Les résidentes à la cité universitaire Mohamed-Yousfi (Ex-Revoil) à Hussein-Dey et étudiantes à l'Ecole nationale supérieure d'informatique ESI ex-INI, l'Ecole polytechnique d'architecture et d'urbanisme, l'Ecole nationale polytechnique, l'Ecole préparatoire des sciences et techniques d'Alger, l'Ecole nationale des sciences et technologies ont annoncé hier dans un communiqué qu'elles étaient en grève depuis jeudi 5 janvier. Les raisons de leur colère : Les résidentes à la cité universitaire Mohamed-Yousfi (Ex-Revoil) à Hussein-Dey et étudiantes à l'Ecole nationale supérieure d'informatique ESI ex-INI, l'Ecole polytechnique d'architecture et d'urbanisme, l'Ecole nationale polytechnique, l'Ecole préparatoire des sciences et techniques d'Alger, l'Ecole nationale des sciences et technologies ont annoncé hier dans un communiqué qu'elles étaient en grève depuis jeudi 5 janvier. Les raisons de leur colère : "Panne générale des radiateurs et chauffages de la cité, dégradation importante des repas servis au restaurant de la cité coupure intentionnelle du réseau internet depuis un mois, maltraitance et non-respect de la part du personnel de la cité envers les étudiantes manque d'hygiène au sein des étages, douches et sanitaires, absence d'ambulance dans la cité, ni de médecin" Après trois jours de grevé, les choses auraient empiré, à en croire le communiqué qui fait état d'"insultes et manque de respect de la part d'un des agents de la cité. Ignorance complète de la part de la directrice et fausses promesses des responsables". Selon le même communiqué "les parents de plusieurs filles grévistes ont reçu un appel de la part de la direction (voix féminine) se faisant passer pour la police nationale ou la gendarmerie, proférant de fausses accusations à leur encontre : détérioration de biens publics et les convoquant à venir à la cité lundi 9 janvier 2017". Les résidentes de la cité, toutes étudiantes des grandes écoles disent ne pas avoir de temps "pour ce genre de manifestations et nous le faisons actuellement au détriment de nos études" Mais c'est bien "la gravité et la dégradation quotidienne de la situation" qui les a mené à recourir à la grève. "Panne générale des radiateurs et chauffages de la cité, dégradation importante des repas servis au restaurant de la cité coupure intentionnelle du réseau internet depuis un mois, maltraitance et non-respect de la part du personnel de la cité envers les étudiantes manque d'hygiène au sein des étages, douches et sanitaires, absence d'ambulance dans la cité, ni de médecin" Après trois jours de grevé, les choses auraient empiré, à en croire le communiqué qui fait état d'"insultes et manque de respect de la part d'un des agents de la cité. Ignorance complète de la part de la directrice et fausses promesses des responsables". Selon le même communiqué "les parents de plusieurs filles grévistes ont reçu un appel de la part de la direction (voix féminine) se faisant passer pour la police nationale ou la gendarmerie, proférant de fausses accusations à leur encontre : détérioration de biens publics et les convoquant à venir à la cité lundi 9 janvier 2017". Les résidentes de la cité, toutes étudiantes des grandes écoles disent ne pas avoir de temps "pour ce genre de manifestations et nous le faisons actuellement au détriment de nos études" Mais c'est bien "la gravité et la dégradation quotidienne de la situation" qui les a mené à recourir à la grève.