Le tribunal criminel près la cour de Ghardaïa a prononcé mercredi une peine de 20 ans de réclusion à l'encontre d'un septuagénaire pour avoir cultivé 850 plants de cannabis dans sa palmeraie à El-Menea (275 km au sud de Ghardaïa), a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Le tribunal criminel près la cour de Ghardaïa a prononcé mercredi une peine de 20 ans de réclusion à l'encontre d'un septuagénaire pour avoir cultivé 850 plants de cannabis dans sa palmeraie à El-Menea (275 km au sud de Ghardaïa), a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Deux de ses fils, âgés de 42 ans et 26 ans et impliqués dans la même affaire, ont écopé de 10 ans de prison ferme. Les trois mis en cause comparaissaient sous les chefs d'inculpation d'association de malfaiteurs et de culture et plantation illégale de cannabis, a précisé la source. Selon l'arrêt de renvoi, l'affaire remonte à décembre 2013, lorsque les éléments de la Police judiciaire de la sûreté de daïra d'El-Menea, alertés par l'existence d'une plantation de cannabis, ont procédé à une perquisition ordonnée par l'instance judiciaire dans la palmeraie du présumé cultivateur de cannabis, qui a permis la découverte d'une plantation de 850 plants de cannabis, quelques grammes de kif traité et une quantité jugée importante de chique. Au regard des déclarations des prévenus et du réquisitoire du ministère public, le père (propriétaire de la palmeraie) a reconnu les faits qui lui sont reprochés et a avoué qu'il plantait cette drogue pour sa consommation personnelle. Le ministère public avait requis une peine à perpétuité pour le père et 20 années de réclusion pour les deux fils, selon la même source judiciaire. Deux de ses fils, âgés de 42 ans et 26 ans et impliqués dans la même affaire, ont écopé de 10 ans de prison ferme. Les trois mis en cause comparaissaient sous les chefs d'inculpation d'association de malfaiteurs et de culture et plantation illégale de cannabis, a précisé la source. Selon l'arrêt de renvoi, l'affaire remonte à décembre 2013, lorsque les éléments de la Police judiciaire de la sûreté de daïra d'El-Menea, alertés par l'existence d'une plantation de cannabis, ont procédé à une perquisition ordonnée par l'instance judiciaire dans la palmeraie du présumé cultivateur de cannabis, qui a permis la découverte d'une plantation de 850 plants de cannabis, quelques grammes de kif traité et une quantité jugée importante de chique. Au regard des déclarations des prévenus et du réquisitoire du ministère public, le père (propriétaire de la palmeraie) a reconnu les faits qui lui sont reprochés et a avoué qu'il plantait cette drogue pour sa consommation personnelle. Le ministère public avait requis une peine à perpétuité pour le père et 20 années de réclusion pour les deux fils, selon la même source judiciaire.