En déplacement, hier, à l'aéroport international Houari-Boumediene, le ministre des Transports et des Travaux publics, Boudjema Talai, a animé une conférence de presse lors de laquelle il a répondu aux questions qui ont agité l'opinion publique s'agissant de son secteur. En déplacement, hier, à l'aéroport international Houari-Boumediene, le ministre des Transports et des Travaux publics, Boudjema Talai, a animé une conférence de presse lors de laquelle il a répondu aux questions qui ont agité l'opinion publique s'agissant de son secteur. Au sujet du limogeage de l'actuel P.-dg d'Air Algérie, Mohamed Abdou Bouderbala, le ministre a botté en touche, refusant d'infirmer ou de confirmer l'information rapportée aujourd'hui par plusieurs médias. "La décision de nomination et de limogeage est une prérogative du conseil d'administration qui doit convoquer l'assemblée générale", dit-il d'un air entendu qui en dit long. Cependant, Ennahar TV parle déjà du successeur d'Abdou Bouderbala, en avançant le nom du commandant de bord, Bekhouche Allache. Evoquant implicitement les recrutements anarchiques constatés et les incidents récurrents qui affectent les aéronefs d'Air Algérie, tranchant le ministre a déclaré : "On ne recrute pas un pilote n'importe comment, on ne recrute pas un mécanicien d'avion n'importe comment, ce sont des métiers à risques qui sont régis par des lois strictes et universelles (...) Ces métiers exigent des niveaux universitaires, ces choses doivent être respectées, sinon des sanctions seront prises à l'encontre des personnes à l'origine de ces recrutements" dira le ministre, ajoutant qu'"on sait ce que veut dire un crash d'avion, c'est le drapeau national qui est en question". Selon lui, "l'enquête est en cours, on attend les résultats, et on vous dira tout dans la transparence, on n'a pas le droit de cacher quoi que ce soit lorsqu'il s'agit de la sécurité de la vie humaine", faisant référence aux recrutements anarchiques, une pratique très courante au sein d'Air Algérie. Au sujet du limogeage de l'actuel P.-dg d'Air Algérie, Mohamed Abdou Bouderbala, le ministre a botté en touche, refusant d'infirmer ou de confirmer l'information rapportée aujourd'hui par plusieurs médias. "La décision de nomination et de limogeage est une prérogative du conseil d'administration qui doit convoquer l'assemblée générale", dit-il d'un air entendu qui en dit long. Cependant, Ennahar TV parle déjà du successeur d'Abdou Bouderbala, en avançant le nom du commandant de bord, Bekhouche Allache. Evoquant implicitement les recrutements anarchiques constatés et les incidents récurrents qui affectent les aéronefs d'Air Algérie, tranchant le ministre a déclaré : "On ne recrute pas un pilote n'importe comment, on ne recrute pas un mécanicien d'avion n'importe comment, ce sont des métiers à risques qui sont régis par des lois strictes et universelles (...) Ces métiers exigent des niveaux universitaires, ces choses doivent être respectées, sinon des sanctions seront prises à l'encontre des personnes à l'origine de ces recrutements" dira le ministre, ajoutant qu'"on sait ce que veut dire un crash d'avion, c'est le drapeau national qui est en question". Selon lui, "l'enquête est en cours, on attend les résultats, et on vous dira tout dans la transparence, on n'a pas le droit de cacher quoi que ce soit lorsqu'il s'agit de la sécurité de la vie humaine", faisant référence aux recrutements anarchiques, une pratique très courante au sein d'Air Algérie.