D'aucuns s'attendent à ce qu'une loi de finances complémentaire soit déposée lors de cette session, les prévisions du gouvernement ayant été très bousculées par l'effondrement du prix du pétrole. D'aucuns s'attendent à ce qu'une loi de finances complémentaire soit déposée lors de cette session, les prévisions du gouvernement ayant été très bousculées par l'effondrement du prix du pétrole. Les parlementaires des deux chambres sont de retour. Ils reprendront le chemin de l'hémicycle demain lundi 2 mars. La session de printemps des deux chambres du Parlement s'ouvre, en effet, ce jour-là. L'ordre du jour de cette session, qui devrait s'étaler jusqu'au début du mois de juillet, sera en grande partie le jour-même de l'ouverture officielle des travaux. La réunion des bureaux des deux chambres en présence d'un représentant du gouvernement devrait en effet, en préciser les termes. Certains projets de loi sont d'ores et déjà au niveau de l'APN puisque déjà déposés par le gouvernement. Certains textes sont ainsi au niveau des commissions spécialisées. Ils n'ont pu être adoptés lors de la session d'automne. Il en est ainsi du projet de loi portant révision du code pénal. Ce texte, déposé tardivement par le département ministériel de Tayeb Louh, n'a pu être adopté contrairement à un autre projet portant sur le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Selon des sources parlementaires ce projet de loi sera soumis à l'appréciation des députés dès le mercredi prochain. Lors de cette session les observateurs s'attendent aussi à ce que le gouvernement dépose un projet de loi de finances complémentaire. Les prévisions du gouvernement ont été en effet particulièrement bousculées par l'effondrement des prix du baril de pétrole sur les marchés internationaux. Mais il est évident que le plus grand projet, qui sera attendu par les observateurs et l'opinion publique, est celui relatif à la révision de la Constitution. Il faut dire que jusqu'à présent rien n'a filtré sur ce projet. Néanmoins le président de la République a laissé clairement entendre que ce projet sera bel et bien au programme de cette session de printemps. Lors de son message à l'occasion de la célébration de la création de l'UGTA et la nationalisation des hydrocarbures, le mardi dernier, le président Abdelaziz Bouteflika a en effet indiqué vouloir accélérer les réformes politiques. D'aucuns ont compris qu'il s'agit du fameux projet portant révision de la Constitution. Cela a été, en tous cas, l'avis du secrétaire général du FLN, Amar Saïdani. Depuis la fin des consultations politiques sur le projet en question, menées pour rappel par Ahmed Ouyahia, c'est le flou total. L'opinion publique ne sait pas si le projet sera adopté par voie référendaire ou parlementaire. Il était presque quasiment certain que le projet allait être adopté avant la fin de l'année passée. Le président de la république, Abdelaziz Bouteflika, s'y était en effet engagé. Il n'en fut rien et le projet continue d'alimenter les spéculations. Une grande partie de l'opposition a, pour rappel, boycotté les consultations d'Ahmed Ouyahia et ne semble pas avoir changé d'avis sur la question. Cette oppsition rejette dans le fond et dans la forme le projet et milite pour une transition démocratique. Le FFS, qui a participé aux consultations, est absorbé par son projet de conférence nationale de consensus. Une conférence qui ne semble avoir ni l'aval d'une partie de l'opposition ni de celui du pouvoir. En attestent les derniers propos du secrétaire général du RND, Abdelkader Bensalah. Les propos de Bensalah, rejetant carrément l'initiative du FFS, sont ainsi significatifs de la volonté du pouvoir de concrétiser son projet de révision constitutionnel Les parlementaires des deux chambres sont de retour. Ils reprendront le chemin de l'hémicycle demain lundi 2 mars. La session de printemps des deux chambres du Parlement s'ouvre, en effet, ce jour-là. L'ordre du jour de cette session, qui devrait s'étaler jusqu'au début du mois de juillet, sera en grande partie le jour-même de l'ouverture officielle des travaux. La réunion des bureaux des deux chambres en présence d'un représentant du gouvernement devrait en effet, en préciser les termes. Certains projets de loi sont d'ores et déjà au niveau de l'APN puisque déjà déposés par le gouvernement. Certains textes sont ainsi au niveau des commissions spécialisées. Ils n'ont pu être adoptés lors de la session d'automne. Il en est ainsi du projet de loi portant révision du code pénal. Ce texte, déposé tardivement par le département ministériel de Tayeb Louh, n'a pu être adopté contrairement à un autre projet portant sur le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Selon des sources parlementaires ce projet de loi sera soumis à l'appréciation des députés dès le mercredi prochain. Lors de cette session les observateurs s'attendent aussi à ce que le gouvernement dépose un projet de loi de finances complémentaire. Les prévisions du gouvernement ont été en effet particulièrement bousculées par l'effondrement des prix du baril de pétrole sur les marchés internationaux. Mais il est évident que le plus grand projet, qui sera attendu par les observateurs et l'opinion publique, est celui relatif à la révision de la Constitution. Il faut dire que jusqu'à présent rien n'a filtré sur ce projet. Néanmoins le président de la République a laissé clairement entendre que ce projet sera bel et bien au programme de cette session de printemps. Lors de son message à l'occasion de la célébration de la création de l'UGTA et la nationalisation des hydrocarbures, le mardi dernier, le président Abdelaziz Bouteflika a en effet indiqué vouloir accélérer les réformes politiques. D'aucuns ont compris qu'il s'agit du fameux projet portant révision de la Constitution. Cela a été, en tous cas, l'avis du secrétaire général du FLN, Amar Saïdani. Depuis la fin des consultations politiques sur le projet en question, menées pour rappel par Ahmed Ouyahia, c'est le flou total. L'opinion publique ne sait pas si le projet sera adopté par voie référendaire ou parlementaire. Il était presque quasiment certain que le projet allait être adopté avant la fin de l'année passée. Le président de la république, Abdelaziz Bouteflika, s'y était en effet engagé. Il n'en fut rien et le projet continue d'alimenter les spéculations. Une grande partie de l'opposition a, pour rappel, boycotté les consultations d'Ahmed Ouyahia et ne semble pas avoir changé d'avis sur la question. Cette oppsition rejette dans le fond et dans la forme le projet et milite pour une transition démocratique. Le FFS, qui a participé aux consultations, est absorbé par son projet de conférence nationale de consensus. Une conférence qui ne semble avoir ni l'aval d'une partie de l'opposition ni de celui du pouvoir. En attestent les derniers propos du secrétaire général du RND, Abdelkader Bensalah. Les propos de Bensalah, rejetant carrément l'initiative du FFS, sont ainsi significatifs de la volonté du pouvoir de concrétiser son projet de révision constitutionnel