Les entreprises socio-économiques sont appelées à développer la recherche scientifique, a affirmé hier à Alger, le directeur général de la Recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hafid Aourag. Les entreprises socio-économiques sont appelées à développer la recherche scientifique, a affirmé hier à Alger, le directeur général de la Recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hafid Aourag. "Les entités socio-économiques doivent développer la recherche scientifique en mettant en place des structures de recherche et de développement technologique", a déclaré ce responsable lors de l'installation de nouveaux membres du Comité sectoriel permanent du MESRS composée de chercheurs et d'universitaires de diverses disciplines et de représentants d'entreprises. M. Aourag, qui s'est félicité du niveau de la recherche académique dans le sens où 1/4 des publications académiques en Afrique émane de l'Algérie, a estimé que "la recherche au sein des entités socioéconomiques constitue le maillon faible". Plaidant pour "un surcroît d'effort dans ces entreprises pour élever le niveau de la recherche", il a indiqué que "le diplôme de doctorat n'est pas valorisé dans les entreprises alors qu'il devait être le noyau devant permettre de parvenir à cet objectif". Il a ainsi relevé que le titre de doctorat devrait avoir la même place dans tous les secteurs, soulignant que la loi 03 sur la recherche scientifique "encourage la mise en place de structures dédiées à la recherche et au développement dans les entreprises". M. Aourag a noté, par la même occasion, que l'Algérie compte 27.000 enseignants-chercheurs sur un ensemble de 56.000 enseignants exerçant dans 1.408 établissements universitaires. "Sur cet ensemble, nous comptons 2.100 chercheurs permanents", a-t-il ajouté, estimant que ce nombre "est insuffisant", relevant que "60 % des chercheurs ne sont pas titulaires de doctorat". Pour M. Aourag, "il y a un réel réservoir en ressources humaines qu'il convient d'organiser et de mobiliser dans un effort de recherche touchant divers secteurs". Evoquant le financement étatique de la recherche scientifique, il a indiqué que celle-ci a bénéficié depuis 2009 d'une dotation estimée à 77 milliards DA, un budget qualifié de "suffisant" compte tenu, a-t-il expliqué, des compétences existantes actuellement en Algérie. Le secrétaire général du MESRS, Seddiki Mohamed Salah Eddine, qui a présidé l'installation du Comité sectoriel permanent, a mis, pour sa part, en exergue "la nécessité d'augmenter le nombre de doctorats pour que la recherche scientifique soit plus efficace et puisse jouer pleinement son rôle dans le développement du pays". "Les entités socio-économiques doivent développer la recherche scientifique en mettant en place des structures de recherche et de développement technologique", a déclaré ce responsable lors de l'installation de nouveaux membres du Comité sectoriel permanent du MESRS composée de chercheurs et d'universitaires de diverses disciplines et de représentants d'entreprises. M. Aourag, qui s'est félicité du niveau de la recherche académique dans le sens où 1/4 des publications académiques en Afrique émane de l'Algérie, a estimé que "la recherche au sein des entités socioéconomiques constitue le maillon faible". Plaidant pour "un surcroît d'effort dans ces entreprises pour élever le niveau de la recherche", il a indiqué que "le diplôme de doctorat n'est pas valorisé dans les entreprises alors qu'il devait être le noyau devant permettre de parvenir à cet objectif". Il a ainsi relevé que le titre de doctorat devrait avoir la même place dans tous les secteurs, soulignant que la loi 03 sur la recherche scientifique "encourage la mise en place de structures dédiées à la recherche et au développement dans les entreprises". M. Aourag a noté, par la même occasion, que l'Algérie compte 27.000 enseignants-chercheurs sur un ensemble de 56.000 enseignants exerçant dans 1.408 établissements universitaires. "Sur cet ensemble, nous comptons 2.100 chercheurs permanents", a-t-il ajouté, estimant que ce nombre "est insuffisant", relevant que "60 % des chercheurs ne sont pas titulaires de doctorat". Pour M. Aourag, "il y a un réel réservoir en ressources humaines qu'il convient d'organiser et de mobiliser dans un effort de recherche touchant divers secteurs". Evoquant le financement étatique de la recherche scientifique, il a indiqué que celle-ci a bénéficié depuis 2009 d'une dotation estimée à 77 milliards DA, un budget qualifié de "suffisant" compte tenu, a-t-il expliqué, des compétences existantes actuellement en Algérie. Le secrétaire général du MESRS, Seddiki Mohamed Salah Eddine, qui a présidé l'installation du Comité sectoriel permanent, a mis, pour sa part, en exergue "la nécessité d'augmenter le nombre de doctorats pour que la recherche scientifique soit plus efficace et puisse jouer pleinement son rôle dans le développement du pays".