Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aiïssa, a affirmé à Alger que son département était à la recherche de nouvelles alternatives au crédit bonifié à même d'assurer le recouvrement par le Fonds de la Zakat des crédits octroyés aux jeunes. Invité du forum de la Radio nationale, Mohammed Aïssa a précisé qu'un délai de trois ans a été fixé à son département pour trouver des alternatives "complémentaires" au crédit bonifié. Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aiïssa, a affirmé à Alger que son département était à la recherche de nouvelles alternatives au crédit bonifié à même d'assurer le recouvrement par le Fonds de la Zakat des crédits octroyés aux jeunes. Invité du forum de la Radio nationale, Mohammed Aïssa a précisé qu'un délai de trois ans a été fixé à son département pour trouver des alternatives "complémentaires" au crédit bonifié. Le ministre a indiqué qu'un montant de 172 milliards de centimes a été déposé au niveau de la Banque El Baraka durant les 11 dernières années, ajoutant que "ces fonds serviront au fonctionnement du crédit bonifié dans le futur". Le ministre a souligné, dans ce sens, que ces alternatives intervenaient conformément aux recommandations des conseils scientifiques qui se sont réunis dernièrement à Ghardaïa, faisant remarquer que l'objectif est de mettre les crédits de la zakat au service de la société à travers la création de postes d'emploi et de richesses. Le ministre a indiqué, en outre, que cette mission a été confiée aux imams dans le cadre du "contrôle religieux", annonçant l'animation prochaine d'ateliers de réflexion auxquels prendront part des experts en économie pour tenter de parvenir à des solutions. Concernant les dons de solidarité avec la population de Ghaza estimés à 41 millions de dinars, le ministre a souligné que les fonds collectés pour la reconstruction de mosquées à Ghaza ont été remis aux Croissant-Rouge palestinien. Il en est de même, a-t-il ajouté, pour la deuxième opération de dons collectés à l'initiative de la société civile algérienne, estimés à près de 50 millions de dinars. Le ministre a indiqué qu'un montant de 172 milliards de centimes a été déposé au niveau de la Banque El Baraka durant les 11 dernières années, ajoutant que "ces fonds serviront au fonctionnement du crédit bonifié dans le futur". Le ministre a souligné, dans ce sens, que ces alternatives intervenaient conformément aux recommandations des conseils scientifiques qui se sont réunis dernièrement à Ghardaïa, faisant remarquer que l'objectif est de mettre les crédits de la zakat au service de la société à travers la création de postes d'emploi et de richesses. Le ministre a indiqué, en outre, que cette mission a été confiée aux imams dans le cadre du "contrôle religieux", annonçant l'animation prochaine d'ateliers de réflexion auxquels prendront part des experts en économie pour tenter de parvenir à des solutions. Concernant les dons de solidarité avec la population de Ghaza estimés à 41 millions de dinars, le ministre a souligné que les fonds collectés pour la reconstruction de mosquées à Ghaza ont été remis aux Croissant-Rouge palestinien. Il en est de même, a-t-il ajouté, pour la deuxième opération de dons collectés à l'initiative de la société civile algérienne, estimés à près de 50 millions de dinars.