En marge d'une cérémonie d'ouverture de semaines culturelles des villes de Tipasa et Tamanrasset, dans le cadre du programme culturel de la manifestation "Constantine, capitale 2015 de la culture arabe", le chef de l'exécutif local a invité les artistes de la ville des ponts à se manifester, "via leur savoirfaire pour sculpter un portrait du cheikh", fondateur de l'Association des Ulémas. En marge d'une cérémonie d'ouverture de semaines culturelles des villes de Tipasa et Tamanrasset, dans le cadre du programme culturel de la manifestation "Constantine, capitale 2015 de la culture arabe", le chef de l'exécutif local a invité les artistes de la ville des ponts à se manifester, "via leur savoirfaire pour sculpter un portrait du cheikh", fondateur de l'Association des Ulémas. M. Ouadah est revenu sur une polémique autour d'une statue du cheikh Ben Badis, installée quelques jours avant le lancement de l'événement culturel phare de la ville, pour affirmer qu'"aucun centime n'a été déboursé pour cette oeuvre". "(...) C'était un don d'un entrepreneur. Et puisqu'il y a eu autant de contestation sur la qualité de ladite effigie, (..) Je souhaite désormais que les artistes locaux nous proposent quelque chose de meilleur, la balle est dans leur camp", a-t-il martelé. Le wali a saisi l'occasion pour annoncer que, suite aux réactions des citoyens de la ville des ponts, le retrait de la statue, placée à la place des martyrs, a été décidé par son administration, "(....) je réponds aux désirs des citoyens et des personnes qui ont jugé que l'oeuvre n'est pas représentative, puisque, selon eux elle renferme plusieurs imperfections", a-t-il expliqué. La statue de Ben Badis a été retirée de la place des martyrs lundi soir. Une bibliothèque au Musée national des arts et expressions culturelles traditionnelles Une bibliothèque dotée de plus de 3.000 ouvrages a été inaugurée mardi au musée public national des arts et expressions culturelles traditionnelles de Constantine, a-t- on constaté. Cette structure dotée d'une salle de lecture de 50 places est appelée à encourager la lecture et à élever le niveau du lectorat. Une exposition de photographies illustrant les richesses de plusieurs régions du pays en l'occurrence les wilayas de Constantine, de Tiaret, de Tlemcen et de Boussaâda à M'sila a été inaugurée à cette occasion. Un programme riche et diversifié a été concocté pour le mois du patrimoine à Constantine avec l'ouverture également d'un salon de l'artisanat et des métiers remontant le temps et racontant l'histoire du textile en Algérie, les habits traditionnels, la vannerie et la dinanderie, un des plus célèbres savoirfaire constantinois. Cette manifestation culturelle, qui se poursuivra jusqu'au 19 mai, a pour objectif de jeter la lumière sur le patrimoine local et sa promotion, parallèlement à la réhabilitation du secteur touristique et du cachet artisanal typique de la région de Constantine. M. Ouadah est revenu sur une polémique autour d'une statue du cheikh Ben Badis, installée quelques jours avant le lancement de l'événement culturel phare de la ville, pour affirmer qu'"aucun centime n'a été déboursé pour cette oeuvre". "(...) C'était un don d'un entrepreneur. Et puisqu'il y a eu autant de contestation sur la qualité de ladite effigie, (..) Je souhaite désormais que les artistes locaux nous proposent quelque chose de meilleur, la balle est dans leur camp", a-t-il martelé. Le wali a saisi l'occasion pour annoncer que, suite aux réactions des citoyens de la ville des ponts, le retrait de la statue, placée à la place des martyrs, a été décidé par son administration, "(....) je réponds aux désirs des citoyens et des personnes qui ont jugé que l'oeuvre n'est pas représentative, puisque, selon eux elle renferme plusieurs imperfections", a-t-il expliqué. La statue de Ben Badis a été retirée de la place des martyrs lundi soir. Une bibliothèque au Musée national des arts et expressions culturelles traditionnelles Une bibliothèque dotée de plus de 3.000 ouvrages a été inaugurée mardi au musée public national des arts et expressions culturelles traditionnelles de Constantine, a-t- on constaté. Cette structure dotée d'une salle de lecture de 50 places est appelée à encourager la lecture et à élever le niveau du lectorat. Une exposition de photographies illustrant les richesses de plusieurs régions du pays en l'occurrence les wilayas de Constantine, de Tiaret, de Tlemcen et de Boussaâda à M'sila a été inaugurée à cette occasion. Un programme riche et diversifié a été concocté pour le mois du patrimoine à Constantine avec l'ouverture également d'un salon de l'artisanat et des métiers remontant le temps et racontant l'histoire du textile en Algérie, les habits traditionnels, la vannerie et la dinanderie, un des plus célèbres savoirfaire constantinois. Cette manifestation culturelle, qui se poursuivra jusqu'au 19 mai, a pour objectif de jeter la lumière sur le patrimoine local et sa promotion, parallèlement à la réhabilitation du secteur touristique et du cachet artisanal typique de la région de Constantine.