La chute des prix du pétrole commence à ce faire ressentir sur le plan économique en Algérie. En dépit des dernières déclarations du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et de celles dernièrement du ministre du Commerce, Amara Benyounes, la politique d'austérité est bien visible à travers une lettre envoyée par Sellal aux départements ministériels et aux walis concernés par ces mesures restrictives. La chute des prix du pétrole commence à ce faire ressentir sur le plan économique en Algérie. En dépit des dernières déclarations du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et de celles dernièrement du ministre du Commerce, Amara Benyounes, la politique d'austérité est bien visible à travers une lettre envoyée par Sellal aux départements ministériels et aux walis concernés par ces mesures restrictives. Quels sont les secteurs de la Fonction publique et quelles seront les conséquences pour l'économie et la stabilité de ces secteurs ? Les secteurs qui seront touchés par le gel des recrutements, y compris ceux qui sont prévus n'auront pas autres choix que de suivre les directives du gouvernement et cela malgré la contestation sociale qui ne tardera sûrement pas. D'après le site d'information Algérie focus le total des postes gelés est de 41.000, indique le document de la Fonction publique. Le secteur le plus touché est celui de l'Education nationale qui se verra privé de 15.000 postes. Les collectivités locales, notamment les communes, seront égalemnt touchées avec le blocage de 13.000 postes, suivies de la Justice avec 2.000 postes, dont 470 magistrats. 1.782 postes budgétaires seront supprimés du secteur des Sports, tandis que les Douanes seront privées de 1.000 agents supplémentaires. 410 postes budgétaires sont retirés du ministère des Finances et 2.370 autres de la Protection civile. A cela, il faut ajouter le gel du recrutement de 200 fonctionnaires au niveau de la Sûreté nationale. Ceci pendant que le ministère du Commerce ne pourra pas recruter les 143 agents qu'il réclame. D'après le même site, la direction de la Fonction publique devra recruter 1.000 agents pour l'application et le suivi de ces directives. Le site d'information Impact 24 a dévoilé aussi un document où il est question de trente mesures déclinées en sept axes pour redéfinir les usages des finances publiques par l'administration. A travers ce document, le Premier ministre confirme, en premier lieu, la suspension des recrutements au sein de la Fonction publique. Le Premier ministre instruit également les gestionnaires publics de faire avec la ressource humaine disponible tout en veillant à sa bonne qualification. Le document sus-cité préconise une diminution drastique des missions à l'étranger et prise en charge spartiate des délégations étrangères au menu pour 2015. Concernant les dépenses d'équipement, la priorité est accordée aux projets déjà entamés. L'ensemble des dépenses d'équipements prévues feront l'objet d'une évaluation au cas par cas. Sellal souligne que "les projets non-nécessaires, déjà programmés, devront être retardés". La missive de Sellal met également l'accent sur le mode de passation des marchés publics. L'instruction de Sellal souligne que la passation devra se faire impérativement par avis d'appels d'offres en privilégiant les produits et entreprises locales. Le gré à gré, note-ton, devra être un recours d'exception et non la norme. Le Premier ministre expose, dans le même rapport, son intention de faire basculer les acteurs de l'informel vers l'économie réelle et améliorer la collecte et le recouvrement d'impôts. On annonce aussi une intensification des explorations d'hydrocarbures, notamment les non conventionnelles. Quant au commerce extérieur, la circulaire Sellal insiste sur plus de contrôle des importations et la lutte contre la fuite des capitaux, l'incitation aux investissements productifs et l'encouragement des exportations. Dans l'optique de sortir de la dépendance des hydrocarbures, le Premier ministre prône des réformes encourageant l'investissement dans la production nationale avec un effort intensif pour les domaines de l'agriculture, du tourisme, des énergies renouvelables et des hautes technologies. Quels sont les secteurs de la Fonction publique et quelles seront les conséquences pour l'économie et la stabilité de ces secteurs ? Les secteurs qui seront touchés par le gel des recrutements, y compris ceux qui sont prévus n'auront pas autres choix que de suivre les directives du gouvernement et cela malgré la contestation sociale qui ne tardera sûrement pas. D'après le site d'information Algérie focus le total des postes gelés est de 41.000, indique le document de la Fonction publique. Le secteur le plus touché est celui de l'Education nationale qui se verra privé de 15.000 postes. Les collectivités locales, notamment les communes, seront égalemnt touchées avec le blocage de 13.000 postes, suivies de la Justice avec 2.000 postes, dont 470 magistrats. 1.782 postes budgétaires seront supprimés du secteur des Sports, tandis que les Douanes seront privées de 1.000 agents supplémentaires. 410 postes budgétaires sont retirés du ministère des Finances et 2.370 autres de la Protection civile. A cela, il faut ajouter le gel du recrutement de 200 fonctionnaires au niveau de la Sûreté nationale. Ceci pendant que le ministère du Commerce ne pourra pas recruter les 143 agents qu'il réclame. D'après le même site, la direction de la Fonction publique devra recruter 1.000 agents pour l'application et le suivi de ces directives. Le site d'information Impact 24 a dévoilé aussi un document où il est question de trente mesures déclinées en sept axes pour redéfinir les usages des finances publiques par l'administration. A travers ce document, le Premier ministre confirme, en premier lieu, la suspension des recrutements au sein de la Fonction publique. Le Premier ministre instruit également les gestionnaires publics de faire avec la ressource humaine disponible tout en veillant à sa bonne qualification. Le document sus-cité préconise une diminution drastique des missions à l'étranger et prise en charge spartiate des délégations étrangères au menu pour 2015. Concernant les dépenses d'équipement, la priorité est accordée aux projets déjà entamés. L'ensemble des dépenses d'équipements prévues feront l'objet d'une évaluation au cas par cas. Sellal souligne que "les projets non-nécessaires, déjà programmés, devront être retardés". La missive de Sellal met également l'accent sur le mode de passation des marchés publics. L'instruction de Sellal souligne que la passation devra se faire impérativement par avis d'appels d'offres en privilégiant les produits et entreprises locales. Le gré à gré, note-ton, devra être un recours d'exception et non la norme. Le Premier ministre expose, dans le même rapport, son intention de faire basculer les acteurs de l'informel vers l'économie réelle et améliorer la collecte et le recouvrement d'impôts. On annonce aussi une intensification des explorations d'hydrocarbures, notamment les non conventionnelles. Quant au commerce extérieur, la circulaire Sellal insiste sur plus de contrôle des importations et la lutte contre la fuite des capitaux, l'incitation aux investissements productifs et l'encouragement des exportations. Dans l'optique de sortir de la dépendance des hydrocarbures, le Premier ministre prône des réformes encourageant l'investissement dans la production nationale avec un effort intensif pour les domaines de l'agriculture, du tourisme, des énergies renouvelables et des hautes technologies.