toutes les caractéristiques pour figurer dans un horizon proche parmi les pays émergents et le rôle de l'industrie est de donner corps à cette ambition", a-t-il souligné à ce propos, rappelant, au passage, de l'objectif fixé par les autorités algériennes d'atteindre une croissance économique de 7% d'ici 2019. Evoquant, en outre, la restructuration du secteur public marchand, le ministre a affirmé que cette action "est lourde avec un choix résolu pour l'autonomisation des entreprises et l'encouragement de l'initiative et de l'innovation". Dans cette optique, les entreprises publiques sont organisées par filières en groupes industriels favorisant ainsi "les synergies et les complémentarités", a noté M. Bouchouareb. Selon le ministre, cette restructuration intervient suite à un processus d'assainissement à la faveur duquel les entreprises publiques seront désormais en mesure de nouer des partenariats. "Notre objectif est de permettre à ces entreprises d'atteindre la taille critique pour l'avantage concurrentiel et, aussi, avoir la flexibilité et la réactivité pour s'adapter au changement", a-t-il précisé. Cette réforme inclut "une modulation des avantages accordés en fonction des politiques de l'Etat, un encouragement de l'investissement étranger ainsi qu'une facilitation et un accompagnement des investisseurs", a-t-il expliqué. Dans le même contexte, le principe du 51/49% lié à l'investissement étranger a été maintenu et élargi au commerce de gros et de détail, a ajouté le ministre. Par ailleurs, il a relevé que l'Europe, qui n'a jamais souffert de rupture d'approvisionnement venant de l'Algérie, apprécie le pays à sa juste valeur "comme une source fiable et de fort potentiel", exprimant son souhait pour que ce partenariat énergétique "soit le déclencheur d'une nouvelle dynamique qui ouvrira de réelles perspectives stratégiques à l'industrie algérienne tout en stimulant le développement scientifique et technologique". Le sommet régional (Europe, la région Mena et Eurasie) du Forum économique mondial, qui a ouvert ses travaux dimanche à Istanbul, se déroule en présence d'un millier de participants parmi les représentants des gouvernements, les milieux d'affaires et de la société civile de plusieurs pays d'Europe, du Moyen-Orient, de l'Afrique du Nord et de l'Asie centrale. Cette rencontre de deux jours est axée sur quatre thématiques principales : l'avenir de la région et la prochaine présidence du G20 par la Turquie, les dynamiques de changement de l'énergie dans la région, de la construction d'entreprises et d'économies inclusives et les infrastructures comme une plate-forme matérielle et numérique pour la croissance. Le sommet a pour principal objectif d'aider les investisseurs des entreprises et compagnies régionales et internationales à analyser et à s'adapter aux modifications en cours au sein des économies nationales. Le ministre de l'Industrie et des mines, Abdesselam Bouchouareb, a présenté à Istanbul les principaux axes et objectifs de la nouvelle stratégie de développement industriel de l'Algérie. Dans une allocution prononcée lors du Forum économique mondial qui se tient à Istanbul, M. Bouchouareb a affirmé que le projet de relance industrielle en Algérie était essentiellement destiné à "moderniser, harmoniser et intégrer le tissu industriel national et de le porter aux standards internationaux d'excellence et de compétitivité". La gouvernance des entreprises figure parmi les axes de ce nouveau projet à travers des actions d'incitation, de régulation et d'organisation ainsi que d'une adaptation de la réglementation en cours, a indiqué le ministre. La nouvelle approche des pouvoirs publics en matière de relance et de développement industriel porte également sur la promotion de l'économie numérique, la mise en place d'instruments et modes de financements flexibles et modernes et l'encouragement de l'excellence et de l'innovation. Il s'agit aussi de faciliter la création des entreprises, d'améliorer l'attractivité de l'Algérie pour les investisseurs étrangers et d'encourager la délocalisation d'entreprises internationales de référence vers l'Algérie, a précisé M. Bouchouareb. A cet effet, une dizaine de secteurs "à fortes synergies" sont identifiés pour la mise en œuvre de cette nouvelle politique à savoir l'industrie automobile et mécanique, la pharmacie et l'industrie chimique et pétrochimique, le traitement de l'eau et l'environnement, l'industrie agroalimentaire, le transport ferroviaire, l'industrie textile et le BTPH, a expliqué M. Bouchouareb devant les participants au Forum. "L'Algérie présente toutes les caractéristiques pour figurer dans un horizon proche parmi les pays émergents et le rôle de l'industrie est de donner corps à cette ambition", a-t-il souligné à ce propos, rappelant, au passage, de l'objectif fixé par les autorités algériennes d'atteindre une croissance économique de 7% d'ici 2019. Evoquant, en outre, la restructuration du secteur public marchand, le ministre a affirmé que cette action "est lourde avec un choix résolu pour l'autonomisation des entreprises et l'encouragement de l'initiative et de l'innovation". Dans cette optique, les entreprises publiques sont organisées par filières en groupes industriels favorisant ainsi "les synergies et les complémentarités", a noté M. Bouchouareb. Selon le ministre, cette restructuration intervient suite à un processus d'assainissement à la faveur duquel les entreprises publiques seront désormais en mesure de nouer des partenariats. "Notre objectif est de permettre à ces entreprises d'atteindre la taille critique pour l'avantage concurrentiel et, aussi, avoir la flexibilité et la réactivité pour s'adapter au changement", a-t-il précisé. Cette réforme inclut "une modulation des avantages accordés en fonction des politiques de l'Etat, un encouragement de l'investissement étranger ainsi qu'une facilitation et un accompagnement des investisseurs", a-t-il expliqué. Dans le même contexte, le principe du 51/49% lié à l'investissement étranger a été maintenu et élargi au commerce de gros et de détail, a ajouté le ministre. Par ailleurs, il a relevé que l'Europe, qui n'a jamais souffert de rupture d'approvisionnement venant de l'Algérie, apprécie le pays à sa juste valeur "comme une source fiable et de fort potentiel", exprimant son souhait pour que ce partenariat énergétique "soit le déclencheur d'une nouvelle dynamique qui ouvrira de réelles perspectives stratégiques à l'industrie algérienne tout en stimulant le développement scientifique et technologique". Le sommet régional (Europe, la région Mena et Eurasie) du Forum économique mondial, qui a ouvert ses travaux dimanche à Istanbul, se déroule en présence d'un millier de participants parmi les représentants des gouvernements, les milieux d'affaires et de la société civile de plusieurs pays d'Europe, du Moyen-Orient, de l'Afrique du Nord et de l'Asie centrale. Cette rencontre de deux jours est axée sur quatre thématiques principales : l'avenir de la région et la prochaine présidence du G20 par la Turquie, les dynamiques de changement de l'énergie dans la région, de la construction d'entreprises et d'économies inclusives et les infrastructures comme une plate-forme matérielle et numérique pour la croissance. Le sommet a pour principal objectif d'aider les investisseurs des entreprises et compagnies régionales et internationales à analyser et à s'adapter aux modifications en cours au sein des économies nationales.