Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a appelé jeudi dernier à partir de Constantine à marquer une halte, un demi-siècle après la Révolution, pour méditer sur ses facteurs de force sans s'arrêter aux limites de la simple satisfaction d'une prouesse héroïque. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a appelé jeudi dernier à partir de Constantine à marquer une halte, un demi-siècle après la Révolution, pour méditer sur ses facteurs de force sans s'arrêter aux limites de la simple satisfaction d'une prouesse héroïque. Il ne "s'agit pas de s'arrêter aux limites de la simple satisfaction d'une prouesse héroïque dans laquelle la volonté de notre peuple vaillant s'est opposée à la violence d'un occupant inique. Nous nous devons, un demi-siècle après la réalisation de cet éclatant exploit, de marquer une halte pour méditer sur les facteurs de force de la Révolution et le degré de maturité de cette avant-garde qui l'a déclenchée et conduite dans ses étapes successives, exceptionnelles pour la plupart, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays", Il ajoutera en outre que "le 20 Août tire sa profondeur de la grandeur d'hommes convaincus que la colonisation n'était pas une fatalité et qui ont fait le serment de façonner l'Histoire, convaincus qu'ils étaient, de par leur clairvoyance et leur sagacité, que la colonisation n'était pas une fatalité car la volonté des peuples résolus à rompre les chaînes de l'oppression et de la tyrannie était plus forte". Il a appelé, entre autres, à méditer sur les facteurs de force de la Révolution. "Il ne s'agit pas de s'arrêter aux limites de la simple satisfaction d'une prouesse héroïque dans laquelle la volonté de notre peuple vaillant s'est opposée à la violence d'un occupant inique. Nous nous devons, un demi-siècle après la réalisation de cet éclatant exploit, de marquer une halte pour méditer sur les facteurs de force de la Révolution et le degré de maturité de cette avant-garde qui l'a déclenchée et conduite dans ses étapes successives, exceptionnelles pour la plupart, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays". Les événements des 20 Août 1955 et 1956 sont la preuve de l'aboutissement de la dynamique révolutionnaire Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, affirme que l'offensive du 20 Août 1955 dans le Nord-Constantinois et l'organisation, avec succès, une année plus tard, du Congrès de la Soummam "sont la preuve de la prise de conscience et de l'aboutissement de la dynamique imprimée par les combattants de la première heure sur les fronts intérieur et extérieur pour le recouvrement de la souveraineté nationale". Ces deux événements "sont la preuve de la prise de conscience et de l'aboutissement de la dynamique imprimée par les combattants de la première heure sur les fronts intérieur et extérieur, en adéquation avec la marche de l'histoire vers un nouvel équilibre dans les rapports entre les Etats et entre les peuples". "Le soulèvement de 1955, conduit par le chahid Zighoud Youcef, a marqué le couronnement militaire du déclenchement de la Révolution du 1er novembre 1954, la confrontation avec l'ennemi et les sacrifices consentis ayant atteint leur paroxysme, preuve s'il en fut d'une détermination à toute épreuve", a rappelé le président de la République. Le Congrès de la Soummam, à Ifri Ouzellaguen, "est venu consacrer l'intelligence de l'esprit révolutionnaire qui a permis de doter la Révolution d'un système législatif, institutionnel et organisationnel pour mener le combat dans ses dimensions militaire, sociale et diplomatique et user l'ennemi et ses alliés", a précisé le chef de l'Etat. Attachement de l'Algérie à l'édification du Maghreb arabe Le président de la République a réaffirmé l'attachement de l'Algérie au projet d'édification du Maghreb arabe par fidélité aux nobles valeurs de justice, de liberté, d'unité et de progrès commun qui nous ont unis durant notre lutte contre le colonialisme. Le 20 Août, c'est aussi le symbole de la solidarité de notre valeureux peuple avec ses frères dans le royaume du Maroc. Aussi, je saisis cette opportunité pour dire, au nom du peuple algérien, l'attachement de l'Algérie au projet d'édification du Maghreb arabe par fidélité aux nobles valeurs de justice, de liberté, d'unité et de progrès commun qui nous ont unis durant notre lutte contre le colonialisme Il a rappelé que le peuple algérien avait joint sa voix à celle des peuples marocain et tunisien pour "dénoncer le protectorat et les forces d'occupation au moment où les chefs de la Révolution algérienne préparaient un soulèvement populaire à l'échelle maghrébine pour en finir avec le colonialisme". "Des faits concomitants au sentiment commun des peuples du Maghreb arabe que leur parcours et leur destin étaient étroitement liés aussi bien dans l'aisance que dans l'adversité", a soutenu le chef de l'Etat ajoutant que "les conditions d'une révolution maghrébine collective étaient, dès lors, réunies, écrivant une nouvelle page heureuse de l'histoire du continent africain et du monde arabe". Abdelaziz Bouteflika, a appelé le peuple algérien à resserrer les rangs face aux menaces du terrorisme "barbare et dévastateur" et à faire front uni contre le sous-développement et contre tout esprit pessimiste et défaitiste. "Pour la sauvegarde de notre pays et de notre liberté, il nous incombe à tous d'oeuvrer au resserrement des rangs face aux menaces du terrorisme barbare et dévastateur qui ne connaît pas de frontières", a souligné le président Bouteflika dans un message lu en son nom par le ministre de la Culture Azzedine Mihoubi. Il ne "s'agit pas de s'arrêter aux limites de la simple satisfaction d'une prouesse héroïque dans laquelle la volonté de notre peuple vaillant s'est opposée à la violence d'un occupant inique. Nous nous devons, un demi-siècle après la réalisation de cet éclatant exploit, de marquer une halte pour méditer sur les facteurs de force de la Révolution et le degré de maturité de cette avant-garde qui l'a déclenchée et conduite dans ses étapes successives, exceptionnelles pour la plupart, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays", Il ajoutera en outre que "le 20 Août tire sa profondeur de la grandeur d'hommes convaincus que la colonisation n'était pas une fatalité et qui ont fait le serment de façonner l'Histoire, convaincus qu'ils étaient, de par leur clairvoyance et leur sagacité, que la colonisation n'était pas une fatalité car la volonté des peuples résolus à rompre les chaînes de l'oppression et de la tyrannie était plus forte". Il a appelé, entre autres, à méditer sur les facteurs de force de la Révolution. "Il ne s'agit pas de s'arrêter aux limites de la simple satisfaction d'une prouesse héroïque dans laquelle la volonté de notre peuple vaillant s'est opposée à la violence d'un occupant inique. Nous nous devons, un demi-siècle après la réalisation de cet éclatant exploit, de marquer une halte pour méditer sur les facteurs de force de la Révolution et le degré de maturité de cette avant-garde qui l'a déclenchée et conduite dans ses étapes successives, exceptionnelles pour la plupart, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays". Les événements des 20 Août 1955 et 1956 sont la preuve de l'aboutissement de la dynamique révolutionnaire Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, affirme que l'offensive du 20 Août 1955 dans le Nord-Constantinois et l'organisation, avec succès, une année plus tard, du Congrès de la Soummam "sont la preuve de la prise de conscience et de l'aboutissement de la dynamique imprimée par les combattants de la première heure sur les fronts intérieur et extérieur pour le recouvrement de la souveraineté nationale". Ces deux événements "sont la preuve de la prise de conscience et de l'aboutissement de la dynamique imprimée par les combattants de la première heure sur les fronts intérieur et extérieur, en adéquation avec la marche de l'histoire vers un nouvel équilibre dans les rapports entre les Etats et entre les peuples". "Le soulèvement de 1955, conduit par le chahid Zighoud Youcef, a marqué le couronnement militaire du déclenchement de la Révolution du 1er novembre 1954, la confrontation avec l'ennemi et les sacrifices consentis ayant atteint leur paroxysme, preuve s'il en fut d'une détermination à toute épreuve", a rappelé le président de la République. Le Congrès de la Soummam, à Ifri Ouzellaguen, "est venu consacrer l'intelligence de l'esprit révolutionnaire qui a permis de doter la Révolution d'un système législatif, institutionnel et organisationnel pour mener le combat dans ses dimensions militaire, sociale et diplomatique et user l'ennemi et ses alliés", a précisé le chef de l'Etat. Attachement de l'Algérie à l'édification du Maghreb arabe Le président de la République a réaffirmé l'attachement de l'Algérie au projet d'édification du Maghreb arabe par fidélité aux nobles valeurs de justice, de liberté, d'unité et de progrès commun qui nous ont unis durant notre lutte contre le colonialisme. Le 20 Août, c'est aussi le symbole de la solidarité de notre valeureux peuple avec ses frères dans le royaume du Maroc. Aussi, je saisis cette opportunité pour dire, au nom du peuple algérien, l'attachement de l'Algérie au projet d'édification du Maghreb arabe par fidélité aux nobles valeurs de justice, de liberté, d'unité et de progrès commun qui nous ont unis durant notre lutte contre le colonialisme Il a rappelé que le peuple algérien avait joint sa voix à celle des peuples marocain et tunisien pour "dénoncer le protectorat et les forces d'occupation au moment où les chefs de la Révolution algérienne préparaient un soulèvement populaire à l'échelle maghrébine pour en finir avec le colonialisme". "Des faits concomitants au sentiment commun des peuples du Maghreb arabe que leur parcours et leur destin étaient étroitement liés aussi bien dans l'aisance que dans l'adversité", a soutenu le chef de l'Etat ajoutant que "les conditions d'une révolution maghrébine collective étaient, dès lors, réunies, écrivant une nouvelle page heureuse de l'histoire du continent africain et du monde arabe". Abdelaziz Bouteflika, a appelé le peuple algérien à resserrer les rangs face aux menaces du terrorisme "barbare et dévastateur" et à faire front uni contre le sous-développement et contre tout esprit pessimiste et défaitiste. "Pour la sauvegarde de notre pays et de notre liberté, il nous incombe à tous d'oeuvrer au resserrement des rangs face aux menaces du terrorisme barbare et dévastateur qui ne connaît pas de frontières", a souligné le président Bouteflika dans un message lu en son nom par le ministre de la Culture Azzedine Mihoubi.