Le deuxième jour des travaux du 12e congrès de l'UGTA a été notamment consacré à la lecture de rapports des conférences régionales. Mais il a aussi été question de l'élection d'une dizaine de membres de la commission exécutive nationale (CEN), la plus haute instance de l'organisation syndicale entre deux congrès. Les rapports des conférences régionales ont porté notamment sur les propositions de la base de la centrale syndicale. Le deuxième jour des travaux du 12e congrès de l'UGTA a été notamment consacré à la lecture de rapports des conférences régionales. Mais il a aussi été question de l'élection d'une dizaine de membres de la commission exécutive nationale (CEN), la plus haute instance de l'organisation syndicale entre deux congrès. Les rapports des conférences régionales ont porté notamment sur les propositions de la base de la centrale syndicale. « Nous sommes pour le maintien de la règle des 51/49 % en matière d'investissement étranger en Algérie » dira le rapporteur de la conférence régionale du Centre. Cette question a aussi été évoquée par d'autres intervenants. Beaucoup a été dit sur cette règle qui a été instituée, pour rappel, dans le cadre de la loi de finances 2009 et qui permet à la partie algérienne de détenir 51 % des actions contre 49 % pour la partie étrangère. Certaines parties craignent que cette règle ne soit supprimée par le gouvernement. Mais le gouvernement a tenu à rassurer sur son maintien en révisant toutefois sa copie. « Elle ne sera maintenue que dans les secteurs stratégiques » clament, en effet, les officiels. Dans certains rapports il a été question de l'interdiction du cumul dans les fonctions exécutives, la réduction du nombre des membres de la CEN, la formation et le recyclage des travailleurs, etc. La prise en charge des préoccupations des retraités et l'application des décisions de justice pour la réintégration des travailleurs dans leurs postes de travail ont été, par ailleurs, proposées par les intervenants. Cela dit la lecture des rapports n'a pas suscité un grand intérêt de la part de congressistes puisque la salle des conférences n'a pas fait le plein. A croire que les congressistes avaient d'autres préoccupations. Il faut dire que ce rendezvous organique était dénué du moindre enjeu puisque tout a été fait dans les congrès régionaux l'ayant précédé. En effet la question de l'élection des membres de la CEN, qui devait être la principale attraction du 12e congrès, a été réglée lors des congrès régionaux rompant ainsi avec l'habitude. La composante de la nouvelle CEN sera avalisée aujourd'hui par les congressistes, car les places encore manquantes n'ont été pourvues qu'hier. Il s'agit, selon le président du bureau du bureau du congrès, Tayeb Hmarnia, « de 5 sièges pour les femmes, de cinq autres sièges pour les retraités et d'un siège pour la communauté algérienne établie à l'étranger. Les secrétaires généraux des fédérations, au nombre de 25, sont aussi membres de plein droit dans la CEN. » La CEN, est-il besoin de le rappeler, est la plus haute institution entre deux congrès, d'où l'importance pour tout syndicaliste d'y avoir un siège. Et c'est d'ailleurs la CEN, composée de 187 membres, qui élit l'instance exécutive de l'UGTA, à savoir le secrétariat national. Cette élection aura lieu le 25 ou le 26 janvier prochains lors de la tenue de la première session de la CEN. « Les membres du secrétariat seront élus et non désignés par le secrétaire général » nous a indiqué hier Tayeb Hmarnia, précisant que « la question a été tranchée ». Il faut dire qu'avant le congrès deux tendances s'affrontaient, l'une privilégiant l'urne alors que la deuxième voulait laisser cette latitude au secrétaire général de l'UGTA, à savoir Abdelmadjid Sidi-Saïd qui a été plébiscité avant-hier pour un nouveau mandat de cinq ans. Par ailleurs Sidi-Saïd a confirmé hier la suppression de l'article 87 bis. « Il reste toutefois les aspects techniques de cette suppression et ce sera fait normalement dans les tout prochains mois » a-t-il indiqué hier en marge du congrès. Sidi- Saïd a par ailleurs salué le retour du crédit à la consommation qui « va aider la production nationale » . Sur le nouveau code du travail il s'est contenté de dire « qu'il faut qu'il soit l'émanation d'un consensus entre tous les partenaires ». « Nous sommes pour le maintien de la règle des 51/49 % en matière d'investissement étranger en Algérie » dira le rapporteur de la conférence régionale du Centre. Cette question a aussi été évoquée par d'autres intervenants. Beaucoup a été dit sur cette règle qui a été instituée, pour rappel, dans le cadre de la loi de finances 2009 et qui permet à la partie algérienne de détenir 51 % des actions contre 49 % pour la partie étrangère. Certaines parties craignent que cette règle ne soit supprimée par le gouvernement. Mais le gouvernement a tenu à rassurer sur son maintien en révisant toutefois sa copie. « Elle ne sera maintenue que dans les secteurs stratégiques » clament, en effet, les officiels. Dans certains rapports il a été question de l'interdiction du cumul dans les fonctions exécutives, la réduction du nombre des membres de la CEN, la formation et le recyclage des travailleurs, etc. La prise en charge des préoccupations des retraités et l'application des décisions de justice pour la réintégration des travailleurs dans leurs postes de travail ont été, par ailleurs, proposées par les intervenants. Cela dit la lecture des rapports n'a pas suscité un grand intérêt de la part de congressistes puisque la salle des conférences n'a pas fait le plein. A croire que les congressistes avaient d'autres préoccupations. Il faut dire que ce rendezvous organique était dénué du moindre enjeu puisque tout a été fait dans les congrès régionaux l'ayant précédé. En effet la question de l'élection des membres de la CEN, qui devait être la principale attraction du 12e congrès, a été réglée lors des congrès régionaux rompant ainsi avec l'habitude. La composante de la nouvelle CEN sera avalisée aujourd'hui par les congressistes, car les places encore manquantes n'ont été pourvues qu'hier. Il s'agit, selon le président du bureau du bureau du congrès, Tayeb Hmarnia, « de 5 sièges pour les femmes, de cinq autres sièges pour les retraités et d'un siège pour la communauté algérienne établie à l'étranger. Les secrétaires généraux des fédérations, au nombre de 25, sont aussi membres de plein droit dans la CEN. » La CEN, est-il besoin de le rappeler, est la plus haute institution entre deux congrès, d'où l'importance pour tout syndicaliste d'y avoir un siège. Et c'est d'ailleurs la CEN, composée de 187 membres, qui élit l'instance exécutive de l'UGTA, à savoir le secrétariat national. Cette élection aura lieu le 25 ou le 26 janvier prochains lors de la tenue de la première session de la CEN. « Les membres du secrétariat seront élus et non désignés par le secrétaire général » nous a indiqué hier Tayeb Hmarnia, précisant que « la question a été tranchée ». Il faut dire qu'avant le congrès deux tendances s'affrontaient, l'une privilégiant l'urne alors que la deuxième voulait laisser cette latitude au secrétaire général de l'UGTA, à savoir Abdelmadjid Sidi-Saïd qui a été plébiscité avant-hier pour un nouveau mandat de cinq ans. Par ailleurs Sidi-Saïd a confirmé hier la suppression de l'article 87 bis. « Il reste toutefois les aspects techniques de cette suppression et ce sera fait normalement dans les tout prochains mois » a-t-il indiqué hier en marge du congrès. Sidi- Saïd a par ailleurs salué le retour du crédit à la consommation qui « va aider la production nationale » . Sur le nouveau code du travail il s'est contenté de dire « qu'il faut qu'il soit l'émanation d'un consensus entre tous les partenaires ».