L'Organisation météorologique mondiale (OMM) a averti, avant-hier, que l'actuel épisode climatique El Niño était l'un des plus puissants à avoir été observé depuis 1950, précisant qu'il devrait se renforcer d'ici à la fin de l'année avec des épisodes de sécheresses et d'inondations "catastrophiques". L'Organisation météorologique mondiale (OMM) a averti, avant-hier, que l'actuel épisode climatique El Niño était l'un des plus puissants à avoir été observé depuis 1950, précisant qu'il devrait se renforcer d'ici à la fin de l'année avec des épisodes de sécheresses et d'inondations "catastrophiques". "Les graves sécheresses et les inondations catastrophiques qui touchent aujourd'hui les zones tropicales et subtropicales portent la signature de l'actuel Niño, le plus puissant que l'on ait observé depuis plus de 65 ans", a expliqué le secrétaire général de l'OMM, Michel Jarraud. Facteur contribuant aux conditions météorologiques extrêmes, le puissant épisode El Niño - un courant équatorial chaud du Pacifique - devrait gagner en intensité d'ici à la fin 2015, d'après le dernier bulletin publié par l'OMM. En général, les épisodes El Niño atteignent leur paroxysme entre octobre et janvier et persistent le plus souvent durant une bonne partie du premier trimestre avant de s'affaiblir. Dans son bulletin, l'agence onusienne note que la moyenne trimestrielle maximale des températures de l'eau en surface dans le centre- est du Pacifique tropical va dépasser la normale de 2° Celsius, ce qui placera l'actuel Niño au rang des épisodes les plus intenses qui aient été observés depuis 1950. "Les graves sécheresses et les inondations catastrophiques qui touchent aujourd'hui les zones tropicales et subtropicales portent la signature de l'actuel Niño, le plus puissant que l'on ait observé depuis plus de 65 ans", a expliqué le secrétaire général de l'OMM, Michel Jarraud. Facteur contribuant aux conditions météorologiques extrêmes, le puissant épisode El Niño - un courant équatorial chaud du Pacifique - devrait gagner en intensité d'ici à la fin 2015, d'après le dernier bulletin publié par l'OMM. En général, les épisodes El Niño atteignent leur paroxysme entre octobre et janvier et persistent le plus souvent durant une bonne partie du premier trimestre avant de s'affaiblir. Dans son bulletin, l'agence onusienne note que la moyenne trimestrielle maximale des températures de l'eau en surface dans le centre- est du Pacifique tropical va dépasser la normale de 2° Celsius, ce qui placera l'actuel Niño au rang des épisodes les plus intenses qui aient été observés depuis 1950.