Les grandes puissances occidentales ont appelé vendredi à la fin "immédiate" des combats en Libye, appelant toutes les parties à ne pas aggraver la polarisation et les divisions du pays. Les grandes puissances occidentales ont appelé vendredi à la fin "immédiate" des combats en Libye, appelant toutes les parties à ne pas aggraver la polarisation et les divisions du pays. "Nous exhortons toutes les parties à cesser immédiatement toutes les opérations militaires et à s'abstenir de prendre des mesures qui aggravent la polarisation et les divisions du pays", ont martelé dans un communiqué l'Allemagne, le Canada, l'Espagne, les Etats-Unis, la France, l'Italie, Malte et le Royaume-Uni. Ces gouvernements signent régulièrement des appels conjoints à la cessation des violences en Libye. Dans un nouvel épisode d'une lutte pour le pouvoir, la Cour suprême libyenne a invalidé le Parlement ainsi que toutes les décisions qu'il a prises depuis son élection le 25 juin. Cette Assemblée législative, reconnue par la communauté internationale, a immédiatement rejeté l'arrêt de la juridiction suprême libyenne. Le Parlement libyen a estimé que la Cour suprême "statue sur les lois et non sur la Constitution ellemême" et affirme qu'il est "arrivé au pouvoir grâce à des élections libres et crédibles qui traduisent la volonté du peuple libyen". "Nous examinons de près la décision de la Cour suprême, son contexte et ses conséquences", écrivent les gouvernements de pays d'Amérique du Nord et d'Europe, dénonçant "la polarisation politique en Libye", mais sans toutefois condamner formellement la décision de la Cour. Tripoli, où siège cette Cour suprême, est contrôlée par une coalition de milices, Fajr Libya, avec un "Parlement" et un "gouvernement" parallèles. De violents combats quotidiens secouent aussi la deuxième ville du pays, Benghazi, entre des forces progouvernementales et les milices. Le Parlement élu le 25 juin, dominé par les anti-islamistes, est contesté par Fajr Libya et par des groupe rebelles contrôlant la ville de Benghazi. C'est dans cette ville que ce Parlement officiel devait siéger mais pour des raisons de sécurité, il se réunit à Tobrouk, dans l'extrême est de la Libye. "Nous exhortons toutes les parties à cesser immédiatement toutes les opérations militaires et à s'abstenir de prendre des mesures qui aggravent la polarisation et les divisions du pays", ont martelé dans un communiqué l'Allemagne, le Canada, l'Espagne, les Etats-Unis, la France, l'Italie, Malte et le Royaume-Uni. Ces gouvernements signent régulièrement des appels conjoints à la cessation des violences en Libye. Dans un nouvel épisode d'une lutte pour le pouvoir, la Cour suprême libyenne a invalidé le Parlement ainsi que toutes les décisions qu'il a prises depuis son élection le 25 juin. Cette Assemblée législative, reconnue par la communauté internationale, a immédiatement rejeté l'arrêt de la juridiction suprême libyenne. Le Parlement libyen a estimé que la Cour suprême "statue sur les lois et non sur la Constitution ellemême" et affirme qu'il est "arrivé au pouvoir grâce à des élections libres et crédibles qui traduisent la volonté du peuple libyen". "Nous examinons de près la décision de la Cour suprême, son contexte et ses conséquences", écrivent les gouvernements de pays d'Amérique du Nord et d'Europe, dénonçant "la polarisation politique en Libye", mais sans toutefois condamner formellement la décision de la Cour. Tripoli, où siège cette Cour suprême, est contrôlée par une coalition de milices, Fajr Libya, avec un "Parlement" et un "gouvernement" parallèles. De violents combats quotidiens secouent aussi la deuxième ville du pays, Benghazi, entre des forces progouvernementales et les milices. Le Parlement élu le 25 juin, dominé par les anti-islamistes, est contesté par Fajr Libya et par des groupe rebelles contrôlant la ville de Benghazi. C'est dans cette ville que ce Parlement officiel devait siéger mais pour des raisons de sécurité, il se réunit à Tobrouk, dans l'extrême est de la Libye.