L'Algérie veut un soutien financier et technologique de la communauté internationale pour concrétiser son programme de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de lutte contre le réchauffement climatique, a déclaré, à Alger, le ministre des Ressources en eau et de l'environnement, Abdelouahab Nouri. L'Algérie veut un soutien financier et technologique de la communauté internationale pour concrétiser son programme de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de lutte contre le réchauffement climatique, a déclaré, à Alger, le ministre des Ressources en eau et de l'environnement, Abdelouahab Nouri. "L'Algérie s'est engagée en matière de lutte contre le réchauffement climatique et est prête à réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais elle attend le soutien de la communauté internationale sur les plans financier et de transfert de technologie et de savoir-faire", a déclaré le ministre à la presse à l'issue de sa réunion avec la ministre française de l'Ecologie, du développement durable et de l'énergie, Ségolène Royal. Mme Royal était à Alger depuis vendredi pour une visite de deux jours qu'elle effectue dans le cadre de la préparation de la Conférence internationale sur le réchauffement climatique (COP 21) prévue à Paris en décembre prochain. M. Nouri a énuméré, à cet effet, les engagements de l'Algérie en matière de lutte contre le réchauffement climatique et son impact. Il s'agit principalement de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans une fourchette allant de 7 à 22%, selon le ministre qui a relevé que l'Algérie s'était engagée pour réaliser cet objectif. Le deuxième engagement, a-t-il poursuivi, consiste à réduire la consommation de l'énergie électrique à hauteur de 9% et à augmenter la part des énergies renouvelables dans la production de l'électricité à hauteur de 27% à l'horizon 2030. M. Nouri a également rappelé le programme de reconversion de plus d'un (1) million de véhicules légers au gaz de pétrole liquéfié carburant (GPLC) et de plus de 20.000 bus au gaz naturel comprimé (GNC) ainsi que le programme de logements à haute efficacité énergétique. "Ce programme ambitieux sera réalisé à terme si les conditions seront réunies. J'espère que nous aurons les moyens nécessaires pour faire aboutir ces actions", a-t-il souhaité. "L'Algérie s'est engagée en matière de lutte contre le réchauffement climatique et est prête à réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais elle attend le soutien de la communauté internationale sur les plans financier et de transfert de technologie et de savoir-faire", a déclaré le ministre à la presse à l'issue de sa réunion avec la ministre française de l'Ecologie, du développement durable et de l'énergie, Ségolène Royal. Mme Royal était à Alger depuis vendredi pour une visite de deux jours qu'elle effectue dans le cadre de la préparation de la Conférence internationale sur le réchauffement climatique (COP 21) prévue à Paris en décembre prochain. M. Nouri a énuméré, à cet effet, les engagements de l'Algérie en matière de lutte contre le réchauffement climatique et son impact. Il s'agit principalement de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans une fourchette allant de 7 à 22%, selon le ministre qui a relevé que l'Algérie s'était engagée pour réaliser cet objectif. Le deuxième engagement, a-t-il poursuivi, consiste à réduire la consommation de l'énergie électrique à hauteur de 9% et à augmenter la part des énergies renouvelables dans la production de l'électricité à hauteur de 27% à l'horizon 2030. M. Nouri a également rappelé le programme de reconversion de plus d'un (1) million de véhicules légers au gaz de pétrole liquéfié carburant (GPLC) et de plus de 20.000 bus au gaz naturel comprimé (GNC) ainsi que le programme de logements à haute efficacité énergétique. "Ce programme ambitieux sera réalisé à terme si les conditions seront réunies. J'espère que nous aurons les moyens nécessaires pour faire aboutir ces actions", a-t-il souhaité.