La peine capitale a été prononcée par contumace, mardi par le tribunal criminel près la cour de justice d'Oran, à l'encontre de trois terroristes en fuite reconnus coupables de l'assassinat du maire de la commune de Bordj-Emir- Abdelkader à Tissemsilt, perpétré en décembre 2014. La peine capitale a été prononcée par contumace, mardi par le tribunal criminel près la cour de justice d'Oran, à l'encontre de trois terroristes en fuite reconnus coupables de l'assassinat du maire de la commune de Bordj-Emir- Abdelkader à Tissemsilt, perpétré en décembre 2014. Des peines allant de quatre ans de réclusion à la perpétuité ont été prononcées dans le cadre de cette même affaire à l'encontre de huit accusés présents au procès, tandis qu'un autre a été acquitté. Les faits remontent au 12 décembre 2014 lorsque le corps du maire, âgé de 56 ans, a été découvert dans l'enceinte de sa ferme au lieudit El-Fercha, à quelques kilomètres de Bordj-Emir-Abdelkader. La victime avait été atteinte de deux coups de feu et égorgée. L'enquête a vite abouti à l'identification des auteurs de cet acte terroriste et de leurs complices. Parmi ces derniers figure le gérant de la ferme qui avait facilité la tâche des criminels en attirant la victime dans un guetapens après lui avoir fait croire que ses moutons étaient malades. Les accusés présents au procès ont nié les faits retenus à leur encontre, mais leurs arguments ont été qualifiés de contradictoires par le représentant du ministère public. Des peines allant de quatre ans de réclusion à la perpétuité ont été prononcées dans le cadre de cette même affaire à l'encontre de huit accusés présents au procès, tandis qu'un autre a été acquitté. Les faits remontent au 12 décembre 2014 lorsque le corps du maire, âgé de 56 ans, a été découvert dans l'enceinte de sa ferme au lieudit El-Fercha, à quelques kilomètres de Bordj-Emir-Abdelkader. La victime avait été atteinte de deux coups de feu et égorgée. L'enquête a vite abouti à l'identification des auteurs de cet acte terroriste et de leurs complices. Parmi ces derniers figure le gérant de la ferme qui avait facilité la tâche des criminels en attirant la victime dans un guetapens après lui avoir fait croire que ses moutons étaient malades. Les accusés présents au procès ont nié les faits retenus à leur encontre, mais leurs arguments ont été qualifiés de contradictoires par le représentant du ministère public.