Tous "les moyens humains et matériels ont été mobilisés pour une bonne prise en charge des cas déclarés de sida, à l'échelle nationale", a indiqué, jeudi à Alger, le directeur général de l'Institut Pasteur, Kamel Kezzal. Tous "les moyens humains et matériels ont été mobilisés pour une bonne prise en charge des cas déclarés de sida, à l'échelle nationale", a indiqué, jeudi à Alger, le directeur général de l'Institut Pasteur, Kamel Kezzal. Intervenant lors de la première journée d'étude sur le sida, organisée par l'Institut Pasteur, le Pr Kezzal a indiqué que toute la chaîne de soins, comprenant le dépistage, le diagnostic et le traitement, est "opérationnelle, en vue d'assurer un bon suivi" des malades. A cet effet, "les malades recensés sont pris en charge et traités dans des centres de référence, à l'instar de celui d'El Kettar", a-t-il ajouté, précisant que "les médicaments sont disponibles, aucune pénurie en antirétroviraux n'a été enregistrée cette année". Dans ce contexte, il a souligné que son établissement travaille "en étroite collaboration" avec le ministère de la Santé, soulignant que toutes les données sur les cas avérés de sida et d'autres maladies infectieuse "sont systématiquement transmises à la tutelle". Pour ce faire, il a cité le rôle "important" du laboratoire de haute sécurité (P3) de Sidi Fredj, en vue de "faire face aux virus hautement pathogènes comme le sida, l'Ebola, les coronavirus et autres". S'exprimant sur l'avancement de la recherche, le même responsable a noté que l'Institut Pasteur "travaille en réseau avec les 31 instituts Pasteur dans le monde pour développer de nouveaux traitements et thérapeutiques destinés à combattre la maladie infectieuse". Par ailleurs, l'Institut Pasteur veille, selon son premier responsable, à "la sécurisation et à la disponibilité des vaccins et des sérums destinés aux traitements des maladies infectieuses". A ce propos, un programme national a été lancé par le ministère de la Santé, afin de créer un pôle d'industrie, au niveau du même institut, dans le domaine de la production vaccinale. Intervenant lors de la première journée d'étude sur le sida, organisée par l'Institut Pasteur, le Pr Kezzal a indiqué que toute la chaîne de soins, comprenant le dépistage, le diagnostic et le traitement, est "opérationnelle, en vue d'assurer un bon suivi" des malades. A cet effet, "les malades recensés sont pris en charge et traités dans des centres de référence, à l'instar de celui d'El Kettar", a-t-il ajouté, précisant que "les médicaments sont disponibles, aucune pénurie en antirétroviraux n'a été enregistrée cette année". Dans ce contexte, il a souligné que son établissement travaille "en étroite collaboration" avec le ministère de la Santé, soulignant que toutes les données sur les cas avérés de sida et d'autres maladies infectieuse "sont systématiquement transmises à la tutelle". Pour ce faire, il a cité le rôle "important" du laboratoire de haute sécurité (P3) de Sidi Fredj, en vue de "faire face aux virus hautement pathogènes comme le sida, l'Ebola, les coronavirus et autres". S'exprimant sur l'avancement de la recherche, le même responsable a noté que l'Institut Pasteur "travaille en réseau avec les 31 instituts Pasteur dans le monde pour développer de nouveaux traitements et thérapeutiques destinés à combattre la maladie infectieuse". Par ailleurs, l'Institut Pasteur veille, selon son premier responsable, à "la sécurisation et à la disponibilité des vaccins et des sérums destinés aux traitements des maladies infectieuses". A ce propos, un programme national a été lancé par le ministère de la Santé, afin de créer un pôle d'industrie, au niveau du même institut, dans le domaine de la production vaccinale.