Le concours Rabah Aissat du village le plus propre initié par l'Assemblée populaire de wilaya (APW) de Tizi-Ouzou a mis les villages à l'heure de l'écocitoyenneté. Outre les opérations de volontariat de nettoyage organisées par l'administration locale et quelques communes et comités de village, l'APW a institué en 2005 un concours du village le plus propre dont la première édition a été organisée en 2006. Le concours Rabah Aissat du village le plus propre initié par l'Assemblée populaire de wilaya (APW) de Tizi-Ouzou a mis les villages à l'heure de l'écocitoyenneté. Outre les opérations de volontariat de nettoyage organisées par l'administration locale et quelques communes et comités de village, l'APW a institué en 2005 un concours du village le plus propre dont la première édition a été organisée en 2006. Le Dr Mohammed Msela, président de la Commission santé, hygiène et protection de l'environnement (CSHPE) de l'APW, a indiqué à l'APS que ce concours qui récompense six villages les plus propres, répond à la préoccupation de préservation de l'environnement afin de "garantir un environnement sain pour la population". La finalité visée par ce concours est de "créer une dynamique afin que les comités de villages se prennent en charge au plan environnemental, ainsi qu'une concurrence entre les villages qui chercheront à travers ce concours à s'égaler ou à se dépasser pour l'amélioration de leur cadre de vie", a expliqué M. Msela. Le Dr Mohammed Msela, président de la Commission santé, hygiène et protection de l'environnement (CSHPE) de l'APW, a indiqué à l'APS que ce concours qui récompense six villages les plus propres, répond à la préoccupation de préservation de l'environnement afin de "garantir un environnement sain pour la population". La finalité visée par ce concours est de "créer une dynamique afin que les comités de villages se prennent en charge au plan environnemental, ainsi qu'une concurrence entre les villages qui chercheront à travers ce concours à s'égaler ou à se dépasser pour l'amélioration de leur cadre de vie", a expliqué M. Msela.