Le gouvernement poursuivra en 2016 ses actions destinées à la promotion de l'investissement, au soutien de l'entreprise et à l'encouragement du secteur national productif, a assuré dimanche le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, soulignant que l'entrepreneur algérien demeure au coeur de la création de croissance. Le gouvernement poursuivra en 2016 ses actions destinées à la promotion de l'investissement, au soutien de l'entreprise et à l'encouragement du secteur national productif, a assuré dimanche le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, soulignant que l'entrepreneur algérien demeure au coeur de la création de croissance. "Notre pari c'est l'entreprise et l'entrepreneur algériens, qui sont au coeur de la création de richesse et de croissance", a déclaré M. Sellal à l'ouverture d'une rencontre avec la communauté universitaire et académique organisée par le Conseil national économique et social (CNES). Ainsi, les dispositions de la loi de finances complémentaire 2015 et de la loi de finances 2016, "vont dans cette direction d'optimisation des recettes du budget de l'Etat, de soutien aux entreprises, de facilitation de l'investissement ainsi que d'encouragemxent du secteur national productif", a indiqué le Premier ministre lors de cette table ronde. "La promotion de l'investissement est une priorité et c'est ensemble que nous devons trouver les solutions aux contraintes et aux entraves qui empêchent son développement et le rendent moins attractif que l'activité de commerce", a-t-il ajouté, rappelant que le budget 2016 vise une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 4,6% (+1% par rapport à l'exercice 2015). Pour atteindre cet objectif dans des perspectives globalement similaires à celles de 2015, le gouvernement continuera, selon M. Sellal, à contenir l'évolution des engagements budgétaires de l'Etat par le changement des comportements des ordonnateurs au niveau central et local, et d'engager concrètement le passage du budget au marché par la captation de l'épargne des ménages, la dynamisation des circuits du Trésor et la bancarisation des liquidités de la sphère informelle. Les pouvoirs publics continueront aussi à mobiliser de nouvelles ressources budgétaires et lutter contre les phénomènes de gaspillage et de contrebande, prioriser les actions impliquant le sphère réelle et améliorer davantage la croissance du PIB hors hydrocarbures, a-t-il soutenu. En outre, six domaines à développer ont été identifiés par les pouvoirs publics comme étant prioritaires. Il s'agit, selon le chef de l'exécutif de l'agriculture, l'industrie, le tourisme, la pétrochimie, les TIC et les énergies renouvelables. "Notre pari c'est l'entreprise et l'entrepreneur algériens, qui sont au coeur de la création de richesse et de croissance", a déclaré M. Sellal à l'ouverture d'une rencontre avec la communauté universitaire et académique organisée par le Conseil national économique et social (CNES). Ainsi, les dispositions de la loi de finances complémentaire 2015 et de la loi de finances 2016, "vont dans cette direction d'optimisation des recettes du budget de l'Etat, de soutien aux entreprises, de facilitation de l'investissement ainsi que d'encouragemxent du secteur national productif", a indiqué le Premier ministre lors de cette table ronde. "La promotion de l'investissement est une priorité et c'est ensemble que nous devons trouver les solutions aux contraintes et aux entraves qui empêchent son développement et le rendent moins attractif que l'activité de commerce", a-t-il ajouté, rappelant que le budget 2016 vise une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 4,6% (+1% par rapport à l'exercice 2015). Pour atteindre cet objectif dans des perspectives globalement similaires à celles de 2015, le gouvernement continuera, selon M. Sellal, à contenir l'évolution des engagements budgétaires de l'Etat par le changement des comportements des ordonnateurs au niveau central et local, et d'engager concrètement le passage du budget au marché par la captation de l'épargne des ménages, la dynamisation des circuits du Trésor et la bancarisation des liquidités de la sphère informelle. Les pouvoirs publics continueront aussi à mobiliser de nouvelles ressources budgétaires et lutter contre les phénomènes de gaspillage et de contrebande, prioriser les actions impliquant le sphère réelle et améliorer davantage la croissance du PIB hors hydrocarbures, a-t-il soutenu. En outre, six domaines à développer ont été identifiés par les pouvoirs publics comme étant prioritaires. Il s'agit, selon le chef de l'exécutif de l'agriculture, l'industrie, le tourisme, la pétrochimie, les TIC et les énergies renouvelables.