Les anciens rappelés du service national ne décolèrent toujours pas. Après avoir observé "une trêve", voilà que les anciens militaires rappelés durant la décennie noire pour faire face aux hordes sanguinaires, reviennent à la charge pour réclamer la satisfaction de leurs doléances. Les anciens rappelés du service national ne décolèrent toujours pas. Après avoir observé "une trêve", voilà que les anciens militaires rappelés durant la décennie noire pour faire face aux hordes sanguinaires, reviennent à la charge pour réclamer la satisfaction de leurs doléances. Près d'une centaine d'entre eux ont observé, hier, un rassemblement devant le siège de la wilaya de Boumerdès. En premier lieu, les manifestants ont réclamé le versement de leurs mensualités comme tous les autres rappelés du pays qui, selon eux, perçoivent leur rétribution chaque fin de mois. Selon M. Mansour, le délégué des protestataires, près de 23.000 ex-rappelés ne perçoivent pas leurs mensualités. Les manifestants ont réitéré leurs droits à un logement et à une retraite pour vivre décemment. Ils ont dénoncé le laisseraller des autorités qui, à leurs yeux, n'ont pas fait grand chose pour rétablir le militaire qui a tant sacrifié au péril de sa vie pour que la République reste debout. "Le devoir nous a rappelés. Nous nous n'avons pas refusé, au contraire nous avons répondu avec fierté et sacrifier nos vies pour sauver le pays. Maintenant nous devons être récompensés", martèlent-ils. Cette action de protestation s'est déroulée dans le calme et un important dispositif sécuritaire était déployé autour de la cité administrative. Le mouvement des anciens rappelés du service national, notamment durant la période allant de 1995 à 1997, s'est enclenché en 2011 et depuis plusieurs actions de la rue ont été menées dont des marches sur Alger et autres grandes villes du pays. Près d'une centaine d'entre eux ont observé, hier, un rassemblement devant le siège de la wilaya de Boumerdès. En premier lieu, les manifestants ont réclamé le versement de leurs mensualités comme tous les autres rappelés du pays qui, selon eux, perçoivent leur rétribution chaque fin de mois. Selon M. Mansour, le délégué des protestataires, près de 23.000 ex-rappelés ne perçoivent pas leurs mensualités. Les manifestants ont réitéré leurs droits à un logement et à une retraite pour vivre décemment. Ils ont dénoncé le laisseraller des autorités qui, à leurs yeux, n'ont pas fait grand chose pour rétablir le militaire qui a tant sacrifié au péril de sa vie pour que la République reste debout. "Le devoir nous a rappelés. Nous nous n'avons pas refusé, au contraire nous avons répondu avec fierté et sacrifier nos vies pour sauver le pays. Maintenant nous devons être récompensés", martèlent-ils. Cette action de protestation s'est déroulée dans le calme et un important dispositif sécuritaire était déployé autour de la cité administrative. Le mouvement des anciens rappelés du service national, notamment durant la période allant de 1995 à 1997, s'est enclenché en 2011 et depuis plusieurs actions de la rue ont été menées dont des marches sur Alger et autres grandes villes du pays.