Alger a été classée à la 127e place (sur 133) des grandes villes les plus chères du monde selon le coût de la vie, dans le nouveau rapport de The Economist Intelligence Unit (EIU) établi pour l'année 2017. La capitale algérienne conserve ainsi sa place de cinquième ville la moins chère du monde, qu'elle occupait déjà l'année dernière et qu'elle partage cette année avec les villes indiennes de Mumbai et Chennai. Alger a été classée à la 127e place (sur 133) des grandes villes les plus chères du monde selon le coût de la vie, dans le nouveau rapport de The Economist Intelligence Unit (EIU) établi pour l'année 2017. La capitale algérienne conserve ainsi sa place de cinquième ville la moins chère du monde, qu'elle occupait déjà l'année dernière et qu'elle partage cette année avec les villes indiennes de Mumbai et Chennai. Seules les villes de Karachi (Pakistan), Bangalore(Inde), Lagos (Nigeria) et Almaty (Kazakhstan, ville la moins chère du monde) sont classées plus bas qu'Alger. Casablanca (Maroc) occupe la 107e place des villes les plus chères du monde, tandis que Tunis ne figure pas dans le classement. Avec leur 124e place mondiale, Bucarest (Roumanie) et Kiev (Ukraine) sont les villes les moins chères d'Europe. "Karachi, Alger, Kiev et Lagos ont fait face à des défis économiques, politiques, sécuritaires et d'infrastructure bien documentés, et il y a une certaine corrélation entre le classement selon le coût de la vie et le sondage sur les villes vivables", explique The Economist Intelligence Unit dans son rapport. "Autrement dit, les villes les moins chères ont tendance à être moins habitables", conclut l'EIU. L'EIU établit son classement en se basant entre autres sur les prix moyens d'un kilogramme de pain, d'une bouteille de vin de table, d'un paquet de 20 cigarettes marquées ou encore le prix moyen d'un litre d'essence sans plomb. Alger se distingue notamment parmi les dix villes les moins chères du monde grâce au prix de son essence sans plomb. Estimé à 0,28 dollars le litre, il coûte pratiquement la moitié du prix proposé au Lagos, estimé à 0,46 dollars le litre. Dans le haut du classement, on retrouve Singapour à la première place des villes les plus chères du monde, suivie par Hong Kong, Zurich, Tokyo Seules les villes de Karachi (Pakistan), Bangalore(Inde), Lagos (Nigeria) et Almaty (Kazakhstan, ville la moins chère du monde) sont classées plus bas qu'Alger. Casablanca (Maroc) occupe la 107e place des villes les plus chères du monde, tandis que Tunis ne figure pas dans le classement. Avec leur 124e place mondiale, Bucarest (Roumanie) et Kiev (Ukraine) sont les villes les moins chères d'Europe. "Karachi, Alger, Kiev et Lagos ont fait face à des défis économiques, politiques, sécuritaires et d'infrastructure bien documentés, et il y a une certaine corrélation entre le classement selon le coût de la vie et le sondage sur les villes vivables", explique The Economist Intelligence Unit dans son rapport. "Autrement dit, les villes les moins chères ont tendance à être moins habitables", conclut l'EIU. L'EIU établit son classement en se basant entre autres sur les prix moyens d'un kilogramme de pain, d'une bouteille de vin de table, d'un paquet de 20 cigarettes marquées ou encore le prix moyen d'un litre d'essence sans plomb. Alger se distingue notamment parmi les dix villes les moins chères du monde grâce au prix de son essence sans plomb. Estimé à 0,28 dollars le litre, il coûte pratiquement la moitié du prix proposé au Lagos, estimé à 0,46 dollars le litre. Dans le haut du classement, on retrouve Singapour à la première place des villes les plus chères du monde, suivie par Hong Kong, Zurich, Tokyo