On assiste ces derniers jours à un échauffement du front social, secoué par des revendications corporatistes. Plusieurs secteurs d'activité sont touchés par des mouvements de mécontentement qui se sont traduits de diverses manières. On assiste ces derniers jours à un échauffement du front social, secoué par des revendications corporatistes. Plusieurs secteurs d'activité sont touchés par des mouvements de mécontentement qui se sont traduits de diverses manières. Les étudiants déplorent de mauvaises conditions de travail et demandent à l'unisson une amélioration de leur environnement d'étude. Mobilisés en interpellant le ministère de la Santé et le ministère de l'Enseignement supérieur afin de revoir tout le système de places pédagogiques fixé pour les spécialités (dentaire et pharmaceutique) et penser à les développer de sorte à suivre l'évolution de la science au niveau mondial, les étudiants en médecine dentaire et les étudiants en pharmacie, outre les conditions d'étude auxquelles, ils font face, ces derniers sont aussi inquiets par les débouchés, qui sont de moins en moins nombreux à proposer. Ils espèrent que les autorités universitaires se pencheront sur leur situation afin que la normalisation reprenne ses droits dans leur faculté. Révoltés par la suite donnée par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et celui de la Santé à leur plateforme de revendications, ces étudiants passent à la vitesse supérieure. Alors que les étudiants en médecine dentaire et les étudiants en pharmacie entament leur 3e mois de grève, le directeur de la formation au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Djamel Boukezzata, affirme que leurs revendications "objectives" ont été prises en charge. Lors de son passage, hier dimanche, dans l'émission Invité de la matinale de la Chaîne 1, le représentant du MESRS, a annoncé que la revendication concernant le nombre de places pédagogiques, a été revue à la hausse, soit à 30 %, comme convenu lors de la dernière rencontre entre le Premier ministre et les délégués des étudiants, et ce, après consultations entre les différentes commissions pédagogiques. Le représentant du ministère n'en annonce pas moins que des assemblées générales seront organisées, "pour examiner les revendications des étudiants" et tenter de trouver des solutions à un conflit qui menace de durcir. S'agissant du volet professionnel, qui consiste surtout la nouvelle classification des chirurgiens dentistes et les pharmaciens par l'organigramme de la Fonction publique, l'invité de la Radio nationale, a déclaré que même si cette revendication n'est pas du ressort du ministère des l'Enseignement supérieure, mais elle est prise en charge avec toutes les parties concernées. D'ailleurs selon le même interlocuteur, le suivi de ce dossier est assuré par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Sachant que le chemin le plus court pour accéder à une éventuelle solution est celle du dialogue et de la communication et M. Boukezzata est partie prenante. D'ailleurs, il n'a pas arrêté à appeler les grévistes "à la raison", en les invitant à des négociations assurant que "les portes du dialogue restent toujours ouvertes". Interrogé sur le spectre d'une année blanche qui hante ces facultés, l'invité de la chaîne 1 explique que ce n'est pas à l'administration de décréter celle-ci, rappelant que cette décision échoit aux commissions pédagogiques et scientifiques. Les étudiants déplorent de mauvaises conditions de travail et demandent à l'unisson une amélioration de leur environnement d'étude. Mobilisés en interpellant le ministère de la Santé et le ministère de l'Enseignement supérieur afin de revoir tout le système de places pédagogiques fixé pour les spécialités (dentaire et pharmaceutique) et penser à les développer de sorte à suivre l'évolution de la science au niveau mondial, les étudiants en médecine dentaire et les étudiants en pharmacie, outre les conditions d'étude auxquelles, ils font face, ces derniers sont aussi inquiets par les débouchés, qui sont de moins en moins nombreux à proposer. Ils espèrent que les autorités universitaires se pencheront sur leur situation afin que la normalisation reprenne ses droits dans leur faculté. Révoltés par la suite donnée par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et celui de la Santé à leur plateforme de revendications, ces étudiants passent à la vitesse supérieure. Alors que les étudiants en médecine dentaire et les étudiants en pharmacie entament leur 3e mois de grève, le directeur de la formation au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Djamel Boukezzata, affirme que leurs revendications "objectives" ont été prises en charge. Lors de son passage, hier dimanche, dans l'émission Invité de la matinale de la Chaîne 1, le représentant du MESRS, a annoncé que la revendication concernant le nombre de places pédagogiques, a été revue à la hausse, soit à 30 %, comme convenu lors de la dernière rencontre entre le Premier ministre et les délégués des étudiants, et ce, après consultations entre les différentes commissions pédagogiques. Le représentant du ministère n'en annonce pas moins que des assemblées générales seront organisées, "pour examiner les revendications des étudiants" et tenter de trouver des solutions à un conflit qui menace de durcir. S'agissant du volet professionnel, qui consiste surtout la nouvelle classification des chirurgiens dentistes et les pharmaciens par l'organigramme de la Fonction publique, l'invité de la Radio nationale, a déclaré que même si cette revendication n'est pas du ressort du ministère des l'Enseignement supérieure, mais elle est prise en charge avec toutes les parties concernées. D'ailleurs selon le même interlocuteur, le suivi de ce dossier est assuré par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Sachant que le chemin le plus court pour accéder à une éventuelle solution est celle du dialogue et de la communication et M. Boukezzata est partie prenante. D'ailleurs, il n'a pas arrêté à appeler les grévistes "à la raison", en les invitant à des négociations assurant que "les portes du dialogue restent toujours ouvertes". Interrogé sur le spectre d'une année blanche qui hante ces facultés, l'invité de la chaîne 1 explique que ce n'est pas à l'administration de décréter celle-ci, rappelant que cette décision échoit aux commissions pédagogiques et scientifiques.