De violents combats ont continué samedi autour des villes stratégiques de l'est de l'Ukraine entre les rebelles pro-russes et l'armée ukrainienne dans l'Est séparatiste, à quelques heures d'un cessez-le-feu censé entrer en vigueur samedi à minuit (heure locale) 22h GMT. De violents combats ont continué samedi autour des villes stratégiques de l'est de l'Ukraine entre les rebelles pro-russes et l'armée ukrainienne dans l'Est séparatiste, à quelques heures d'un cessez-le-feu censé entrer en vigueur samedi à minuit (heure locale) 22h GMT. L'armée ukrainienne a fait état, samedi matin, d'une "tentative d'assaut rebelle avec des lance-roquettes multiples et les chars" contre ses positions aux abords sud-est de Debaltseve, théâtre d'intenses combats depuis des semaines où les troupes ukrainiennes sont quasimentencerclées. Les deux parties ont continué à s'affronter pour gagner du terrain vendredi, poussant le président ukrainien à juger les accords de Minsk "en grand danger". "Malheureusement, après les accords de Minsk, l'opération offensive de la Russie a significativement augmenté (...). Les accords de Minsk sont en grand danger", a déclaré le président ukrainien. Les dirigeants des sept plus grandes puissances économiques mondiales (G7, Canada, France, Allemagne, Italie, Japon, Royaume Uni, Etats-Unis) ont appelé au "strict respect" des accords et se sont dits "prêts à adopter" des sanctions contre ceux qui violeraient cet accord, selon un communiqué transmis par la présidence française. L'armée ukrainienne a fait état, samedi matin, d'une "tentative d'assaut rebelle avec des lance-roquettes multiples et les chars" contre ses positions aux abords sud-est de Debaltseve, théâtre d'intenses combats depuis des semaines où les troupes ukrainiennes sont quasimentencerclées. Les deux parties ont continué à s'affronter pour gagner du terrain vendredi, poussant le président ukrainien à juger les accords de Minsk "en grand danger". "Malheureusement, après les accords de Minsk, l'opération offensive de la Russie a significativement augmenté (...). Les accords de Minsk sont en grand danger", a déclaré le président ukrainien. Les dirigeants des sept plus grandes puissances économiques mondiales (G7, Canada, France, Allemagne, Italie, Japon, Royaume Uni, Etats-Unis) ont appelé au "strict respect" des accords et se sont dits "prêts à adopter" des sanctions contre ceux qui violeraient cet accord, selon un communiqué transmis par la présidence française.