Barack Obama a annoncé, officiellement samedi, que les Etats-Unis verseraient une contribution de trois milliards de dollars au fonds international destiné à aider les pays pauvres à faire face aux effets des changements climatiques en cours. Barack Obama a annoncé, officiellement samedi, que les Etats-Unis verseraient une contribution de trois milliards de dollars au fonds international destiné à aider les pays pauvres à faire face aux effets des changements climatiques en cours. "Aujourd'hui, j'annonce que les Etats-Unis vont prendre une autre décision importante. Nous allons contribuer à hauteur de trois milliards de dollars au Fonds vert pour le climat, afin d'aider les pays en développement à faire face aux changements climatiques", a dit le président américain dans un discours devant l'Université du Queensland, à Brisbane, en Australie, où il participe au sommet du G20. Le montant élevé de la contribution annoncée a pris les observateurs par surprise; il double la somme que les autres pays avaient promis à ce jour avant une échéance fixée au 20 novembre. C'est la deuxième grande annonce faite par le président américain dans le domaine de la lutte contre les changements climatiques depuis les élections à mi-mandat, début novembre, qui ont vu les démocrates perdre le contrôle du Sénat. A Pékin, en début de semaine, Barack Obama a annoncé un "accord historique" entre Etats-Unis et Chine, les deux plus gros pollueurs de la planète : les Etats-Unis s'engagent à réduire d'un peu plus de 25% leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) à l'horizon 2025, tandis que la Chine s'efforcera de plafonner ses propres émissions de GES vers 2030, avant de les faire décroître. "Avec les autres pays qui ont promis d'y participer, nous allons aider les communautés vulnérables en mettant en place des systèmes d'alerte, des défenses plus efficaces contre la puissance des vagues en cas de tempête (...)", a déclaré le président américain à Brisbane. "Nous allons aider les paysans à miser sur des cultures plus 'durables'. Nous allons aider les pays en développement à réduire leur pollution au dioxyde de carbone et à investir dans des énergies propres." "La beauté naturelle incroyable de la Grande barrière de corail est menacée. Dans le monde entier, l'été dernier a été le plus chaud jamais enregistré. Aucun pays n'est à l'abri, et chaque pays a la responsabilité de contribuer comme il le peut", a-t-il continué "Aujourd'hui, j'annonce que les Etats-Unis vont prendre une autre décision importante. Nous allons contribuer à hauteur de trois milliards de dollars au Fonds vert pour le climat, afin d'aider les pays en développement à faire face aux changements climatiques", a dit le président américain dans un discours devant l'Université du Queensland, à Brisbane, en Australie, où il participe au sommet du G20. Le montant élevé de la contribution annoncée a pris les observateurs par surprise; il double la somme que les autres pays avaient promis à ce jour avant une échéance fixée au 20 novembre. C'est la deuxième grande annonce faite par le président américain dans le domaine de la lutte contre les changements climatiques depuis les élections à mi-mandat, début novembre, qui ont vu les démocrates perdre le contrôle du Sénat. A Pékin, en début de semaine, Barack Obama a annoncé un "accord historique" entre Etats-Unis et Chine, les deux plus gros pollueurs de la planète : les Etats-Unis s'engagent à réduire d'un peu plus de 25% leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) à l'horizon 2025, tandis que la Chine s'efforcera de plafonner ses propres émissions de GES vers 2030, avant de les faire décroître. "Avec les autres pays qui ont promis d'y participer, nous allons aider les communautés vulnérables en mettant en place des systèmes d'alerte, des défenses plus efficaces contre la puissance des vagues en cas de tempête (...)", a déclaré le président américain à Brisbane. "Nous allons aider les paysans à miser sur des cultures plus 'durables'. Nous allons aider les pays en développement à réduire leur pollution au dioxyde de carbone et à investir dans des énergies propres." "La beauté naturelle incroyable de la Grande barrière de corail est menacée. Dans le monde entier, l'été dernier a été le plus chaud jamais enregistré. Aucun pays n'est à l'abri, et chaque pays a la responsabilité de contribuer comme il le peut", a-t-il continué