La prochaine réunion des parties maliennes est prévue demain à Alger. Après plusieurs concertations, il semblera que cette fois-ci les voies de discussion diplomatique tracées par l'Algérie porteront leurs fruits. La prochaine réunion des parties maliennes est prévue demain à Alger. Après plusieurs concertations, il semblera que cette fois-ci les voies de discussion diplomatique tracées par l'Algérie porteront leurs fruits. C'est notamment ce qu'a annoncé le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, qui a affirmé que cette réunion portera sur la mise en place de "mécanismes" et un "système global et intégré" pour un "cessez-le-feu et son contrôle au nord du Mali". Il a précisé que "il existe pas moins de trois accords sur la cessation des hostilités signés à différentes étapes du processus d'Alger", soulignant que ces derniers "ont été tantôt respectés, tantôt transgressés". Ainsi, une série de consultations pour le parachèvement du processus de signature de l'Accord de paix et de réconciliation au Mali débutera à partir de demain. C'est notamment ce que précise le le communiqué de la médiation internationale, dont l'Algérie est le chef de file « la médiation organisera, à compter du 25 mai 2015, à Alger, comme convenu précédemment, une série de consultations destinées à mettre en place les conditions du parachèvement du processus de signature de l'Accord dans les plus brefs délais», L'accord de paix et de réconciliation au Mali avait été signé à Bamako par les parties maliennes au dialogue pour le règlement de la crise dans le nord du pays. Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d'Alger et par l'équipe de la médiation internationale conduite par l'Algérie, ainsi que par deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la CMFPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance). La décision de tenir la série de consultations à Alger a été prise au terme d'une réunion tenue par la médiation élargie mardi à Bamako avec à son ordre du jour: "l'"identification des actions à engager suite à la signature de l'Accord pour la paix et la réconciliation au Mali en vue de favoriser la consolidation des résultats enregistrés dans le processus de paix au Mali", a précisé le communiqué. La médiation, qui s'est félicitée de l'entrée en vigueur de l'Accord, a exhorté les parties qui ne l'ont pas encore fait à procéder à la signature du document, "dans les meilleurs délais". Les consultations, prévues à Alger, seront également l'"occasion pour les parties de réaffirmer leur engagement en faveur d'une cessation totale et définitive des hostilités", a souligné la médiation. En outre, lit-on dans le texte, "la médiation a chargé un groupe d'experts d'engager immédiatement les préparatifs pour la mise sur pied du Comité de suivi de l'Accord et la tenue, dans les délais les plus rapprochés, de la première réunion de cette instance." Ce groupe (d'experts) est également mandaté à l'effet de proposer, au Comité de suivi, un échéancier précis pour la mise en oeuvre de l'Accord, a conclu le communiqué de la médiation. C'est notamment ce qu'a annoncé le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, qui a affirmé que cette réunion portera sur la mise en place de "mécanismes" et un "système global et intégré" pour un "cessez-le-feu et son contrôle au nord du Mali". Il a précisé que "il existe pas moins de trois accords sur la cessation des hostilités signés à différentes étapes du processus d'Alger", soulignant que ces derniers "ont été tantôt respectés, tantôt transgressés". Ainsi, une série de consultations pour le parachèvement du processus de signature de l'Accord de paix et de réconciliation au Mali débutera à partir de demain. C'est notamment ce que précise le le communiqué de la médiation internationale, dont l'Algérie est le chef de file « la médiation organisera, à compter du 25 mai 2015, à Alger, comme convenu précédemment, une série de consultations destinées à mettre en place les conditions du parachèvement du processus de signature de l'Accord dans les plus brefs délais», L'accord de paix et de réconciliation au Mali avait été signé à Bamako par les parties maliennes au dialogue pour le règlement de la crise dans le nord du pays. Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d'Alger et par l'équipe de la médiation internationale conduite par l'Algérie, ainsi que par deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la CMFPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance). La décision de tenir la série de consultations à Alger a été prise au terme d'une réunion tenue par la médiation élargie mardi à Bamako avec à son ordre du jour: "l'"identification des actions à engager suite à la signature de l'Accord pour la paix et la réconciliation au Mali en vue de favoriser la consolidation des résultats enregistrés dans le processus de paix au Mali", a précisé le communiqué. La médiation, qui s'est félicitée de l'entrée en vigueur de l'Accord, a exhorté les parties qui ne l'ont pas encore fait à procéder à la signature du document, "dans les meilleurs délais". Les consultations, prévues à Alger, seront également l'"occasion pour les parties de réaffirmer leur engagement en faveur d'une cessation totale et définitive des hostilités", a souligné la médiation. En outre, lit-on dans le texte, "la médiation a chargé un groupe d'experts d'engager immédiatement les préparatifs pour la mise sur pied du Comité de suivi de l'Accord et la tenue, dans les délais les plus rapprochés, de la première réunion de cette instance." Ce groupe (d'experts) est également mandaté à l'effet de proposer, au Comité de suivi, un échéancier précis pour la mise en oeuvre de l'Accord, a conclu le communiqué de la médiation.