"Bougies qui ne s'éteignent jamais", tel est l'intitulé du colloque itinérant de trois jours qui s'est ouvert mardi dernier à Oran, en présence de plusieurs personnalités nationales, des représentants de la société civile, des cadres du secteur et surtout des universitaires et des chercheurs qui se sont penchés sur le parcours de ces ficeleurs de mots. "Bougies qui ne s'éteignent jamais", tel est l'intitulé du colloque itinérant de trois jours qui s'est ouvert mardi dernier à Oran, en présence de plusieurs personnalités nationales, des représentants de la société civile, des cadres du secteur et surtout des universitaires et des chercheurs qui se sont penchés sur le parcours de ces ficeleurs de mots. Ces derniers ont la passion du savoir. Ce sont des scientifiques qui entendent produire des connaissances précises, rigoureuses, ce sont aussi des humanistes soucieux de comprendre dans toute sa diversité la vie sociale, ses transformations historiques et ses particularités culturelles. En rupture avec les préconceptions et le sens commun, en lutte contre les idéologies politiques et les conseils prodigués par les gourous du monde des affaires, ils dévoilent et rendent compréhensible le réel. Ils tiennent la connaissance pour utile, et considèrent qu'elle élève la capacité d'action, qu'elle contribue de manière positive aux transformations de la société. D'ailleurs, en comparant ces deux grandes figures de la lutte contre l'arbitraire, les participants ont estimé que les poètes Moufdi Zakaria et Mahmoud Darwich "sont deux faces d'une même qacida" glorifiant la lutte des peuples algérien et palestinien. Le poète Belhadj Laïd d'Oran a soutenu, dans sa communication, que le poète de la Révolution algérienne, Moufdi Zakaria, et celui de la cause palestinienne, Mahmoud Darwich, se rejoignent dans la scène culturelle arabe pour exprimer, à travers leurs poèmes, le long militantisme de leurs peuples respectifs contre le joug colonial, et louant leur combat pour une cause juste. Pour sa part, le représentant de l'ambassade de la Palestine en Algérie, Youcef Abed a abordé le parcours littéraire des deux poètes, tout en soulignant que Moufdi Zakaria a immortalisé la cause palestinienne dans deux qacidate dans ses diwans (répertoires) "El lehb el moqadess" (La flamme sacrée) et "Wah'ii el Atlas" (Esprit de l'Atlas). Dans une déclaration à l'APS, M. Abed a affirmé que Moufdi Zakaria et Mahmoud Darwich sont "deux repères ayant illuminé la voie de la liberté pour la glorieuse Révolution algérienne et la question palestinienne", ajoutant que "la Révolution algérienne est tutrice de la Révolution palestinienne". Le chercheur en histoire Bouchikhi Cheikh, invité d'honneur de cette édition, a traité du soutien de longue date de l'Algérie à la Palestine, évoquant la participation de Sidi Boumediène Chouaïb à la libération d'El Qods à l'époque de Salaheddine El Ayoubi et celle d'Algériens à la guerre de 1948 contre l'occupant sioniste. Cette rencontre constitue une occasion pour de nombreux chercheurs et hommes de lettres de mettre en exergue le parcours de ces illustres aèdes et permettre à de jeunes poètes issus des différentes wilayas du pays de présenter des poèmes sur la glorieuse Guerre de libération nationale et sur le combat livré par les Palestiniens pour recouvrer leur liberté et leur dignité, émaillés par des chants de la troupe El Bahdja d'Alger. Le programme de cette rencontre, organisée par la Direction de la culture Zeddour Brahim Belkacem d'Oran sous l'égide de la direction de la culture de la wilaya, comporte des études sur les deux poètes, la présentation d'un nouvel ouvrage "Djazia", qui est un recueil de contes du prof esseur Bouchikhi Cheikh , outre l'annonce des lauréats du concours national littéraire. Ces derniers ont la passion du savoir. Ce sont des scientifiques qui entendent produire des connaissances précises, rigoureuses, ce sont aussi des humanistes soucieux de comprendre dans toute sa diversité la vie sociale, ses transformations historiques et ses particularités culturelles. En rupture avec les préconceptions et le sens commun, en lutte contre les idéologies politiques et les conseils prodigués par les gourous du monde des affaires, ils dévoilent et rendent compréhensible le réel. Ils tiennent la connaissance pour utile, et considèrent qu'elle élève la capacité d'action, qu'elle contribue de manière positive aux transformations de la société. D'ailleurs, en comparant ces deux grandes figures de la lutte contre l'arbitraire, les participants ont estimé que les poètes Moufdi Zakaria et Mahmoud Darwich "sont deux faces d'une même qacida" glorifiant la lutte des peuples algérien et palestinien. Le poète Belhadj Laïd d'Oran a soutenu, dans sa communication, que le poète de la Révolution algérienne, Moufdi Zakaria, et celui de la cause palestinienne, Mahmoud Darwich, se rejoignent dans la scène culturelle arabe pour exprimer, à travers leurs poèmes, le long militantisme de leurs peuples respectifs contre le joug colonial, et louant leur combat pour une cause juste. Pour sa part, le représentant de l'ambassade de la Palestine en Algérie, Youcef Abed a abordé le parcours littéraire des deux poètes, tout en soulignant que Moufdi Zakaria a immortalisé la cause palestinienne dans deux qacidate dans ses diwans (répertoires) "El lehb el moqadess" (La flamme sacrée) et "Wah'ii el Atlas" (Esprit de l'Atlas). Dans une déclaration à l'APS, M. Abed a affirmé que Moufdi Zakaria et Mahmoud Darwich sont "deux repères ayant illuminé la voie de la liberté pour la glorieuse Révolution algérienne et la question palestinienne", ajoutant que "la Révolution algérienne est tutrice de la Révolution palestinienne". Le chercheur en histoire Bouchikhi Cheikh, invité d'honneur de cette édition, a traité du soutien de longue date de l'Algérie à la Palestine, évoquant la participation de Sidi Boumediène Chouaïb à la libération d'El Qods à l'époque de Salaheddine El Ayoubi et celle d'Algériens à la guerre de 1948 contre l'occupant sioniste. Cette rencontre constitue une occasion pour de nombreux chercheurs et hommes de lettres de mettre en exergue le parcours de ces illustres aèdes et permettre à de jeunes poètes issus des différentes wilayas du pays de présenter des poèmes sur la glorieuse Guerre de libération nationale et sur le combat livré par les Palestiniens pour recouvrer leur liberté et leur dignité, émaillés par des chants de la troupe El Bahdja d'Alger. Le programme de cette rencontre, organisée par la Direction de la culture Zeddour Brahim Belkacem d'Oran sous l'égide de la direction de la culture de la wilaya, comporte des études sur les deux poètes, la présentation d'un nouvel ouvrage "Djazia", qui est un recueil de contes du prof esseur Bouchikhi Cheikh , outre l'annonce des lauréats du concours national littéraire.