Le Mouloudia de Béjaïa a raté son rendez-vous avec l'histoire, en s'inclinant face au TP Mazembe (4-1), en finale retour de la Coupe de la Confédération africaine de football. Le Mouloudia de Béjaïa a raté son rendez-vous avec l'histoire, en s'inclinant face au TP Mazembe (4-1), en finale retour de la Coupe de la Confédération africaine de football. En effet, le voeu de voir les Crabes voler au-dessus du toit de l'Afrique ne s'est pas exaucé. Et pour cause, ils ne sont pas parvenus à survoler la seconde manche de la finale disputée hier à Lubumbashi contre une équipe du TP Mazembe expérimentée. Une équipe congolaise qui a réussi à surprendre les Algériens de Yemma Gouraya dès la sixième minute de jeu par l'intermédiaire de Pop. Ce dernier a profité du désordre de la ligne défensive de l'adversaire pour donner l'avantage aux siens. Pourtant, la première dangereuse action fut l'oeuvre des poulains de Nacer Sandjak. Yaya s'infiltre magistralement dans la surface de réparation, envoie un tir en direction des bois, mais le gardien du TP Mazembe était à la parade. Comme ce fut le cas du match aller, disputé au stade Mustapha-Tchaker de Blida, les poulains de l'entraîneur français Huber Velud se sont basés sur les contres rapides. Pour ce match, Nacer Sandjak a joué avec cinq défenseurs, mais cela n'a pas empêché les Congolais de secouer les filets de Rahmani. En tous cas, les coéquipiers de Salhi étaient acculés dans leur surface pendant la première demi-heure. A mesure que les minutes s'égrenaient, les gars de la vallée de la Soummam tentent de porter le danger vers le camp adverse, mais sans pour autant inquiéter les locaux. A une minute de la fin de la première mi-temps, les Corbeaux aggravent la marque sur une superbe reprise de Calaba. Un second but qui a scié les jambes des poulains de Nacer Sandjak. C'est sur ce score de deux buts à zéro à l'avantage du TP Mazembe, que l'homme en noir siffle la fin de la première partie de cette finale retour de la Coupe de la Caf. De retour des vestiaires, ce sont toujours les Congolais du Tout Puissant Mazembe qui prennent l'initiative devant une équipe de Béjaïa épuisée par la grosse chaleur du stade Lubumbashi. Ils ont tenté quelques contres rapides par l'intermédiaire de Yaya qui était en pointe, où de Betrongal, Rahal où même Sidibé, mais sans mal pour le gardien adverse qui a passé hier un après-midi tranquille. Même physiquement, les Algériens de Béjaia avaient les jambes lourdes. L'entraîneur Sandjak tente de trouver les solutions et surtout la faille dans le camp adverse en incorporant Yesli à la place de Ferhat. Cela donnera peut-être une autre assise au milieu de terrain. Mais cela n'a apporté rien pour cette équipe de Bejaia qui encaisse finalement un troisième but signé Calaba à la 63e minute de jeu. Un autre but inscrit suite à une bourde défensive. Rien n'a été fait par cette équipe de Béjaïa pour remonter le retard de trois buts. Il y a un décalage entre les compartiments et les défenseurs béjaouis donnent l'impression de marcher sur le terrain. Il reste que bien qu'elle n'a pas pu l'emporter, la formation phare de Yemma Gouraya est allée plus en avant, où personne ne l'attendait. C'est avec une grande fierté que les hommes du coach Nacer Sandjak ont défendu les couleurs de tout un pays. Leur mérite est d'avoir joué dans la cour des grands. Les Béjaouis peuvent, désormais revoir à la hausse leurs ambitions. Il faut préserver cette dynamique en mettant en place tous les ingrédients nécessaires. Le MO Béjaïa a, certes, perdu une finale historique, mais elle a réussi à gagner des joueurs qui feront d'elle une équipe capables de faire peur dans l'avenir. En effet, le voeu de voir les Crabes voler au-dessus du toit de l'Afrique ne s'est pas exaucé. Et pour cause, ils ne sont pas parvenus à survoler la seconde manche de la finale disputée hier à Lubumbashi contre une équipe du TP Mazembe expérimentée. Une équipe congolaise qui a réussi à surprendre les Algériens de Yemma Gouraya dès la sixième minute de jeu par l'intermédiaire de Pop. Ce dernier a profité du désordre de la ligne défensive de l'adversaire pour donner l'avantage aux siens. Pourtant, la première dangereuse action fut l'oeuvre des poulains de Nacer Sandjak. Yaya s'infiltre magistralement dans la surface de réparation, envoie un tir en direction des bois, mais le gardien du TP Mazembe était à la parade. Comme ce fut le cas du match aller, disputé au stade Mustapha-Tchaker de Blida, les poulains de l'entraîneur français Huber Velud se sont basés sur les contres rapides. Pour ce match, Nacer Sandjak a joué avec cinq défenseurs, mais cela n'a pas empêché les Congolais de secouer les filets de Rahmani. En tous cas, les coéquipiers de Salhi étaient acculés dans leur surface pendant la première demi-heure. A mesure que les minutes s'égrenaient, les gars de la vallée de la Soummam tentent de porter le danger vers le camp adverse, mais sans pour autant inquiéter les locaux. A une minute de la fin de la première mi-temps, les Corbeaux aggravent la marque sur une superbe reprise de Calaba. Un second but qui a scié les jambes des poulains de Nacer Sandjak. C'est sur ce score de deux buts à zéro à l'avantage du TP Mazembe, que l'homme en noir siffle la fin de la première partie de cette finale retour de la Coupe de la Caf. De retour des vestiaires, ce sont toujours les Congolais du Tout Puissant Mazembe qui prennent l'initiative devant une équipe de Béjaïa épuisée par la grosse chaleur du stade Lubumbashi. Ils ont tenté quelques contres rapides par l'intermédiaire de Yaya qui était en pointe, où de Betrongal, Rahal où même Sidibé, mais sans mal pour le gardien adverse qui a passé hier un après-midi tranquille. Même physiquement, les Algériens de Béjaia avaient les jambes lourdes. L'entraîneur Sandjak tente de trouver les solutions et surtout la faille dans le camp adverse en incorporant Yesli à la place de Ferhat. Cela donnera peut-être une autre assise au milieu de terrain. Mais cela n'a apporté rien pour cette équipe de Bejaia qui encaisse finalement un troisième but signé Calaba à la 63e minute de jeu. Un autre but inscrit suite à une bourde défensive. Rien n'a été fait par cette équipe de Béjaïa pour remonter le retard de trois buts. Il y a un décalage entre les compartiments et les défenseurs béjaouis donnent l'impression de marcher sur le terrain. Il reste que bien qu'elle n'a pas pu l'emporter, la formation phare de Yemma Gouraya est allée plus en avant, où personne ne l'attendait. C'est avec une grande fierté que les hommes du coach Nacer Sandjak ont défendu les couleurs de tout un pays. Leur mérite est d'avoir joué dans la cour des grands. Les Béjaouis peuvent, désormais revoir à la hausse leurs ambitions. Il faut préserver cette dynamique en mettant en place tous les ingrédients nécessaires. Le MO Béjaïa a, certes, perdu une finale historique, mais elle a réussi à gagner des joueurs qui feront d'elle une équipe capables de faire peur dans l'avenir.