Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, et son homologue iranien, Mohammad Javad Zarif, ont fait état jeudi de "progrès" dans leurs discussions sur le nucléaire iranien, même si un négociateur européen a prévenu qu'on était "loin" d'un accord politique. Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, et son homologue iranien, Mohammad Javad Zarif, ont fait état jeudi de "progrès" dans leurs discussions sur le nucléaire iranien, même si un négociateur européen a prévenu qu'on était "loin" d'un accord politique. Lausanne accueille depuis lundi un nouveau cycle de pourparlers entre le groupe 5"1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne) et l'Iran pour espérer sceller un règlement dit "politique" sur le nucléaire avant le 31 mars, voire avant le Nouvel an iranien du 21 mars. Un tel document très général garantirait que l'Iran ne fabrique jamais la bombe atomique, en échange d'une levée des sanctions internationales. "Nous discutons de certains sujets difficiles mais nous avons fait des progrès", a déclaré John Kerry de manière inopinée à quelques journalistes en sortant d'une réunion avec la délégation iranienne dans un palace de la ville suisse. M. Kerry, qui ne s'était pas exprimé publiquement depuis dimanche, a ensuite répondu qu'il ne savait pas jusqu'à quand son équipe resterait à Lausanne. M. Zarif, de son côté, qui souffle le chaud et le froid depuis quatre jours, a jugé que les parties "avançaient très bien mais qu'il reste beaucoup de travail à accomplir", selon l'agence officielle Irna. Le 5"1 et l'Iran sont entrés "dans la dernière phase des négociations qui nécessite des discussions très intenses", qui sont "très compliquées", a estimé le ministre iranien. Lausanne accueille depuis lundi un nouveau cycle de pourparlers entre le groupe 5"1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne) et l'Iran pour espérer sceller un règlement dit "politique" sur le nucléaire avant le 31 mars, voire avant le Nouvel an iranien du 21 mars. Un tel document très général garantirait que l'Iran ne fabrique jamais la bombe atomique, en échange d'une levée des sanctions internationales. "Nous discutons de certains sujets difficiles mais nous avons fait des progrès", a déclaré John Kerry de manière inopinée à quelques journalistes en sortant d'une réunion avec la délégation iranienne dans un palace de la ville suisse. M. Kerry, qui ne s'était pas exprimé publiquement depuis dimanche, a ensuite répondu qu'il ne savait pas jusqu'à quand son équipe resterait à Lausanne. M. Zarif, de son côté, qui souffle le chaud et le froid depuis quatre jours, a jugé que les parties "avançaient très bien mais qu'il reste beaucoup de travail à accomplir", selon l'agence officielle Irna. Le 5"1 et l'Iran sont entrés "dans la dernière phase des négociations qui nécessite des discussions très intenses", qui sont "très compliquées", a estimé le ministre iranien.