Pas moins de 29 femmes battues ont été placées, durant le premier semestre de l'année en cours, à Diar Errahma, une structure sociale située à Misserghine, à l'ouest d'Oran, a-t-on appris, dimanche, auprès de la direction de l'action sociale et de la solidarité de la wilaya. Pas moins de 29 femmes battues ont été placées, durant le premier semestre de l'année en cours, à Diar Errahma, une structure sociale située à Misserghine, à l'ouest d'Oran, a-t-on appris, dimanche, auprès de la direction de l'action sociale et de la solidarité de la wilaya. Sur 86 femmes battues, 29 ont été placées à Diar Errahma, 9 au niveau de centres de formation et d'enseignement professionnels et 11 ont regagné leurs foyers conjugaux pour préserver les liens familiaux durant la période de janvier à fin juin 2014, a indiqué une psychologue de la cellule d'écoute de la direction de l'action sociale, Zouaouia Yahiaoui. Une vingtaine de femmes parmi ces victimes de violences physiques, morales et autres ont bénéficié d'une prime d'insertion dans le cadre de la solidarité sociale et trois autres de microcrédits auprès de l'Angem, a-t-on ajouté de même source. La prise en charge psychologique et socio-économique des femmes battues a été possible grâce aux cellules d'écoute mises en place par la direction sociale de la wilaya, surtout l'activation du réseau de communication intersectoriel, représenté par différentes directions et institutions locales, dont, notamment, la Sûreté et la Gendarmerie nationales, les directions de l'action sociale, de la santé et de la population, de l'éducation et de la jeunesse et des sports, a affirmé la coordinatrice de l'action sociale, S. Tabet. Elle a rappelé, à ce propos, l'existence depuis 2009 de cinq cellules d'écoute à l'indicatif de la direction de l'action sociale de la wilaya, particulièrement celles du service d'observation des jeunes en danger moral en milieu ouvert (Sowemo), du foyer pour personnes âgées et de Diar Errahma. Il est prévu, à la faveur de la Journée internationale des femmes battues, célébrée le 25 novembre de chaque année, un programme d'activités varié, étalé sur un mois, a déclaré à l'APS le directeur de l'action sociale, Mohamed Fedala. Ce programme comporte, en plus d'une journée d'études sur la non-violence des femmes au niveau du centre des loisirs et sciences de haï Usto, des tables rondes sur cette problématique, des soirées poétiques et théâtrales à Aïn El-Turck et Es-Sénia, une visite au centre de rééducation de Gdyel et des expositions au niveau de plusieurs établissements de jeunesse. Sur 86 femmes battues, 29 ont été placées à Diar Errahma, 9 au niveau de centres de formation et d'enseignement professionnels et 11 ont regagné leurs foyers conjugaux pour préserver les liens familiaux durant la période de janvier à fin juin 2014, a indiqué une psychologue de la cellule d'écoute de la direction de l'action sociale, Zouaouia Yahiaoui. Une vingtaine de femmes parmi ces victimes de violences physiques, morales et autres ont bénéficié d'une prime d'insertion dans le cadre de la solidarité sociale et trois autres de microcrédits auprès de l'Angem, a-t-on ajouté de même source. La prise en charge psychologique et socio-économique des femmes battues a été possible grâce aux cellules d'écoute mises en place par la direction sociale de la wilaya, surtout l'activation du réseau de communication intersectoriel, représenté par différentes directions et institutions locales, dont, notamment, la Sûreté et la Gendarmerie nationales, les directions de l'action sociale, de la santé et de la population, de l'éducation et de la jeunesse et des sports, a affirmé la coordinatrice de l'action sociale, S. Tabet. Elle a rappelé, à ce propos, l'existence depuis 2009 de cinq cellules d'écoute à l'indicatif de la direction de l'action sociale de la wilaya, particulièrement celles du service d'observation des jeunes en danger moral en milieu ouvert (Sowemo), du foyer pour personnes âgées et de Diar Errahma. Il est prévu, à la faveur de la Journée internationale des femmes battues, célébrée le 25 novembre de chaque année, un programme d'activités varié, étalé sur un mois, a déclaré à l'APS le directeur de l'action sociale, Mohamed Fedala. Ce programme comporte, en plus d'une journée d'études sur la non-violence des femmes au niveau du centre des loisirs et sciences de haï Usto, des tables rondes sur cette problématique, des soirées poétiques et théâtrales à Aïn El-Turck et Es-Sénia, une visite au centre de rééducation de Gdyel et des expositions au niveau de plusieurs établissements de jeunesse.